Cela vous a peut être échappé, mais le nouveau Président des Etats Unis Barack Obama a pris la décision de créer un poste de contrôleur du Budget, chargé de surveiller à la loupe les dépenses de l’administration et leur bien-fondé.
Compte tenu de la situation actuelle, pourquoi ne ferions-nous pas la même chose ?
Je suis candidat à la fonction de Contrôleur Général des dépenses publiques de la France !
La dépêche AFP qui l’annonce et l’explique en cliquant ici.
Cette fonction n’est-elle pas déjà assumée par la Cour des comptes ?
Voila une très bonne idée !!
D’ailleurs, ayant lu son dernier bouquin, Obama à l’air plein d’intelligence et de bon sens.
Notre Président va trouver là un sérieux concurrent !
Et on attend avec impatience les commissions d’enquêtes sur les incuries de notre administration avec séances publiques et télévisées pour les cas les plus édifiant et explications des hauts fonctionnaires responsables.
Plus efficace que n’importe qu’elle loi !!!
Je ne suis pas une experte ni en politique, ni en économie, mais je pensais, pas plus tard que ce midi, en écoutant les voeux du Président à Strasbourg, qu’en effet un contrôleur des dépenses publiques serait important aussi pour notre pays….. et je voterai volontiers pour notre sénateur préféré, candidat à cette fonction.
Il y a "du pain sur la planche" mais beaucoup à y gagner, sans aucun doute! J’espère que notre Président va y réfléchir très sérieusement.
au delà du sympathique trait d’humour,la cour des comptes ne remplit-elle pas cette mission ? meilleurs voeux!
A quoi sert donc la Cour des comptes ?
Excellente idée, vous avez toutes les qualités requises pour le "job", et plus encore !
Ceci dit, NS qui s’est, au moins théoriquement, privé de certains pouvoirs au bénéfice du Législateur, voudra-t-il, après les expériences de l’audiovisuel et du dimanche, pousser le bouchon encore plus loin ?
S’il faut, et certainement il le faut, mettre en place un nouveau paradigme de gouvernance de politique sicèrement progressiste, cet outil de contrôle est incontournable. Le Président Sarkozy devrait être prêt à initier, de concert avec les US, ce nouveau paradigme. Dans ce cadre, votre candidature est forcément pertinente.
Ayant porté quelques années le titre de " Battery Control Officer " dans un Escadron de fusées NIKE , en RFA je connais la confusion souvent faite en traduisant ce mot qui n’a pas du tout le meme sens chez les Américains. Chez nous le Controle consiste à controler ( cf la Cour des Comptes puisqu’elle est citée ci-avant ) alors que dans l’organisation américaine le Controleur est un manager à qui sont confiées des fonctions de commandement, pleinement responsable de ses décisions.Ce n’est pas le cas chez nous : meme M.WOERTZ , ministre du Budget est subordonné au Ministre de l’Economie et des Finances et si Bercy dispose de réels pouvoirs d’orientation on ne peut pas dire que ce Ministère pilote les affaires de la France. Le poste que veut créer le Président élu aura certainement une dimension et un role très différents.
A Monsieur Lambert,
Le problème, c’est que la France a 900 et quelques "contrôleurs du budget"…
Il s’agit…Des parlementaires Français.
Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen :
Article XIV
Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs Représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée.
….
Mais pas un seul – véritable – parlementaire…Au courant de son importance mission
Est il utile de préciser qu’en 1789, la venue des Etats Généraux, et leur transformation en Assemblée Nationale…Devait justement parer à la mauvaise gestion des deniers publics ? A Contrôler la nécessité, et donc l’efficacité, l’effiscience, et l’opportunité…De la dépense publique ?
Le Parlement – A.N + Sénat – prendra t il un jour conscience…Qu’il a pour mission de consentir et de contrôler…La dépense publique ?
