Cette expression (sans rapport avec la chanson de Gainsbourg!) décrit parfaitement la situation de deux personnes qui connaissent temporairement des difficultés pour se comprendre. Nulle ombre n’existe pour autant dans leur fidélité amicale. Cependant leurs idées divergent. C’est précisément ce qui m’arrive avec le Président Nicolas Sarkozy. J’estime nos relations personnelles intactes, du moins je l’espère, mais il devient de plus en plus difficile de nous entendre sur la meilleure stratégie à tenir sur l’économie et les finances publiques. Or en démocratie, est-ce un crime de jouer la transparence ? La vérité crue, hélas, est que les Présidents François Mitterrand et Jacques Chirac ont trop laissé filer la dépense et se sont retrouvés dans la triste situation de devoir augmenter les prélèvements. Si ces dépenses avaient financé des actifs matériels (grandes infrastructures) ou immatériels (R & D), rien ne serait grave. Mais la catastrophe est d’avoir accumulé une telle dette pour… financer des dépenses courantes! Voilà une attitude inqualifiable à l’endroit de la génération suivante. Le dire est-il devenu une insulte en France? Pire, une trahison ? Si vous appartenez au système politique devez-vous vous taire sur ce sujet, et en devenir le complice ? C’est pourquoi, je me permets respectueusement et fidèlement de dire au Président Sarkozy : Non ! Cela ne peut plus continuer comme avant et je ne m’y résoudrai pas. Et quand bien même je devrais être exécuté pour avoir dit la vérité cela ne changerait rien à l’état des finances !
Depuis Giscard et Raymond Barre, plus aucun budget de la France n’a été exécuté en équilibre. Depuis 30 ans, la génération des responsables politiques a tiré des chèques sur la génération présente et suivante. Il est impossible de continuer quand bien même nous le voudrions. L’euro nous a protégés, si j’ose dire, car sans lui nous aurions déjà connu 3 dévaluations. Mais demain c’est le bondissement des taux d’intérêts qui nous arrivera quand la notation de notre dette sera dégradée en 24 heures. Ce jour-là, ceux qui crient : bravo Président, continue Président, tu es le roi du monde Président, ceux qui ne cherchent pas l’intérêt de la France, mais tout simplement une place ou une sinécure, ceux-là seront les premiers à crier Haro sur le Président-bouc-émissaire d’une société politique sans courage, avachie par un cynisme supposé tenir lieu d’intelligence.
Il est vrai que nous avons échangé une explication assez franche avec le Président Nicolas Sarkozy, d’ailleurs pas formellement comme le JDD la décrit.
Pour que la vérité soit rétablie, il m’a reproché vertement deux choses :
La 1ère que je me sois, selon lui, arrogé le droit de parler « au nom de la majorité ». Il est possible qu’il l’ait lu quelque part mais je ne l’ai jamais fait car je sais parfaitement que je n’ai aucune délégation ni légitimité pour le faire.
La 2nde que je me prévaudrais d’une sorte d’exclusivité du courage dans la politique au dépend d’autres qui, toujours selon lui, auraient beaucoup plus de mérites à le faire que moi. J’accepte bien volontiers cette remarque. Le courage ne manque jamais à ses côtés pour lui délivrer des compliments. Compliments qui nous dopent tous comme les cyclistes du Tour du France. Peut-être, peut-il cependant lui arriver d’avoir un tout petit peu de temps pour lui seul. Dans le silence de sa conscience. Et se demander si les flatteurs sont bien les meilleurs conseillers ? Certes, il ne faut pas tomber dans l’excès inverse, ce qui semble être mon cas, si j’interprète bien sa pensée.
Voilà tout simplement notre histoire à ce jour. Elle est simple, crue, vraie. Celle de vrais amis qui ne se doivent rien sauf le respect du passé et l’espoir dans l’avenir de notre Pays. C’est pour cela que j’ai trouvé le titre « je t’aime, moi non plus" approprié !
Vous savez tout. Vous pouvez donc nous conseiller tous les deux dans notre débat vif pour le bien commun.
La Fontaine a écrit ses fables pour éduquer le roi louis XIV… Nos président feraient bien de les relires…
Je conseillerais à Nicolas Sarkozy de relire deux fables bien connues :
"Le Corbeau et le Renard" et "La cigale et la Fourmi".
Mais notre Corbeau s’inspirera t’il de la Fourmi ? Ou préférera t’il succomber au doux chants des cigales, quitte à en perdre son fromage ?
Tizel
Monsieur le Sénateur,
S’il y’a bien un politique, tous partis confondus, qui fait preuve de courage et de transparence, permettez-moi de vous le dire, mais un seul nom me vient à l’esprit… C’est celui d’Alain Lambert !
Que vous soyez issu de la majorité présidentielle et parlementaire renforce encore plus cette image de courage.
Vous n’êtes en aucun cas le porte-parole de l’UMP, Dieu sait que vous vous en êtes toujours défendu, mais il faut reconnaître Monsieur Lambert, que quand vous vous exprimez, Sénateur UMP de l’Orne que vous êtes, vous pouvez effectivement donner cette fausse impression à ceux qui ne vous connaissent pas, qui ne vous lisent pas et qui s’imaginent légitimement, que vous en êtes sans doute, un de ses porte-paroles.
