Samedi 4 décembre dernier, à l’occasion de la célébration d’une cérémonie familiale, Alain LAMBERT, Président du Conseil Général de l’Orne a reçu des mains de Joaquim Pueyo, Président de la Communauté urbaine et Maire d’Alençon, le diplôme de Maire Honoraire d’Alençon. Ce, en reconnaissance de son investissement fort et de son action efficace et sincère en faveur de la Ville et de la Communauté Urbaine.
Notre hôte a prouvé depuis toujours à quel point il était lié à la Cité des Ducs.
D’abord Conseiller municipal, puis Conseiller régional et général, Alain LAMBERT est élu Maire d’Alençon le 17 mars 1989. Réélu en 1995 et en 2001, il est amené à démissionner le 31 mai 2002 en raison de ses fonctions ministérielles.
Ses mandats successifs de Maire ont été marqués par la concrétisation de projets d’ampleur et de belles réalisations qui ont renforcé la notoriété et l’attractivité d’Alençon. On citera notamment l’auditorium, la Luciole, le Dojo, l’espace aquatique Alencéa, la restauration de l’Ecole de Musique et de la Halle au blé et bien sûr l’évolution du District de l’Agglomération Alençonnaise en Communauté Urbaine le 31 décembre 1996.
Cet honorariat est un bel hommage, mérité, à l’engagement profond et indéfectible d’Alain Lambert envers la démocratie, envers ses concitoyens. Il a toujours oeuvré pour l’intérêt général, donnant corps à l’idée partagée de progès à visage humain.
NDLR : ce texte est inspiré d’un billet publié sur le blog de Joaquim Pueyo, Président de la communauté urbaine et Maire d’Alençon.
Etre maire d’Alençon et président de la Communauté urbaine n’est pas sans laisser des traces dans une vie : c’est une lourde charge.
Je me réjouis que Joaquim Pueyo ait eu des paroles de reconnaissance pour Alain Lambert qui s’investissait tant dans ces fonctions.
Voilà un geste bien mérité. Bravo.
N’oublions pas aussi un axe majeur de la politique Lambert : la « performance » publique. En réduisant l’endettement et en améliorant la productivité des agents de la ville, Alain lambert a contribué à la maitrise de la fiscalité locale et à l’amélioration du niveau de vie des Alençonnais