Plutôt qu’un nouveau poste – encore un !!! – ne conviendrait il pas de faire la publicité de la DH auprès des citoyens, pour que ceux ci puissent demander des "comptes" régulièrement….Sans obtenir (en permanence) un refus poli ?
Autrement dit, ne faudrait il pas que tous les citoyens puissent utiliser la CONSTITUTION pour obtenir une vraie réponse du Gouvernement ?
Vous dites vous même (dans je ne sais plus quel post) qu’on vous envoie souvent "voir ailleurs si vous y êtes" quand vous osez demander quoi que ce soit sur l’attitude d’un Ministre, sinon du Président.
Pourquoi ne pas faire valoir la DH pour que les parlementaires, et les citoyens, puissent obtenir des "comptes" seul moyen de "contrôler" l’utilisation des deniers publics ?
Après cet article, quelqu’un a crée un groupe sur facebook, suppportant Lambert a ce poste mdr !
Et élargissons les fonctions du controleur à la fiscalité locale qui est en train de tourner au délire : la gauche notamment s’en donne à coeur joie, rappelent au contribuable qu’il est taillable et corvéable à merci …
Si le rôle du contrôleur général du Budget créé par M. Obama est de contrôler le bien fondé des dépenses, il ne me semble pas qu’il soit nécessaire de créer ce poste en France puisqu’il existe déjà. Je m’explique.
D’après ce qu’il est écrit dans la dépêche, M. Obama déclare "Pendant la campagne, j’ai dit que nous devions assainir ce budget, ligne après
ligne, en éliminant ce dont nous n’avons pas besoin ou ce qui ne marche pas, et en améliorant ce qui fonctionne", afin de justifier la création de ce poste. Or ces objectifs sont ceux de la Revue Générale des politiques publiques (RGPP) ex-audits de modernisation de l’Etat. Or il existe un comité interministériel des programmes (CIAP) qui est précisément chargé d’évaluer la cohérence et la pertinence des programmes et depuis 2007 de contrôler la qualité de la mesure des résultats. Les audits réalisés par le CIAP doivent permettre d’éviter les dépenses inutiles au sein des administrations et c’est précisément le rôle dévolu au contrôleur du budget. Pour ce qui est de l’utilité du dispositif aux USA, il me semble que le GAO a déjà un rôle en matière de pertinence des programmes depuis des années 70. Il faudrait peut être faire avec ce qui existe déjà dans un souci d’économie.
Concernant la Cour des comptes, elle a effectivement un rôle de certification des comptes, de contrôle des différentes administrations publiques, de contrôle des comptables et d’assistance au Parlement. Néanmoins, les différents rapports sur ces missions d’évaluation ou de contrôle des administrations n’ont pas de suite automatiques, alors plutôt que de créer un nouveau poste, encore un, pourquoi ne pas renforcer les pouvoirs de la Cour des comptes (notamment par rapport au contrôle des budgets de l’Elysée, de Matignon, du Sénat et l’Assemblée Nationale…).
Une autre solution pour assainir nos finances publiques consisterai à renforcer le contrôle démocratique (même si c’est un peu utopiste a mon avis). Mais pour qu’il soit efficace, il faudrait soit que les politiques (pas que les parlementaires et le Président au moment des campagnes électorales!) soient responsables devant les citoyens soit renforcer le rôle du Parlement et le rendre plus indépendant de l’exécutif (pas comme en ce moment).
Controle .. quelle importance s’il n’y a pas de sanction ?
Créer un "contrôleur du budget" après avoir annoncé sa volonté de gaspiller près de 1000 M$ supplémentaires cela est assez amusant, ou plutôt ridicule.
En fait, un donne un os à ronger au bon peuple pour lui faire croire qu’on s’occupe bien de l’argent qu’on lui prend (ou qu’on lui prendra).