Vous avez malheureusement ou heureusement, cette "aura" caractéristique des grands hommes. Ce n’est pas de la "lèche" que je vous fais, c’est simplement une impression que vous m’avez toujours donné.
Alors, si ce malheureux président vous fait de tels reproches, c’est soit qu’il est bien mal conseillé (ce qui ne m’étonnerais pas) ou soit qu’il s’aperçoit un peu tard, que son pouvoir se voit confronté à un contre-pouvoir, qui permet de garantir, heureusement pour nous, à la perspicacité d’un œil parfaitement acéré et extrêmement bien informé, combiné à une rare connaissance de notre société, de notre modèle budgétaire et des défaillances politiques menées. Bref Monsieur Lambert, le contre-pouvoir aujourd’hui, ce n’est certainement pas le Parlement ni le PS (Parti en voie de décadence) mais ce contre-pouvoir est actuellement symbolisé par un simple personnage… Vous-même Monsieur le Sénateur, parce que les autres se sont totalement couchés.
Monsieur Sarkozy, je l’ai connu tout jeunot, à la télé, avec son costume beige, cheveux longs et langage bien formaté. Il paraissait bien à cette époque et puis, le temps et la politique l’ont complètement changé. Aujourd’hui, c’est devenu un président, avec des convictions qui se sont totalement effritées. Un politique quoi ! Il s’exprime toujours aussi bien mais, voyez-vous, ces paroles sonnent faux. Il appartient désormais à une certaine caste de dirigeants et ses actes semblent se désolidariser de la majorité des attentes des citoyens qui forment le peuple.
Il est devenu le président de quelques uns, Bouygues, Bolloré et peut-être, comme l’actualité semble nous avoir informée : Christian Clavier.
Martine Aubry, que je n’aime pas forcément, a parlé, suite à l’affaire Corse relatant l’histoire de la débauche du préfet Dominique Rossi, d’une privatisation de la République.
C’est exactement ce qui est entrain de se passer actuellement, on privatise la république et bientôt, ce sont les citoyens qui seront fichés en fonction de leurs convictions politiques, de leurs appartenances culturelles et de leurs origines ethniques (Base de données Edvige pour ceux qui ne sauraient pas !).
Alors Monsieur le Sénateur, un personnage politique de votre envergure, très proche des citoyens parce que vous êtes issu du peuple et pensez comme le peuple, moi, j’estime que le président, quelque part, considère que vous représentez un danger pour l’exercice de son pouvoir, parce que, malgré tout, Monsieur Sarkozy est intelligent. Il sait que désormais, un homme veille.
Tant que vous serez là, je pourrais dormir tranquille, je sais pouvoir compter sur vous. Vous défendez mes intérêts et je suis persuadé que grâce à votre perspicacité, Monsieur Sarkozy, après avoir vendu France Télévision à Bouygues et consort, réfléchira à 2 fois avant de vendre la France aux industriels de tout bord…
Bravo Monsieur le Sénateur et surtout Merci de défendre les intérêts du peuple malgré le danger qui vous guette.
Je ne crois pas en la religion, j’ai des doutes sur l’existence de Dieu mais pourtant, comme Jean d’Ormesson l’écrivait dans son œuvre l’histoire du Juif errant, en tout temps et dans toute civilisation, il y a toujours, dans l’histoire de l’humanité, un homme qui veille.
Vous êtes sans doute celui-ci.
c’est toujours pareil la vie de couple,
quand on a plus grand chose en commun on se traite de tous les noms
on se reproche tout ce qui passe par la tête
Il ne vous a donc pas dit un mot sur le fond, mais tout sur la forme.
Il ne faut pas rêver l’autre, Alain Lambert, vous avez du courage
je ne vois pas qui aurait plus de mérite à être plus courageux que vous: Lagarde…
Bonjour,
Le problème est que "les histoires d’amour finissent mal en général…" si l’on souhaite rester dans le domaine musical !
La communication est un art difficile, et parlez comme vous le faites pour le bien de tous ne servira à N.S que le jour où il sera capable d’écouter. Je pense qu’il est actuellement plutôt empli de certitudes que de doutes. Même si ce que vous lui dites n ‘est pas inutile (cela fera peut être "son chemin") vos discours ont peu d’effet car N.S est grisé par le pouvoir, l’amitié a donc peu d’influence. Il doit se sentir "invincible", sans cesse conforter dans ses actions car entouré de flatteurs. N.S pour être arrivé number one, n’a pas bénéficié de son charisme, (il n a pas le même look que Miterrand ou Chirac), c’est un besogneux, déterminé et suffisamment mégalo pour avoir toujours pensé qu’il pourrait y arriver. Son rêve s’est réalisé et il est encore sur son petit nuage. Il gère tout, veut faire autrement, mais reste persuadé jusqu’à preuve du contraire qu’il doit continuer. Que peut il lui arriver jusqu’aux prochaines élections ? Il est en mode « émission », nous assène des lois, des réformes tout azimuts (c est sur ce discours qu’il a été élu) et pas en mode « réception », et la communication fonctionne comme une radio et non comme un téléphone (malgré les pratiques courantes), on ne peut écouter et parler en même temps.
Je crois donc, si je peux me permettre, que vos difficultés sont en fait un problème de « timing ». Il ne peut pas vous entendre en ce moment ! Cela viendra peut être, s’il rencontre des difficultés, ou à l’approche d’enjeux électoraux.
