Notre hôte sera, ce soir, l’invité du Talk Orange-Le Figaro.
Posez-lui toutes vos questions !
Rendez-vous à 18h sur le site du Figaro pour suivre l’interview en direct !
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J’aimerais avoir la réponse de Monsieur Alain Lambert sur une question que je me pose depuis de nombreuses années en tant que citoyen et patron de PME.
Pourquoi continuer de mettre le coût social « retraite et assurances maladies » sur le travail « salaires » et non sur la consommation ce qui aurait pour avantage de diminuer le coût du travail de 40%. Les 20% de charges retenues au salarié lui seraient versés ce qui augmenterait son pouvoir d’achat.
Les 40% d’économie sur le coût de production permettraient d’éviter une augmentation des prix de vente consommateur malgré cette taxe sociale.
Avec ceci les entreprises redeviennent compétitives et la charge sociale beaucoup mieux repartie:
_ suivant le pouvoir d’achat « les riches paient plus »
– suivant la durée de vie.
donc ces seniors ne se sentirons plus coupable de vivre trop longtemps.
Cela me semble tellement simple …
J’aimerais savoir pourquoi personne n’envisage cette solution car elle ne semble avoir que des avantages dans cette mondialisation et je ne peux pas imaginer être le seul à y penser.
Dans l’attente de vous lire.
Jean FOUQUET
Je vous ai trouvé bon, le ton était détendu, le message simple et pédagogique.
Sans doute trop simple. Je veux dire par là que les Français ne me semblent pas encore prêts à l’entendre.
Mais au rythme où enflent les dettes publiques, viendra un moment où ce message devra être écouté. Peut-être plus tôt qu’on ne le souhaiterait d’ailleurs, là est la question.
@JF, si je comprends bien, vous êtes partisan d’une TVA sociale afin de faire peser une charge supplémentaire sur la consommation des ménages.
1- D’abord, il n’a jamais été prouvé qu’un transfert mécanique des charges salariales vers une augmentation des coûts à la consommation, favorise une augmentation de la rémunération des salariés.
2- La consommation est le seul véritable moteur de l’économie française depuis des décennies. Votre idée consiste ni plus ni moins à remettre en question ce seul moteur de l’économie au risque d’enrayer durablement une croissance déjà bien malade.
3- Un transfert mécanique des charges salariales vers une augmentation des coûts à la consommation est une idée tellement simpliste qu’elle met en évidence votre pathétique naïveté.
4- Enfin, votre idée ne peut que faire peser sur les inactifs et retraités une baisse de leur pouvoir d’achat déjà bien moribond en cette période de crise. Vous mettez d’office cette frange de la population à contribution alors que dans l’esprit de votre schéma, ils ne peuvent en aucun cas bénéficier d’un transfert par augmentation de rémunération.
M. Jean Fouquet, je vous l’écrie en toute amitié, arrêtez donc de penser et économisez plutôt votre énergie à des fins plus productives.
Et bon Dieu ! La ponctuation en langue française, ça existe !
@machu picchu.
Oui, je pense qu’il serait intéressant d’étudier le coût d’une TVA sociale qui ne serait en aucun cas une charge supplémentaire sur la consommation. Cette charge existe déjà et elle est insuffisante vu les déficits sociaux actuels.
La seule différence serait une nouvelle répartition du coût qui me semble beaucoup plus juste et avoir plus d’avantages que d’inconvénients.
C’est tellement « simpliste », pourquoi ne pas le chiffrer ?
Si je suis un grand naÏf, vous n’êtes pas un grand rusé.
Votre réponse montre que vous n’avez pas bien compris le mécanisme.
Machu Picchu, je vous l’écriS en toute amitié, commencez donc à penser sans économiser votre énergie.
Et Bon Dieu! Cette prétention française de détenir la vérité existe toujours, vous en êtes la preuve!
Vous remarquerez mon effort pour la ponctuation….
JF
j’appuie aussi sur JF
pourquoi pas tenter la chose, en Allemagne, il ne sent plaigne pas, non?
de toute façon, dans notre pays, TPE et PME, on a rien droit de dire sauf de payer avec le sourire
il y a d’autres moyens de sortir notre pays du chaos actuel mais personnes écoutent les actifs employeurs, même notre cher sénateur
fran6
après on se demande pourquoi on veut plus embaucher, perso, j’ai besoin de trois gars dans mon entreprise mais pas question, c’est devenu trop dangereux
La question posée par JF est légitime sinon pertinente et la réponse de machu pichu est consternante de suffisance et de surcroit complètement erronée car bien représentative de la pensée économique unique keynésienne que nous ne connaissons que trop et qui nous ruine !
