Il flotte comme un parfum de surenchère, ce soir, au sein de la droite. Qu’elle prenne garde cependant à ne pas s’étriper aussi violemment que le font les socialistes actuellement ; leur spectacle est affligeant. Gardons-nous d’en rire, car le malheur pourrait nous arriver.
L’idée du « modèle français » sera au centre de la compétition pour les idées entre le gouvernement et l’UMP.
Espérons qu’il en sortira des RESULTATS !
Car pour l’instant, avouons le, notre modèle est complètement épuisé.
Nous n’attendons surtout aucune promesse du genre que l’on rasera gratis demain. Nous voulons d’abord et avant tout que soient engagées au plus vite les réformes de structures qui, seules, sont à même de redonner à la France le ressort qui lui manque.
A suivre …
Le "chantier" France auquel pense Alain LAMBERT , fruit du mauvais travail du GIE gauche-droite des "commerçants en politque", ressemble, à travers l’actualité à celui laissé par KATRINA au USA…Il faudra des années de labeur et de larmes, beaucoup de larmes, là-bas comme ici, pour refaire du beau, du propre et du bien fait, là-bas où l’on ne voit que ruines ou chez nous ,là où les Francais n’ont pas encore pris la mesure du champ de ruines que les "commerçants en politiques" auront laissé derrière eux.
oui,le GIE de la 3 ème nous a conduit à la défaite et à l’invasion des nazis en 1940,le GIE de la 4 ème a failli nous conduire à la guerre civile,celui de la 5 ème à la faillite morale et institutionnelle mais cette fois nous n’avons pas un "Charles de Gaulle" sous la main…Je m’égare , qui donc réclame un "sauveur suprème "alors que la réponse est dans l’intelligence du collectivisme irresponsable ? A moins que du coté de Pékin peut etre ?
Les 100 jours ont montré que la continuité reste la ligne politique de M. Chirac et de ses hussards. Changer les choses supposerait qu’ils acceptent de changer d’abord leur manière de voir les choses. Acheter la paix sociale par des réformes cosmétiques où la communication prime sur l’action ( ex : la croissance sociale…) ou réhabiliter les emplois aidés en masse dans dans l’Education Nationale malade de ses sureffectifs ne permettra ni de relancer la création de richesses pour tous, ni de diminuer le coût de fonctionnement des services de l’Etat et des administrations et des déficits. M. de Villepin, aux affaires dans l’ombre de M. Chirac a déclaré : " 2005 sera l’an 1 de la réforme de l’Etat".La baisse des statistiques du chômage a été annoncé comme le résultat de l’action gouvernementale alors qu’il est simplement le fruit du jeu statistique. Hier 8 septembre, M. Debré, président de l’Assemblé Nationale depuis quelques années déjà, s’est dit étonné du volume des lois en vigueur. Il faudrait sourire de ces déclarations grotesques. On ne peut que le déplorer comme le signe patent que les citoyens sont pris pour des gogos. Est-ce que les hommes politiques sont prêts à comprendre que le changement attendu concerne d’abord l’honnêteté intellectuelle et morale ? Dire les choses telles qu’elles sont, dire ce qu’on va faire si on est élu, faire ce qu’on a dit si on est élu et si on ne peut pas le faire : démissionner, et proposer un nouveau programme.Qui a voté pour M.Chirac afin qu’il conduise une politique socialiste ? La rupture attendue est là, d’abord là.
Je lis ce billet ce mardi 20/09/05.
Je suis d’accord mais malheureusement les semaines passent et le spectacle ne change pas !
J’ai été affligée la semaine passée d’entendre des "noms d’oiseaux voler" entre personnalités de la droite. J’ai bien peur : les mois qui viennent vont être durs et la droite court à sa perte si elle continue sur cette voie, avec ces voix de trublions ! J’ai entendu beaucoup de réactions identiques. Gare !