C’est aussi pour toutes ses raisons que je pense que vous êtes le meilleur candidat pour le sénat mais qu’il ne faut pas vous présenter si vous n’avez pas l’aval de N.S, « ils vont vous casser » La machine, les petits arrangements, les promesses aux sénateurs détourneront les votes. (Peut être à une voix près mais ils savent mettre en route la machine à « convaincre » lorsqu’il le faut et vous ne le méritez pas, bien au contraire), vous ne serez pas élu et vous en souffrirez, car vous êtes sincère. Les batailles sont rudes et laissent des traces, ils ne vous méritent pas !
J’espère ne pas avoir fait de la psychologie de comptoir (en peu de lignes, cela parait souvent caricatural) la communication écrite est aussi un art difficile ! Bon courage quelque soit votre décision.
le président vous aurait donc dit "Elle ne te plaît pas, ma taxe du RSA? Alors, trouve autre chose, trouve une autre solution, ça m’est égal! Tu es parlementaire, tu votes les lois, débrouille-toi!"
est-ce vrai ?
La surdité est-elle une stratégie politique ?
Même les alertes européennes n’y font rien.
Quand je lis ceci :
"Avec un mauvais deuxième trimestre (-0,3%, ndlr) et un troisième trimestre dont, je l’ai dit déjà, je pense qu’il ne sera pas bon, il est mathématiquement impossible que nous atteignions 1,7%", a déclaré Mme Lagarde au "Grand jury RTL/Le Monde/LCI".
Le gouvernement escomptait jusqu’à présent une croissance comprise entre 1,7 et 2% en 2008. Pour 2009, il table pour l’instant sur une croissance comprise entre 1,75% et 2,25%.
"On sera sans doute autour de 1%", a ajouté la ministre, en rappelant que Bercy ferait "un prévisionnel de croissance précis et réaliste lors de la discussion du projet de loi de finances le 24 septembre".
==> Malgré des prévisions fausses pour 2008, le mensonge continue pour 2009…..
Vous avez donc mille fois raison de marteler votre demande d’assainissement des finances publiques.
Martin Hirsh ne pourra même plus financer le RSA….
Alors, continuez votre combat même si on a tort d’avoir raison trop tôt..
PS
Vous pouvez essayer de convaincre Clavier, Reno, Barbelivien & Co qui ont peut-être plus l’oreille du Président……..
Monsieur LAMBERT,
Un seul conseil puisque vous le demandez et excusez ma réaction un peu vindicative mais vos relations avec le Président n’intéressent pas le contribuable que je suis, seuls les RESULTATS comptent! (La bonne relation reste un simple moyen).
Passez le mot à notre Président que 80% des chefs d’entreprise de TPE/PME veulent une baisse des charges sociales sur le premier emploi ainsi que sur leur salaire les premiers exercices.
Les mesures mises en place ne concernent pas les petites entreprises qui sont le bassin d’emploi du futur de notre pays.
Voilà le conseil. Il est un conseil PRAGMATIQUE et qui répond aux sondages des chefs d’entreprises faisant ressortir depuis des décennies les mêmes attentes.
Il est un conseil qui veut que notre Président réponde aux attentes que nous avons posé avant la campagne Présidentielle qui est de favoriser la croissance économique de notre pays!
—
Je vous donne mon exemple personnel: Gérant non salarié de SARL,
Je côtise 45.2% de charges sur ma rémunération; Voyant cela, j’ai préféré opter pour le versement d’une dividende dans une certaine limite afin de me dispenser de payer l’impôt sur le revenu ainsi que des charges patronales importantes tout en limitant également le versement de l’IS.
Au final, ma société dépense le moins d’argent possible mais je n’ai pas de couverture sociale. Je n’ai pas le choix pendant les 5 premières années si je veux que mon projet puisse connaître la réussite.
Quand je vois tout les sacrifices que je fais au quotidien par rapport à ma vie d’avant en tant que salarié, je m’agace d’en entendre se plaindre alors que nous les créateurs de richesse sommes les premiers délaissés.
Où mon RSA à moi qui est aujourdhui vit à 100% en dessous du seuil de pauvreté ?
Je remercie tout de même mon pays de m’avoir permis de la créer cette boîte et je lui rendrai, c’est "obligé" mais franchement si il y’a des investissements à faire sur la croissance faites les au bon endroit!
Lisez les statistiques de l’URSSAF, vous verrez.
C’est le temps de l’action maintenant, terminé la démagogie et la politique politicienne. Tout le monde au travail, d’ailleurs j’y retourne.
Cordialement.
ce que vient d’écrire Humaniste n’est pas dénué de sagesse, bien sûr. Mais l’envie est forte et les occasions rares. Il faut arriver à pondérer tout cela…
J’apprécie beaucoup la façon dont vous exprimez vos convictions.
Vous êtes un vrai démocrate.
Vous êtes un véritable ami pour le président. Un ami véritable ose affrontement et la vérité et s’interdit la soumission pour avoir des avantages personnels. Il ya toujours eu beaucoup de courtisans autour des hommes de pouvoir. Pauvre humanté !
Vous êtes surtout respectueux des gens que vous représentez et vous avez le sens des responsabilités.
