Une Garden party saluée par la presse !
La Garden party qui a enchanté la pelouse du Lyautey et mes invités du lyautey, vendredi soir et lancé le réseau franco-anglophone Orne Link est un évènement unique en France ! La presse [...]
La Garden party qui a enchanté la pelouse du Lyautey et mes invités du lyautey, vendredi soir et lancé le réseau franco-anglophone Orne Link est un évènement unique en France ! La presse [...]
Many thanks to Scarlet Merrill ! Our charming English gal has done really well with setting up the Garden Party in the usually lonely lawn around Lyautey barracks ! This event was dedicated to [...]
Même par ces grandes chaleurs, la CCEN traque les dépenses inutiles émanant de l'administration et pesant sur les collectivités locales ! Les élus présents ont, entre autre, évoqué qu'il va très vite [...]
C’est l’article du calendrier UMP qui nous en informe. On ne peut que se réjouir que se soit tenue la première réunion officielle du comité de liaison de la majorité. Il va [...]
A ce jour 240 personnes adultes sont inscrites, plus de 20 enfants, ainsi qu’une quarantaine d’autres personnes (élus, agents du CG61, producteurs fermiers, musiciens etc.) sont attendus à cette première dans l’Orne. [...]
Une journée particulière, une page d’histoire qui s’ouvre ! Avec le lancement du viaduc de l’Orne, c’est l’A88 qui devient, plus que jamais, une réalité ! Seize mois seulement nous séparent maintenant de l’inauguration [...]
A Bercy, en Mars 2003, au moment où la croissance menaçait de devenir négative, j’étais ministre du budget. Le sol se dérobait sous nos pieds. Je me souviens avoir alors envoyé une note personnelle au Premier Ministre, Jean-Pierre Raffarin, un dimanche soir. Tombée aujourd’hui dans le domaine public, je crois pouvoir la publier. Elle n’a jamais connu de réponse d’ailleurs. Pourtant, plus de 6 ans après, je n’en renie pas un mot ! Oui, la crédibilité d’un gouvernement se mesure d’abord dans sa capacité à maîtriser la dépense plus que dans son génie à l’inventer. Oui, toutes les dépenses de fonctionnement sont « plafonnables » en euros courants, dès lors qu’on le décide. Encore faut-il le croire pour le vouloir et en conséquence le pouvoir. Oui cette pratique consiste tout simplement à garantir aux Français que l’on s’engage à ce que leur sphère publique ne leur coûte pas un euro de plus que l’année précédente. J’y évoque l’idée de lancer un grand emprunt, sans intérêts, exonéré de droit de succession ! J’y souligne la portée symbolique forte. Considérant que chaque épargnant français accepterait sans doute de prêter un peu de ses économies à son Pays pour alléger le fardeau de la dette transmise à ses enfants.
Je conserve le souvenir de discussions homériques avec le corps incroyablement expert des hauts fonctionnaires de Bercy qui m’instruisaient du caractère désuet et contraire au droit européen de mon idée.
L’idée d’un grand emprunt lancé auprès de tous les citoyens qui souhaitent aider leur pays à sortir de l’impasse est au moins aussi vieille que la monnaie. Je m’en étais expliqué lors [...]
Hommage à ceux qui osent ! Travaillons ensemble, tous ensemble ! Tel était le message d'Alain Lambert aux créateurs repreneurs d'entreprise, ce soir. Ils étaient là, en salle d'Ecouves, au coeur du Quatier Lyautey, [...]
Un Décret relatif aux conditions de publication des instructions et circulaires stipule que celles qui sont adressées par les ministres aux services et établissements de l'Etat sont tenues à la disposition du [...]
Les Archives nationales américaines n'ont toujours pas récupéré les documents électroniques de la présidence de George W. Bush. Pourquoi ? 100 téraoctets (soit 100 000 gigaoctets) doivent être transférés !! Nous qui [...]
Dans un premier billet, le 21 juin, j’expliquais que le fait générateur de la crise trouvait son origine les politiques de relance conduites menées par les Etats dans la première moitié des années 2000. Le fait déclencheur avait été la hausse des matières premières imputable à la croissance mondiale. Voici le second billet qui explique comment la croissance par la relance s’est autodétruite par le surendettement.