Pour JF, je dirai deux choses:
1) transférer des charges de A vers B produira à la marge un effet (bénéfique dans le cas de votre proposition) mais le problème perdurera car il trouve son origine dans les 57% de dépenses publiques (cette année) qu’il faut financer au détriment du secteur productif. C’est cette colossale dépense publique qu’il faut réduire drastiquement si l’on veut restaurer de la compétitivité et du pouvoir d’achat ; Monsieur le Sénateur, êtes-vous la ? lisez-vous les commentaires ?
2) si la TVA n’existait pas, l’inventer (qu’elle soit sociale ou pas) nous conduirait où nous en sommes, i.e. trop d’impôts, de charges, de contributions, de cotisations, etc. Ce que vous proposez est juste une TVA « accrue », un peu comme la taxe sur la taxe, la TVA sur la capsule fiscale de votre bouteille de vin, etc. Les exemples ne sont que trop nombreux.
Pour machu pichu, bon keynésien, nous le remercions de vouloir penser à notre place, lui dont l’intelligence semble être supérieure à toutes les autres, mais vu les âneries qu’il nous assène cela va être inutile. La consommation ne peut être le moteur d’aucune économie et dépenser de l’argent (de surcroit que les keynésiens empruntent le plus souvent) n’a jamais créé de richesses, et seule l’offre est créatrice de valeur comme tous les libéraux au sens d’Hayek le savent. Quand vous fabriquez une voiture en créant une offre vous produisez de la richesse, quand vous l’achetez – que vous consommez – vous détruisez du capital et donc de la richesse. L’accumulation de capital est beaucoup plus difficile que sa destruction en particulier par la consommation. Ce sont des raisonnements comme ceux de machu pichu qui amènent l’État à nous écraser de charges et en plus à s’endetter pour assurer les 40% du PIB de transferts sociaux pour maintenir une consommation artificielle justifiée par aucune production de richesse par les dits consommateurs en question. De plus quand il s’agit de biens d’équipements, l’offre compétitive étant le plus souvent chinoise, cette consommation se traduit par un déficit de 50 milliards de la balance des paiements du commerce extérieur, nos impôts ou les dettes de nos enfants sont transférés dans les réserves de changes de la banque centrale chinoise ! Beau résultat en effet des keynésiens…
Mais Machu pichu a au moins fait Sciences Po ou l’ENA pour, du haut de sa suffisance nous expliquer que nous devrions arrêter de penser et lui laisser le soin de nous diriger. Le bourreau essaie toujours d’asservir ses victimes, et quoi de mieux pour y parvenir, que de leur interdire de penser ! Hélas, les 30 ans de politiques keynésiennes, visant à soi disant soutenir la consommation, vont laisser un pays à l’économie dévastée et aux finances calamiteuses.
S’il suffisait de distribuer de l’argent que l’on prend de force à ceux qui l’on gagné et épargné ou que l’on emprunte à grands frais pour permettre à d’improbables consommateurs de faire « tourner » l’économie, la Grèce serait un modèle de réussite. Elle est au contraire la parfaite illustration de l’ineptie de machu pichu, un pays ou 50% de l’emploi salarié est constitué de fonctionnaires qui consomment sans produire de richesses, payés sur la base d’un endettement toujours croissant. Je vois déjà l’explication, ah oui, j’oubliais les vilains marchés, les spéculateurs, les traders. Les socialistes keynésiens sont pathétiques, ce sont bien les seuls.
En ce qui me concerne, j’ai beaucoup de respect pour vous JF, qui en qualité de patron de PME créez de l’emploi dans un environnement économique ou tout est fait par des machu pichu pour vous compliquer la tâche et vous expliquer que vous n’êtes pas assez intelligent pour réfléchir à ces questions difficiles que seuls eux, les keynésiens, nos bourreaux, les destructeurs de nos économies, peuvent du haut de leurs études stériles envisager d’aborder et de régler, … avec le succès que nous connaissons !
A propos, combien d’emplois avez-vous créé, Monsieur machu pichu ?
Qu’en pense Monsieur le Sénateur, qui est bien discret sur son blog ?
Avec tous mes respects, Monsieur le Sénateur.
La dernière question posée à machu pichu est bien sûr: combien d’emplois avez-vous créés (merci au modérateur d’ajouter le s si je l’ai oublié en tapant au km dans mon post initial) dans le secteur marchand, concurrentiel, privé ? Réponse honnête exigée.
Si c’est zéro, mais que vous le dites, je vous reconnaîtrais au moins cette qualité: la franchise.