Merci de continuer à défendre vos convictions dans l’intérêt de tous.
Bonjour Mr Le Ministre :
j’ai rejoins l’UMP en Juin 2007 au lendemain de l’election du Président Sarkozy ; je n’ai pas (pas encore) renouvelé mon adhésion 2008…
Vous dire que je souscris à vos options politiques serait un doux euphémisme : depuis plusieurs mois, j’attire l’attention du Président qui en a conclu qu’il devait fermer l’accès aux "contetataires" sur le site de l’Elysée…
Déjà en son temps, Montesquieu écrivait : "il n’est pas de plus lourd fardeau, mon cher Ubseck, que la vérité, lorsque c’est au Prince qu’il faut la porter" : les temps n’ont pas véritablement changé : souvenez vous il y a 2000 ans : c’est le messager de l’une défaîte militaire qu’on jetait au Lions, jamais le Général qui avait perdu…
Mon message à son intention est pourtant limpide :
Tous les pays modernes qui sont à plus de 3% de croissance et (accessoirement )moins de 5% de chômage sont à moins de 35% de tx de Prélèvements Obligatoires…
Et nous sommes à plus de 46% !!!
Je lui ai donc recommandé (sans succès) de passer de la rupture tranquile à la rupture FRANCHE…
Je crois que le problème existentiel du Président en dehors de "l’éloignement" qu’amène l’exercice du pouvoir et le phénomène "de cour" très bien décrit déjà en son temps par VGE… c’est qu’il est cloué par ses propres promesses de campagnes :
il a promis de ne pas rempl. 1 fonct/2 partant à la retraite alors qu’il faudrait en supprimer 1/4 EN ACTIVITE !!!
Qui donc pourrait être élu avec un programme pareil ?!
Je vous précise travailler dans La FP : j’ai donc une perception particulièrement précise de ce qui pourrait être en visagé ou pas…
Je suis prêt à travailler avec vous Mr Le Ministre , pour peu que ma contribution vous intéresse : il vous suffit de me répondre à l’adresse- mail ci-dessus si, toutefois, le coeur vous en dit…
Je vous prie de croire, Mr le Ministre en l’assurance de ma très haute considération…
BONNOT
Mars 2008:
déficit 0 en 2012, pas de problème
Juin
déficit 2.5 en 2008 et 2 en 2009
Septembre
déficit 2.7 en 2008 et 2.7 en 2009
de quoi avez vous peur Alain Lambert ?
Jacques Chirac a perdu beaucoup d’amis "sur la fin", et il s’est trouvé beaucoup de monde pour avoir alors le courage de dire ce qu’il aurait fallu faire. Vous, vous partez peut-être un peu tôt, mais personne ne pourra dire que vous n’aurez pas été fidèle à vos convictions. Sur le RSA, je vous avoue que je me sens bien incompétent. J’aime l’esprit de la mesure, je trouve qu’elle est une belle conciliation des visions de gauche et de droite (voire même qu’elle devrait être l’exemple d’une réponse de droite à une donnée de fait, ici, le fait que la reprise du travail peut-être moins intéressante que l’assistance). Sur son financement, j’avoue que je comprends assez ce que vous dit le Président : si l’on refuse l’endettement, comment la financer à brève échéance ? Maintenant, n’étant pas non plus favorable à la création de nouvelles taxes à chaque nouvelle idée (et un peu fâché de voir que les sous que je mets de côté chaque mois pour payer mes charges et les impôts vont, en plus, être taxés – si je n’m’abuse), oui, effectivement, s’il y a d’autres solutions…
Et puis, habituellement, c’est la flagornerie qui se concilie avec les ambitions personnelles. Là, c’est probablement le courage qui se concilie avec les autres. Alors, allez-y, profitez-en, mangez-en, régalez-vous, vous êtes un homme libre !
Pour finir, on dit que Sarko ne respecte que les rapports de force…
Ce serait tellement fantastique si Nicolas Sarkozy arrive à être le premier président depuis plus de 20 ans avec un budget à l’équilibre. Pour 2010, c’est mort. Mais pourquoi pas 2012 ? Monsieur Sarkozy, c’est maintenant qu’il faut commencer. Et je vous dis cela, comme monsieur Lambert, en toute sincérité, honneteté et intelligence.
Si une réduction drastique des coûts ne vous semble pas la stratégie la plus opportune ( en face de la crise, une stratégie keynesienne vous semble peut-etre plus opportune), pourquoi ne pas clairement dire à vos ministres d’au moins ne plus augmenter leurs dépenses et d’en améliorer l’efficience?
Ce post pourrait trouver sa place dans la rubrique "humour" si l’ambiance n’était pas si grave…
Je suis personnellement pessimiste sur la capacité de nos maitres à prendre conscience des problèmes, et c’est uniquement quand les préteurs chinois et arabes vont nous mettre le couteau sous la gorge que les choses bougeront.
Avez-vous vu la série de l’été "terre de lumière" ?
J’y étais "forcé", nous n’avons qu’un seul poste de télé dans le salon …;-)
L’histoire se passe en 1943, l’héroïne est la belle Aline Boissières, bergère de son état. Les héros sont TOUS des fonctionnaires: le beau Arnaud Villiers (militaire), le moustachu Paul Desmazures (instituteur). Le député de droite est présenté comme un pro-allemand cynique.
