Les auteurs de cet excellent ouvrage sont Benoît Maffei et Noël Amenc. La préface a été rédigée par Jean-Hervé Lorenzi. En Voici la présentation de l’éditeur :
« La France a longtemps cru à un destin particulier. Malgré les échecs économiques à répétition, les Français continuent à espérer qu’un homme providentiel concrétisera leurs rêves de grandeur et de reconnaissance internationale.
À l’heure où le retour de l’État fait consensus dans la classe politique, cet ouvrage remet en cause le mythe de la toute puissance publique et de la capacité des politiques publiques à enrayer le long déclin économique de la France et la banalisation de sa place sur la scène internationale. »
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Au sommaire :
Introduction – Du bon usage du concept de déclin
Les modèles de croissance économique à l’ère de la mondialisation
La crise de la politique budgétaire : l’efficacité décroissante des actions publiques
L’européanisation de la politique monétaire ou une volonté de puissance en perpétuel devenir
La sous-optimalité structurelle de la régulation économique européenne
La crise des systèmes de protection sociale
La remise en cause du système français : des mythologies de la singularité aux mystifications de la décadence
La crise des capitalisme privé et public français (1974-1992) : la fin de la société industrielle
La transition vers une économie de marchés financiers
La finitude des politiques économiques structurelles
Conclusion – La France face à l’Europe et au monde, ou le polymorphisme d’une crise identitaire
Oui, Corinne : le déclin économique de la France est patent.
Mais si on parle beaucoup du retour de l’Etat, dans les faits,c’est une illusion et il contribue lui-même à ce déclin! La raison: l’Etat est géré comme une puissance mais malheureusement, il est impuissant à jouer un rôle utile dans notre économie ouverte!
Ce serait donc la finitude……….de la France ?
Voilà donc une grande découverte qui n’étonnera personne puisque le char de l’Etat n’a plus de roues et un cocher qui fait faire des zig et des zag à ses chevaux essoufflés et mal nourris.