La Caisse des Dépôts accompagne des projets numériques, aux côtés des collectivités locales, met en place des projets dans ce sens, de l’école primaire au lycée, voire jusqu’à l’université. Nous vous invitons à lire cet article paru dans le magazine d’information de la Caisse des Dépôts et de ses filiales « CDScope ». Il nous apprend ce que sont les projets d’espaces numériques de travail mis en place dans les lycées et collèges, comment ils sont pilotés, leurs enjeux.
Voilà un projet pour lequel le conseil général de l’Orne pourrait bien être candidat prochainement pour ses collèges après une expérimentation avec un ou plusieurs d’entr’eux.
Donnez nous votre avis sur ce thème qui met l’école et la formation à l’heure des nouvelles technologies !
un peu étonné par votre interrogation.cela me parait tellement évident que je m’étonne qu’on n’en parle qu’aujourd’hui…comme quelchose d’innovant. Car les nouvelles technologies ne sont plus nouvelles et comme d’habitude nous sommes en retrad parce que nous sommes trop institutionalisés. Les entreprises sont bien loin devant non seulement pour l’emploi des technologies mais aussi pour les formes d’organisation qu’elles suscitent et de nouvelles productivités (un nexemple entre autres l’usage des bureaux qu siège de Arthur Andersen).
Et plus un pays est institutionalisé, cléricalisé, plus il est décalé…
Le Brésil par exemple est à bien des égards loin devant. Mais 50% de sa population a moins de 25 ans!
Je me souviens notamment du projet que j’avais voulu développer à Recife en 2000: Favelas on line qui consistait à établir un réseau intranet entre 5 grandes favelas, chacune étant bien sur connecté à Internet. son financement a buté en France sur l’incompréhension ironique…et l’idéologie.
Mais je l’avais conçu en 2000 parce que j’avais constaté que, dans la plupart des favelas, il y avait déjà des centres informatiques et des jeunes étonomment motivés et eux, mon projet les avait enthousiasmés. Il faisait passer Internet et Intranet du théorique ou du centre de formation au réel…Et en désenclavant les favelas il permettait entre autres de développer des marchés et des micro industries propres aux favelas. Désenclaver le mot était pour moi essentiel.
J’avais mobilisé un jeune HEC qui avait conçu le site et qui devait mobiliser quelque scopains en avance pour participer au démarrage. Le projet est allé au cimetière des beaux projets.
Alors bien entendu et fissa fissa!
Avant de disposer d’un ordinateur , espace numérique et autres technologies … que nos jeunes sachent déjà lire , écrire te compter .
Et point n’est besoin de technologie sophistiquée pour cela .