C’est l’appel unanime lancé hier par les intervenants et participants au petit-déjeuner du club Sénat, annoncé dans un billet précédent, consacré à la question suivante : les technologies peuvent-elles réformer la France ? Les intervenants Anne Lange et Patrick Dailhé ont su éclairer le public sur ces questions au regard de ce qui se passe à l’étranger mais aussi des expériences déjà tentées et réussies en France. Les participants ont eux-aussi eu à coeur d’orienter leurs questions dans une démarche volontaire de performance et d’optimisme.
J’avoue avoir demarer la lecture de ce billet avec beaucoup de mefiance. Cela ressemble, vu de loin a du palabre de notables.
Et pourtant je reconnais que les conseils prodigues sont, au combien, judicieux. Evitons a tout prix les projets pharaoniques. La politique du petit pas est en effet, comme le suggere Mr Daillhe, encore le meilleur moyen de ne pas perdre le controle. Mais cela devrait vous etes familier car ce n’est ni plus ni moins que de la LOLF appliquee au controle de projets informatiques.
Mais comment se fait-il que nous ayons si peu de contenu video sur ces reunions. Aux US, CSPAN 1 & 2 diffusent la vie du congres quasiment en continu. Allez voir, c’est impressionant:
http://www.c-span.org/
Si l’on regarde certains pays en avance sur le sujet, on ne peut que se rendre compte de l’importance d’innover surtout en ce qui concerne les nouvelles technologie. La France doit absolument rattraper son retard!!!!!!!!!! Il y a beaucoup d’emplois à la clef!
La France plus performante grâce aux technologies innovantes .dites vous.
Encore faut-il que là encore les sorces de financement ne soient pas entravées par ce sacré ISF !
Prenons le cas de ce placement idéal s’il était plus répandu : le FCPI, fond commun de plact dans l’ Innovation: Il est abhérant que la déduction fiscale de 25% accordée au départ sur ce placement à risques …soit récupérée ensuite par le Fisc sur le capital placé pendant toute la durée du Fonds soit maintenant 10 ans ce qui peut représenter la reprise par l’impôt de la moitié de l’avantage accordé
à un assujetti . !
Il faut donc aller au bout de la logique présidentielle qui veut que les gens soucieux de trouver un moyen d’ assurer leur retraite, de plus en plus menacée dans le système par répartition, n’aient plus à subir l’incertitude fiscale pour les placements longs, comme cela a été le cas pour l’ Assurance -vie et plus récemment pour les PEL de 10 ans , jugés trop longs pour être exonérés alors que le contrat prévoyait
le report sur les descendants du droit à prêt, ce qui demandait 18 ans pour un enfant à naître et le double pour son descendant !!!!.
@COLOMBEY : il est incontestable que l’ETAT est un contractant peu loyal , les mesures rétroactives ( taxes sociales ) prises à l’encontre des P.E.L. illustrent parfaitement votre propos . Cette année j’ai du déclarer en outre les intérèts issus de ce PEL qui devient donc , sur la durée , un placement de moins en moins compétitif . L’hitoire fiscale est riche de tels exemples…..