Quant à faire appliquer la très libérale "Déclaration Des Droits de l’Homme et du Citoyen", il faudrait un vrai retournement idéologique en France…
M. Lambert, ne vous transformez pas en alibi pour le Président.
Pour ce qui est d’Obama, nommer un contrôleur du budget, alors qu’il se prépare avec la planche à billets, à transformer le billet vert en monnaie de singe, c’est pour le moins comique.
Pour ce qui est de la fonction de contrôleur général des dépenses publiques, chez nous, l’idée ne présente d’intérêt, que si le contrôleur en question, a un quelconque pouvoir pour changer quelque chose à la dépense.
Mais avant d’en arriver là, il faudrait commencer par le début, c’est à dire par définir ce qui est de la dépense publique acceptable et ce qui ne l’est pas. C’est là, et de très loin, qu’il y a le plus gros travail à faire.
Sinon, pour faire des constats qui ne mènent nulle part, on a un parlement, comme le dit si bien Seb, qui est déjà payé pour ça et qui semble t’il ne sert pas à grand chose.
Dans ce cas, la première question que devrait se poser un contrôleur de la dépense, devrait être : doit-on conserver des institutions qui sont très coûteuses et qui ne servent à rien ?
Ce poste vous convient parfaitement mais seulement à condition de virer les innombrables inutiles déjà en place ! à quoi servent réellement les contrôleurs actuels ? on est en droit de se poser la question de savoir pourquoi ils ne remplissent pas leur rôle de contrôle, leur en donne t’on réellement la possibilité, y aurait-il des freins, des consignes "surtout pas de vagues par ex." ?
@ Jezabel : merci de nous rappeler l’existence de tous ces " comités Théodule " mais vous omettez de souligner ce qu’a déclaré le Président élu : " déficit de responsabilité , déficit de confiance " dans l’Administration U.S. . Chez nous celle ci est tellement bien diluée qu’il n’y a que des experts comme vous pour trouver qui fait quoi… Avec quels résultats ? avec quelles sanctions ? ou est la Démocratie , la confiance des citoyens dans ce fatras ?
@Yffic31 : Je suis tout à fait d’accord avec votre constat. Les responsabilités sont effectivement trop diluées pour que les citoyens puissent comprendre clairement les choses.
Concernant les résultats du CIAP, les résultats des audits ont permis d’éliminer certains programmes en loi de finances et de rendre les indicateurs pus lisibles (c’est vrai il y a encore beaucoup de travail pour que cela soit parfaitement lisible pour tous les citoyens). Je ne suis pas sûre que cela est permis des économies substantielles (je n’ai pas les chiffres en tête mais je peux toujours rechercher).
Sur les sanctions, je n’ai pas eu connaissance de cas de responsables de budgets opérationnels de programmes (BOP) sanctionnés pour leur mauvaise gestion. Il reste beaucoup à faire pour avoir une véritable logique de performance au sein des administrations (et donc pouvoir envisager des économies…). La première mesure à prendre est à mon avis de reconnaître officiellement les responsables de BOP (dans une loi par exemple) et de leur confier de véritables responsabilités managériales avec l’obligation de rendre compte.
Je comprend bien où se situe le déficit démocratique en matière de bonne gestion des finances publiques et je suis d’avis de renforcer la transparence mais, en France, nous avons tellement l’habitude de créer des comités X ou Y pour un problème spécifique qu’un renforcement de la transparence impliquerai une remise en cause de notre mode de pensée.
Ceci dit, je suis tout à fait d’accord pour dire qu’un "déficit de responsabilité [entraine un ] déficit de confiance" et je rajouterai aussi un déficit d’efficacité.
Je pensais naïvement que N.S. aurait remis un peu d’ordre ; que de dépenses inutiles, que d’experts en tous genres continuent encore à profiter de leurs statuts sans rien n’apporter de concret …… la seule évidence c’est que notre dépense publique augmente tous les jours et qu’en fait rien ne change.