Les seuls artisans (libéraux) sont odieux: le boucher est un alcoolique violent qui meurt des le premier épisode dans une bagarre au couteau, le camionneur du dernier épisode est un salaud qui vend les résistants aux fonctionnaires vichyste, il tente de corrompre ces fonctionnaires, qui bien entendu refusent les combines, etc… etc…
Et dire que je paye de la redevance pour voir ca !!! Aaaaaaaaarhgh.!!!!
La France vit sous addiction de finance publique, les élites et les medias sont déconnectés de la réalité, de la dureté quotidienne, de l’esprit de compétition et d’initiative que les masses laborieuses se doivent pour sortir la tête de l’eau. "Réduire le train de vie de l’Etat", et "le nombre de fonctionnaires", sont des gros mots. Comme le disait "jp" par ailleurs, pourquoi entrenir à grands frais des embassades en Europe ? Internet est-il aussi un gros mot ?
C’est la religion chretienne, qui marque la société française et cela explique notre comportement en politique: notre rédemption viendra par la souffrance à travers l’épreuve. Ca va péter
Quant à l’attitude de NS :"alors, trouve autre chose, trouve une autre solution.. débrouille-toi!". Un psychologue du comportement vous dirait qu’il s’agit d’une expression irresponsable de quelqu’un qui perd pied.
Dites simplement à Monsieur Le Président, de notre République, de ma République, élu par le peuple, d’aller jeter un simple petit coup d’oeil sur votre passage à la mairie d’Alençon pour qu’il puisse un tout petit peu comprendre que côté finance vos en connaissez un rayon nous avons vécu de bonnes années et vous avez fait du bon boulot mais j’a comme l’impression que Monsieur Renard prèfére la flatterie à l’efficacité , le faire paraître plus que le paraître faire et le petit peuple n’a qu’à bien se tenir…. vive la république
Comment et pourquoi Monsieur Lambert infléchir aujourd’hui votre attitude, vis à vis de décisions prises par le Président qui sont en totale contradiction avec vos convictions ?
Là est bien la question ?
Comment le faire et pourquoi le faire ?
Comment, sans apparaître aux yeux de votre ami comme un traître, un " lâcheur " et sans jouer les girouettes et les inconstants, en vous attirant à nouveau un flot de critiques acerbes, comme cela fut le cas pour votre vote à Versailles ?
Pourquoi, puisque vos convictions en matière d’équilibre budgétaire et de réduction de la dette sont parfaitement légitimes et recueillent un large soutien populaire, si l’on en juge par les réactions sur ce blog ?
Je ne vois qu’une solution : l’union.
L’union a toujours fait la force.
Seul vous ne pourrez lutter à force égale et donc vous faire entendre, par indéniablement et objectivement, plus fort que vous.
Le Président aura le dernier mot et il finira par vous rejeter, vous déstabiliser, vous mettre hors jeu.
Interpellez officiellement ( par une lettre ouverte ) et haut et fort vos amis et collègues Sénateurs pour tenter d’ obtenir de la part d’une majorité d’entre eux un soutien, non pas pour s’opposer au Président, mais pour l’aider à mieux gérer la maison et comme vous le dites, " pour le bien commun ".
Au point où vous en êtes de votre démarche et de vos relations avec votre ami, je ne vois pas d’autre conseil à vous donner, en toute sincérité et toute modestie.
Certes, vous décrivez parfaitement la situation. Cela dit, soyons honnête, vous n’êtes pas le premier à la décrire…
Mais concrétement, on fait quoi ? On attend de percuter le mur entre gens de bonnes compagnie en s’apostrophant avec mesure ?
Et pour le moment, on s’en prend à NS.
N’oubliez pas que Delanoe a bien pris soin de préciser "le PS reste le parti des fonctionnaires et de l’impôt".
Les générations à venir connaitront des temps difficiles !!!
J’avais tout de même oublié de préciser dans mon précédent post que pour me remercier de ces investissements qui à terme profiteront à la collectivité, c’est sur mes dividendes que les 1.1% pour le RSA seront prélevés.
Et la cerise sur le gateau, on supprime l’IFA qui concerne les grandes entreprises (+ de 300 000€ de CA annuel).
C’est la TOTALE ! le Bouquet final =) C’est le 14 Juillet de l’abération un an à l’avance et nous sommes tous comblés de joie.
J’ai l’impression que notre Président est fasciné par les têtes bien pleines. Il ferait mieux de s’intéresser aux têtes bien faîtes !
Monsieur LAMBERT, Essayez tout simplement de raisonner N.S., il fait fausse route et ce en quoi il est certainement très bien conseillé par de faux amis, ils ne sont pas de son bord politique alors plus ils le mettront en difficulté , plus leur parti rique de rebondir, par conre lui seul portera la responsabilité de l’échec . Dommage car une ouverture était semble t’il raisonnable et démocratique, mais cela ne se fait pas de manière très responsable et N.S. semble un peu oublier pourquoi et par qui il a été élu.
Puisque vous nous demandez notre avis, cette situation appelle plusieurs remarques:
1. Vos positions sont remarquées parce qu’elles semblent à plus d’un fondées et que vous êtes un homme crédible par votre antériorité et votre côté "pur". Sinon, pourquoi en ferait-on autant écho?
