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À propos de Alain Lambert

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Trotté et les metiers d’autrefois : samedi 22 août 2009

Par |2017-03-13T11:30:39+01:0020 août 2009|Orne|

trepigneuse.jpg Le samedi 22 août à partir de 10h St Céneri est partenaire de nos amis et voisins de St Pierre des Nids organisatrice de la manifestation à Trotté LES METIERS d'AUTREFOIS.

Le principe essentiel de l’événement est de réaliser des activités des différentes chaînes de métiers par le biais d’ateliers de démonstration réelle.

La seconde volonté afin de perpétuer la mémoire des traditions vers les jeunes générations est de les faire participer aux ateliers. La volonté de mise en œuvre d’un partenariat entre différents acteurs : particuliers détenteurs de savoir-faire, artisans ou agriculteurs réutilisant pour l’occasion des vielles techniques, associations, municipalités environnantes, communautés de communes …..

Les bonus de la bonne conscience

Par |2017-03-13T11:30:39+01:0019 août 2009|Economie & Finances|

billets.jpgJ’oscille entre Twitter, FriendFeed et le blog pour parler des sujets d’actualités. Mais force est de constater que certaines questions se prêtent mal aux limites des 140 caractères. Merci à Rubin de m’avoir poussé dans mes derniers retranchements à propos des bonus versés par les banques. Les Etats nous enfument (comme on dit en Mayenne) – je veux dire tendent un voile de pudeur - en prétendant régir par la loi (sous entendu la morale publique) ces rémunérations exceptionnelles qui blesseraient les consciences. Je trouve cette posture ridicule, risible et démagogue. D’abord pour rappeler que cette question a été traitée par le G 20 et que les règles alors adoptées n’ont pas été appliquées, en premier par les USA, comme d’habitude. Faut-il donc poser de nouvelles règles avec le risque probable qu’elles ne soient pas davantage respectées que les précédentes ? Ensuite, n’est-il pas temps que les Etats aient la loyauté de dire aux Peuples que certains sujets les dépassent ? Qu’il est certes grave d’en arriver à ce constat. Mais que le cacher affecte plus encore la démocratie que laisser croire que l’on peut poser des règles mondiales alors qu’il n’existe aucune instance ayant les pouvoirs pour les faire respecter. Est-il honnête de ne pas éveiller les citoyens du monde sur le fait que l’effacement des frontières n’a été le choix de personne mais le résultat combiné des progrès technologiques et de l’effondrement de systèmes politiques insensés ? Que notre monde transformé soudain en village planétaire n’a toujours pas d’organe de gouvernance mondial qui serait la seule réponse à ces sujets. Mais que les opinions publiques ne sont pas prêtes à accepter ces organes de gouvernance si éloignées d’elles, sauf à redouter une irruption incontrôlable des nationalismes.

Ski nautique dans l’Orne !!

Par |2017-03-13T11:30:40+01:0013 août 2009|Sport|

Cela peut paraître étonnant mais les Ornais connaissent bien l'endroit, j'invite tous les autres à découvrir le lac de Rabodanges. Situé dans le canton de Putanges-Pont-Ecrepin vous découvrirez un endroit magnifique et [...]

Le doux délice de l’endettement délirant, par A.B. Galiani

Par |2017-03-13T11:30:40+01:008 août 2009|Economie & Finances|

Deficit.JPG L’Etat a-t-il tiré les leçons de la crise financière, dont il est largement à l’origine. A l’instar du groupe « Poppies » d’il y a 40 ans, on peut chanter : « non, non rien n’a changé ; tout, tout a continué ... ». S’il est vrai que des réformes ont été entamées, leur rythme est trop lent pour corriger rapidement les défauts structurels du secteur public. D’autant que tous – ménages et administrations – empruntent allègrement. Dans un pays malthusien et à très forte fiscalité, la dette permet de conserver l’illusion d’une richesse que l’on répugne à créer. La question devient donc plus que jamais : jusqu’où et jusqu’à quand pourra-t-on s’endetter ?

"Banques: le triomphe des coupables" par Jacques Attali

Par |2017-03-13T11:30:41+01:006 août 2009|Tribunes Libres|

Un article par Jacques Attali sur slate.fr lire cet article sur Slate

En 1929 une réglementation très stricte avait été imposée aux banques responsables de la crise, ce n'est même plus le cas.

La crise, chacun le sait, est largement de la faute des banques américaines, qui ont trop prêté et développé des produits spéculatifs. Pour les sauver, le Trésor américain leur a prêté de l'argent sans intérêt. Celles de ces banques qui n'ont pas fait faillite continuent à agir comme avant, inventant de nouveaux produits spéculatifs et ne prêtant, très chers, qu'à celles des entreprises qui n'ont pas vraiment besoin de leur argent.

Elles ont, en plus, aujourd'hui, une raison supplémentaire d'agir ainsi: tous les régulateurs leur enjoignant de reconstituer leurs fonds propres, elles le font, non seulement en utilisant tous les artifices comptables rendus possibles par les réformes d'avril, mais aussi en refusant de prêter aux particuliers et en exigeant des intérêts énormes des grandes entreprises désespérément à la recherche de liquidités.

Comme les intérêts que ces banques versent aux déposants sont proches de zéro, leurs bénéfices sont énormes. Et avec eux, elles peuvent recommencer à développer des produits spéculatifs, avec lesquelles elles comptent refaire les mêmes profits que par le passé, sans que personne ne vienne même, cette fois, leur opposer des réglementations. Et nul ne peut protester: qui pourrait se mettre mal avec son banquier ?

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