Le Timbré, n°61, extraits
Le sieur de Montebourg est l’invité d’Europe 1 le 11 janvier : la vacuité faite homme. Et qu’il m’excuse, c’est Montebourg que l’on dit maintenant, il a lui même renoncé à sa particule. C’est dômmage, la particule, c’est ce qu’il y avait de plus authentique chez Montebourg. Bref, encore plus que ses copains, il tire à boulet rouge sur le président. Ils sont tellement à court de projet les socialos qu’ils n’ont d’autre choix pour ne pas couler que de se lancer perpétuellement dans la critique acerbe. Telle celle qui concerne le pouvoir d’achat dont ils répètent comme un leitmotiv que le président n’en tient pas la promesse : en dehors du fait que les promesses qu’on fait le plus volontiers en campagne électorale sont celles qu’on sait ne pas pouvoir tenir – si un candidat ne se hazardait qu’en des promesses tenables, il serait élu roi des gentils petits oiseaux de la jolie forêt, mais certainement pas président de la République – le seul soutien efficace du pouvoir d’achat, c’est la croissance, pour la relance de laquelle les socialistes sont aussi vides de solutions qu’ils sont véhéments pour la critique du gouvernement agissant, se faîsant un vibrant honneur de ne surtout pas manquer d’oublier les quelques 760 millions disponibles au bénéfice des 3,6 millions de personnes éligibles au Revenu de Solidarité Active. Telle celle également concernant le plan de relance de 26 milliards, dont les socialistes n’ont eu comme réaction que de se précipiter pour lui reprocher son insuffisance, minant par la même le moral des acteurs économiques de telle manière que cela réduit d’emblée et d’ores et déjà considérablement ses chances de produire les effets escomptés. On a le très net sentiment que plus les socialistes se rendent comptent qu’ils n’ont strictement rien d’autre à proposer aux français que leurs vieilles lunes interventionnistes qui sont la cause essentielle de la déconfiture de laquelle le gouvernement s’échine à tenter de nous sortir aujourd’hui, plus ils s’acharnent contre lui, en espérant sans doute que leur courroux sera assez perceptible pour dissimuler leur pitoyable vacuité. Le député remet ainsi en cause toutes les réformes qui ont pour but de freiner la dérive totalement incontrolée des dépenses publiques. Il remet sur le tapis pour la 88 521 ème fois le paquet fiscal. Il parle des 500 millions d’euros de chèques qui ont été faits aux riches, en se gardant bien évidemment de les mettre en parallèle avec les quelques 100 à 200 milliards d’euros de chèque signés par ces riches avant qu’on ne leur rembourse généreusement cette aumône afin que le franchissement de la barre des 50% d’impôts ne transforme point les prélèvements en racket organisé. Ne serait ce pas vous qui ayez inventé la mauvaise foi, Mr Arnaud ? Ah il y a une grande richesse d’arguments chez les éléphants, et plus ils sont imbus d’eux mème plus le vide de leurs propositions saute aux yeux. Quand on écoute le député de Soane et Loire, on frémit rien qu’à l’idée qu’on a immédiatement à l’esprit de ce qu’un programme socialiste de remise en question de toutes les réformes actuelles et donc de retour immédiat à l’immobilisme le plus radical qui terrasse notre pays depuis 50 ans aurait pour conséquence : si les socialistes reviennent au pouvoir en 2012, parviendront t-il avant 2017 à faire franchir à notre pays la barre symbolique des 3000 milliards d’euros de dette publique ? Quand on écoute le bel Arnaud, on peut même parier sans grand risque pour 3500 millards. Mais ça n’est pas grave n’est ce pas, au délà des 4000 milliards, je pense que ça n’est même plus la peine de compter. Ceux qui compteront, ce ne sont finalement que nos enfants et arrière petits enfants sur quelques décennies de générations. Après tout, si on peut leur plomber l’existence pour la nuit des temps, pourquoi s’en priver ? Aller, tous derrière le bel Arnaud, c’est pas parce qu’il veut priver nos enfants d’avenir qu’il faut lui gâcher le sien. " Oui, Arnaud, vive les déficits" lui répond en écho son ami le président du conseil général de l’Ardèche ce même dimanche chez A.S. Lapix sur Canal +. Il explique que le meilleur moyen de soutenir l’emploi, c’est de créer des postes de fonctionnaires. Oui, "vive les déficits", entonne à la cantonnade un directeur d’hôpital qui demande la création de 20 000 postes. Le trou de 800 millions à l’hôpital public ? Mais bagatelle voyons, allez amis socialistes, faisons l’effort pour un chiffre rond : plus que 200 millions et oui, ce sera le milliard, le milliard, LE MILLIARD à l’hôpital !!! La vacuité et l’explosion des déficits comme unique programme : au boulot, Martine, y’a du pain sur la planche.