2. N.S. est agacé parce que vous êtes l’un des seuls qui ose lui dire des choses qu’il n’a pas envie d’entendre. A force de donner le sentiment de décider de tout, il serait bien inspiré d’accepter la discussion avant de trancher, plutôt que de trancher avant la discussion,
3. "Elle ne te plaît pas, ma taxe du RSA? Alors, trouve autre chose, trouve une autre solution, ça m’est égal! Tu es parlementaire, tu votes les lois, débrouille-toi!". Ce qui veut dire: " Alain Lambert, tu as raison mais ça m’emm…de le reconnaître. Alors, s’il te plaît, sors-moi de cette impasse dans laquelle je me suis fourré , mais désolé: ne compte pas sur moi pour te dire merci car ça m’emm…. tout autant! Que veux-tu, j’ai mon ego!"
Autrement dit, M. Lambert, vous avez trois choses à faire:
1. Dire à Nicolas Sarkozy que vous l’aimez toujours et que votre souhait le plus cher est qu’il réussisse le programme sur lequel il a été elu,
2. Trouver une piste de solution de remplacement en associant à vos travaux d’autres personnes crédibles qui ont autant de crédibilité que vous et que Nicolas Sarkozy ne peut pas soupçonner d’avoir des ambitions gênantes pour lui ( il y en a quelques uns et quelques unes….),
3. Allez ensuite le voir en lui demandant son avis, pour le faire participer à la finalisation, et qu’il puisse en partager la paternité.
Le joker: dégoter une piste de solution qui lui permettra à Nicolas Sarkozy de faire à nouveau la nique aux "baveux" du PS et de surprendre les strats de l’électorat p qu’il souhaite reconquérir.
Bon travail!
C’est effectivement le verbe plaire à tous les temps !
Il évidemment que N.S. a idées, des bonnes et des moins bonnes, comme tout a chacun. Quel est véritablement le rôle du Premier Ministre par ex. qui a compris que le Chef n’aimait pas être contrarié , alors au lieu d’essayer de le contredire à bon escient , il évite de le mettre en colère et donne même l’impression d’en rajouter … pour aller dans son sens bien sûr ; il faut une certaine solidarité au sein d’un Gouvernement mais celui-ci ressemble à un troupeau de moutons , ce n’est pas bon pour la France, la contradiction positive peut apporter de l’efficacité …
Mr Lambert comment pouvez-vous encore "aimer" Nicolas ?
notre président se pavane aux affaires "étrangères"
pendant que notre économie s’écroule lentement
comment Sarko peut-il crédiblement s’occuper
de l’ Afghanistan, de la Géorgie et du Liban
alors qu’il est incapable de résoudre
les problèmes de la France ???
notre influence internationale pourra être crédible
quand nos affaires internes seront en ordre
ce qui est hélas loin d’être le cas…
les gesticulations internationales de Sarko
sont un temps très précieux perdu pour
combattre nos problèmesres internes
comment ce président qui ne gére
ni ses priorités, ni ses ministres
peut-il diriger la France ?
Mr Lambert quand direz-vous
que notre roi est nu ?
L’avantage avec les amis (quand c’est réellement le cas), C’est qu’on peut aborder les sujets qui fâchent, sans vraiment se fâcher (enfin, en principe).
Sur la vérité crue, vous décrivez parfaitement la situation.
Les socialos-marxistes ont mis la France à genou depuis 81, et Chirac n’a pas fait ce qu’il aurait dû pour effacer les traces des méfaits de leur passage (en avait-il vraiment l’intention ?).
Sarko est arrivé, comme un pragmatique, voulant créer un choc de confiance pour sortir le pays de la torpeur. L’idée n’est pas mauvaise, mais penser que ce soit suffisant est une grossière erreur. Il en faudra beaucoup plus pour remettre le pays sur les rails.
L’intention affichée serait de ramener la dette à 60% en 2012 ! Comme si ça pouvait être suffisant ! (faut-il encore atteindre cet objectif, et on n’en prend pas le chemin).
En fait, atteindre 60% en 2012, par rapport à nos 65%, ne fait même pas 10% de différence, donc même pas 10% de différence sur le montant des intérêts actuels et à condition que les taux ne bougent pas.
Cela veut dire qu’en 2012 le montant des intérêts sera encore quasiment ce qu’il est aujourd’hui.
Depuis le rapport Pebreau, on nous explique à juste titre, que l’impôt sur le revenu, suffit à peine à payer les intérêts de la dette.
En réalité, si l’on ne tient compte que des vrais contribuables, l’impôt sur le revenu est très loin d’être suffisant pour en payer les intérêts. Et autant leur dire qu’a ce train, ceux qui paient de l’impôt sur le revenu, vont payer pour les décennies qui viennent par leur impôt, des intérêts pour une dette, sur laquelle d’autres ont bien vécu pendant trente ans.
Pour l’instant, la France continue de s’enfoncer, et il faudra plus qu’un choc de confiance pour inverser la donne.
Stupéfiante intervention de Yohann, le lundi 8-08:29 :
"..Je remercie tout de même mon pays de m’avoir permis de la créer cette boîte.."
Ok on n’est pas en URSS, mais nous on a nos "commissaires aux comptes", et ca fait un peu "commissaires du peuple" 🙂
à Gerfo
en 2012 le montant des intérêts sera déterminé par le niveau des taux d’intérêts de l’époque tout autant que par le capital restant du.