Donc, l’augmentation du prix des matières premières va provoquer la crise. Premier effet : elle conduit ipso facto à pénaliser la demande intérieure, puisque le pouvoir d’achat utilisé pour payer plus cher les importations ne peut plus l’être pour la production intérieure. Dans le même temps, les Banques Centrales haussent leurs taux d’intérêt pour contrer les tensions inflationnistes. Ainsi, les USA vont passer d’un taux de « base » de 1% en 2004 à 5,25 % en 2006. Pour nombre d’emprunteurs américains, c’est une augmentation forte de leurs échéances de prêt. Pour exemple, l’échéance mensuelle d’un prêt de 100 000 € augmenterait à ce régime de 250 € ! Dans ces conditions, les défaillances d’emprunteurs s’accroissent, entrainant une augmentation des ventes sur le marché immobilier tandis que les acheteurs se raréfient ... entraînant la baisse des prix du marché !
Alain Lambert était donc l'invité du journal de midi sur France 3 Basse-Normandie. Il a donné son interprétation de la diminution annoncée du nombre d'élus locaux. La volonté du Président est [...]
Au lendemain du discours historique de Nicolas Sarkozy devant le Congrès, Alain Lambert est l'invité du journal de la mi-journée sur France 3 Basse Normandie ! Il réagira à la diminution des élus [...]
Un post de Vincent Glad évoque le succès foudroyant d'Alain Lambert sur Twitter ! Inscrit depuis le 2 juin sur ce mini blog, notre hôte, "vieux routier du blog" lève le voile" sur [...]
La crise qui a bon dos ! Elle semble justifier des dérives inédites de déficits publics, l’accumulation de montagnes de dettes inconnues, même aux lendemains des pires conflits mondiaux. Et pourtant certains sujets de dépenses exponentielles restent tabous puisque le corps politique, toutes sensibilités confondues, n’a pas le courage de les aborder de face, avec un esprit de consensus qui soit à la hauteur de l’histoire et des défis qu’ils nous lancent !
Au train où vont les choses, l’endettement insensé, et les déficits non maitrisés, vont générer une dette dont les simples taux d’intérêts consommeront les seules richesses distribuables aux Français pour survivre. La compétitivité de nos entreprises sera anéantie et le pouvoir d’achat des ménages s’effondrera. L’évidence crève les yeux, mais le doux rêve de l’Expert qui sait tout, il est vrai, atténue les angoisses. Quatre principaux scénarios sont pourtant envisageables : l’inflation ! Moyen de ruiner les épargnants français. De faire fuir les prêteurs étrangers. Machine infernale impossible à arrêter lorsqu’elle est lancée. Et probablement exclusion de l’Euro, notre monnaie unique.
La perte d’un être cher est un moment profondément douloureux qui ne peut être vraiment connu que de ceux qui l’ont vécu. Comme les blogs ne traitent que rarement de ces sujets, [...]
La Croix.com nous informe en exclusivité que Christine Boutin va modifier l’appellation de son mouvement qui portera désormais le nom de "Parti chrétien-démocrate". En dehors de la question très importante d'insérer ou [...]
Un post de Vincent Glad évoque le succès remarqué d'Alain Lambert sur Twitter ! Inscrit depuis le 2 juin sur ce mini blog, notre hôte, "vieux routier du blog", lève le voile" sur une facette surprenante et souvent méconnue de sa personnalité : le comique naturel et élégant ! Jeux de mots, calembours, détournement insolent mais jubilatoire de l'actualité, autodérision, prunelle malicieuse au moment de livrer la charge ! C'est tout cela aussi et surtout, Alain Lambert ! Je tiens à ajouter, Vincent, que les Finances Publiques ne sont pas si arides que cela lorsque elles sont expliquées par lui. Simplement ! Alain Lambert est passionné de Nouvelles Technologies, certes, mais le secret de sa réussite sur la toile réside dans sa capacité, selon moi, à rester lui-même, à ne jamais se trahir... Voilà l'essentiel !
La cause est entendue. La crise est imputable aux banques et rien qu’aux banques ! Comme toujours, la réalité n’est pas si simple. Loin du mythe de la dérèglementation ou des fantasmes sur l’eschatologie du capitalisme, cette crise trouve son origine dans la conjonction de 3 faits : un fait générateur, les politiques de relance conduites par les Etats dans la première moitié des années 2000 ; un fait déclencheur, la hausse des matières premières imputable à la croissance mondiale, et un fait aggravant, les modalités de refinancement interbancaire au travers la titrisation. J’écrivais sur ce blog, en mai 2006, qu’une « qu'une politique de croissance fondée sur l'endettement des ménages reste une politique de court terme, à utiliser avec prudence ». La démonstration en est faite et les Etats feraient bien de s’en souvenir. Voici le premier des 2 billets récapitulant ce sujet.