Victor C.
Tout le monde sait que l’administration française est très compliquée et inefficace.
Il faut contrôler les comptes et revoir les structures, qui doivent être repensées. C’est un gros travail car il y a des enjeux humains et les peurs paralysent le système, même si tout le monde aurait intérêt à long terme à ce qu’il fonctionne.
Mais réformer ne veut pas dire détruire. Une réforme doit apporter un plus.
Or j’ai des doutes sur les suppressions de postes qui sont faites dans les hôpitaux et dans l’éducation sans que des solutions dignes de ce nom aient été trouvée sur le terrain.
Exemple : dans l’école de mon petit fils, un poste d’enseignant a été supprimé. L’enseignante se retrouve avec 33 enfants de 3 et 4 ans et un aide à mi temps qui intervient sur 2 classes. Parmi ces enfants, 2 ou 3 sont hyperactifs et sont très difficiles à cadrer.
L’enseignante avoue être débordée et épuisée. Mon petit fils qui est plutôt éveillé s’ennuie à l’école et est angoissé. Il revient de l’école avec des maux de ventre, alors que l’an passé, il était enthousiasmé par l’école.
Eric Dupont Moretti, le célèbre avocat dit que lorsqu’on crée une école, ça permet de fermer une prison.
Barack Obama est en train de reconstruire le secteur publique, et nous, nous le détruisons. Oui, les réformes sont indispensables, mais pas n’importe comment. Le but n’est pas de casser, mais de transformer et de moderniser.
Notre Administration est franchement beaucoup trop compliquée et trop nombreuse pour être efficace, mais que faire ? cela semble bien difficile à faire bouger, il y a eu beaucoup de promesses mais …. nous attendons toujours les résultats, apparemment dans certains secteurs , même les inutiles essaient de prouver leur utilité pour conserver leurs avantages et ça marche ! alors que dans d’autres il y a un manque certain d’effectifs ? S’agit-il d’un certain laxisme ou d’une gestion prévisionnelle inexistante ?
MONIQUE : concernant l’école de votre petit-fils je ne comprends pas car l’assistant de l’enseignante est embauché et payé par la commune et non par l’Etat. L’ecole maternelle intercommunale que j’ai créée il y a 25 ans comporte une ASEM par classe .Une remarque statistique : les effectifs quotidiens réels en maternelle sont rarement conformes aux inscriptions ce qui n’empèche que les enseignants ont beaucoup de mérite à encadrer les enfants de cet age.
A Yffic31,
Merci, Yffic31 pour vos intéressantes remarques.
"Controleur du Budget " ? à peine nommée par le nouveau Président des EUA , Nancy KELLEFER , a du rendre son tablier avant de commencer à " tailler dans les dépenses superflues de l’Etat et à veiller au bon fonctionnement des Programmes Fédéraux " au motif qu’elle serait en délicatesse avec les services fiscaux de son pays . Vraiement ils copient tout sur nous , ces Américains , encore une idée soufflée par S.ROYAL à B.OBAMA…..