Les taux ont monté de 1.50 point de taux en 2 ans
donc s’ils montent encore, par exemple d’un point de taux, le cout de la dette va croitre de 20 %
et c’est très probable qu’ils montent encore car il y a de l’inflation un peu partout
C’est pour cette raison : que la situation de l’Etat surendetté s’est énormément dégradée depuis peu de temps,
et qu’il faut massivement rembourser la dette en vendant un maximum d’actifs publics couteux et inutiles
Le président subit la hausse de taux.
Je ne comprends pas pourquoi, lui qui veut secouer l’urbanisme ne décide pas de reloger tous les ministères dans une cité administrative à l’est de Paris, contrepoids de la Défense, avec 3 ou 4 tours on libérerait énormément de locaux historiques encore vendables à un prix fou – l’opération devrait dégager largement une centaine de milliards si l’Etat décide de devenir locataire et d’énormes économies de fonctionnement – à qui voudra bien supporter le cout de bâtiments classés.
De même, ou pourrait rassembler les deux assemblées, la Cour des comptes et le Conseil d’Etat pas loin de Roissy avec une bonne gare TGV, et vendre ces magnifiques bâtiments du passé qui n’ont pas été conçus pour cela (j’ai toujours été consterné d’être reçu dans des placards ou des salons XVIII° transformés en marché aux puce de fils d’ordinateur et de téléphone)
on peut se poser la question de conserver l’Elysée, louer Versailles et les Trianon pour les réceptions serait suffisant. De Gaulle voulait mettre la présidence au Chateau de Vincennes, solution dépassée. Il faut que les réunions de ministres soient facile à faire, à réaliser en une heure, c’est la seule façon de gérer aujourd’hui, être capable de travailler en équipe très vite.
La France donnerait aussi l’image d’un pays ou le pouvoir se consacre à l’efficacité au lieu d’inciter tous les départements et les moindres maires à acheter à prix d’or des grosses maisons bourgeoises pour afficher leur prétentions
Les industriels du luxe feraient de belles choses rentables avec ces bâtiments.
Il faut en finir avec la fascination de l’aristocratie de l’ancien régime car elle influence les comportements, la démonstration du pouvoir c’est l’action et la communication pas le cinéma, on est dans un monde qui évolue vite et tout le temps
Je suis admiratif de l’absence d’ostentation de notre Union, à Bruxelles
et ça marche très bien, notre Cour de Justice de Luxembourg est un beau modèle d’efficacité.
Le feuilleton préféré de Nicolas :
Alain La Fronde
La Fronde est une issue d’un conflit des intérêts : le roi cherche à renforcer son absolutisme, le Parlement cherche à instaurer un régime parlementaire à l’anglaise et les nobles, partisans d’une "monarchie féodale", veulent restaurer leurs anciens privilèges. La haine contre le cardinal Mazarin en est un cataliseur.
Comme réponse au décret de Mazarin, selon lequel les parlementaires sont obligés de racheter leur chargee Parlement s’opposera systématiquement aux édits financiers.
Les événements commencent en juillet 1648 par la Déclaration du Parlement de Paris limitant les pouvoirs du roi. Il faut préciser que le rôle d’origine du Parlement en France est de voter les impots. Dans la Fronde, le Parlement de Paris va tenter de se faire reconnaître comme représentation nationale et d’instituer une monarchie parlementaire. Vont ensuite l’arrestation du parlementaire Broussel, la revolte de la population de Paris… En janvier 1649 la reine, le jeune roi et le Mazarin s’enfuient à Saint Germain. Encerclés dans Paris par le grand Condé, les parlementaires se soumettent enfin.
Condé veut se faire nommer premier ministre à la place de Mazarin mais le roi décide autrement : Condé est arrêté. C’est le début de la "Fronde des princes". Masarin s’enfuit de la France, s’inclinant devant les reclamations du peuple et du Parlement. Condé déclenche de nouveaux soulèvements et marche sur Paris. Il est arrêté par Turenne, nouveau commandant des armées royales. Paris est aux mains des Frondeurs, la Grande Mademoiselle fait tirer les canons de la Bastille sur l’armée royale. Condé doit fuir aux Pays Bas. La guerre civile se termine enfin, avec une repression modérée des révoltés. En 1653, le cardinal de Mazarin revient, la Fronde est finie.
Le jeune Louis XIV a tiré des leçons de cette période: le Parlement perdra bientôt tout pouvoir et les nobles seront apprivoisés et changé en courtisans de la Cour…
Le feuilleton préféré de Nicolas :
Alain La Fronde
La Fronde est une issue d’un conflit des intérêts : le roi cherche à renforcer son absolutisme, le Parlement cherche à instaurer un régime parlementaire à l’anglaise et les nobles, partisans d’une "monarchie féodale", veulent restaurer leurs anciens privilèges. La haine contre le cardinal Mazarin en est un cataliseur.
Comme réponse au décret de Mazarin, selon lequel les parlementaires sont obligés de racheter leur chargee Parlement s’opposera systématiquement aux édits financiers.
Les événements commencent en juillet 1648 par la Déclaration du Parlement de Paris limitant les pouvoirs du roi. Il faut préciser que le rôle d’origine du Parlement en France est de voter les impots. Dans la Fronde, le Parlement de Paris va tenter de se faire reconnaître comme représentation nationale et d’instituer une monarchie parlementaire. Vont ensuite l’arrestation du parlementaire Broussel, la revolte de la population de Paris… En janvier 1649 la reine, le jeune roi et le Mazarin s’enfuient à Saint Germain. Encerclés dans Paris par le grand Condé, les parlementaires se soumettent enfin.
Condé veut se faire nommer premier ministre à la place de Mazarin mais le roi décide autrement : Condé est arrêté. C’est le début de la "Fronde des princes". Masarin s’enfuit de la France, s’inclinant devant les reclamations du peuple et du Parlement. Condé déclenche de nouveaux soulèvements et marche sur Paris. Il est arrêté par Turenne, nouveau commandant des armées royales. Paris est aux mains des Frondeurs, la Grande Mademoiselle fait tirer les canons de la Bastille sur l’armée royale. Condé doit fuir aux Pays Bas. La guerre civile se termine enfin, avec une repression modérée des révoltés. En 1653, le cardinal de Mazarin revient, la Fronde est finie.
Le jeune Louis XIV a tiré des leçons de cette période: le Parlement perdra bientôt tout pouvoir et les nobles seront apprivoisés et changé en courtisans de la Cour…
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Comme réponse au décret de Mazarin, selon lequel les parlementaires sont obligés de racheter leur chargee Parlement s’opposera systématiquement aux édits financiers.
Les événements commencent en juillet 1648 par la Déclaration du Parlement de Paris limitant les pouvoirs du roi. Il faut préciser que le rôle d’origine du Parlement en France est de voter les impots. Dans la Fronde, le Parlement de Paris va tenter de se faire reconnaître comme représentation nationale et d’instituer une monarchie parlementaire. Vont ensuite l’arrestation du parlementaire Broussel, la revolte de la population de Paris… En janvier 1649 la reine, le jeune roi et le Mazarin s’enfuient à Saint Germain. Encerclés dans Paris par le grand Condé, les parlementaires se soumettent enfin.
Condé veut se faire nommer premier ministre à la place de Mazarin mais le roi décide autrement : Condé est arrêté. C’est le début de la "Fronde des princes". Masarin s’enfuit de la France, s’inclinant devant les reclamations du peuple et du Parlement. Condé déclenche de nouveaux soulèvements et marche sur Paris. Il est arrêté par Turenne, nouveau commandant des armées royales. Paris est aux mains des Frondeurs, la Grande Mademoiselle fait tirer les canons de la Bastille sur l’armée royale. Condé doit fuir aux Pays Bas. La guerre civile se termine enfin, avec une repression modérée des révoltés. En 1653, le cardinal de Mazarin revient, la Fronde est finie.
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Comme réponse au décret de Mazarin, selon lequel les parlementaires sont obligés de racheter leur chargee Parlement s’opposera systématiquement aux édits financiers.
Les événements commencent en juillet 1648 par la Déclaration du Parlement de Paris limitant les pouvoirs du roi. Il faut préciser que le rôle d’origine du Parlement en France est de voter les impots. Dans la Fronde, le Parlement de Paris va tenter de se faire reconnaître comme représentation nationale et d’instituer une monarchie parlementaire. Vont ensuite l’arrestation du parlementaire Broussel, la revolte de la population de Paris… En janvier 1649 la reine, le jeune roi et le Mazarin s’enfuient à Saint Germain. Encerclés dans Paris par le grand Condé, les parlementaires se soumettent enfin.
Condé veut se faire nommer premier ministre à la place de Mazarin mais le roi décide autrement : Condé est arrêté. C’est le début de la "Fronde des princes". Masarin s’enfuit de la France, s’inclinant devant les reclamations du peuple et du Parlement. Condé déclenche de nouveaux soulèvements et marche sur Paris. Il est arrêté par Turenne, nouveau commandant des armées royales. Paris est aux mains des Frondeurs, la Grande Mademoiselle fait tirer les canons de la Bastille sur l’armée royale. Condé doit fuir aux Pays Bas. La guerre civile se termine enfin, avec une repression modérée des révoltés. En 1653, le cardinal de Mazarin revient, la Fronde est finie.
Le jeune Louis XIV a tiré des leçons de cette période: le Parlement perdra bientôt tout pouvoir et les nobles seront apprivoisés et changé en courtisans de la Cour…
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Comme réponse au décret de Mazarin, selon lequel les parlementaires sont obligés de racheter leur chargee Parlement s’opposera systématiquement aux édits financiers.
Les événements commencent en juillet 1648 par la Déclaration du Parlement de Paris limitant les pouvoirs du roi. Il faut préciser que le rôle d’origine du Parlement en France est de voter les impots. Dans la Fronde, le Parlement de Paris va tenter de se faire reconnaître comme représentation nationale et d’instituer une monarchie parlementaire. Vont ensuite l’arrestation du parlementaire Broussel, la revolte de la population de Paris… En janvier 1649 la reine, le jeune roi et le Mazarin s’enfuient à Saint Germain. Encerclés dans Paris par le grand Condé, les parlementaires se soumettent enfin.
Condé veut se faire nommer premier ministre à la place de Mazarin mais le roi décide autrement : Condé est arrêté. C’est le début de la "Fronde des princes". Masarin s’enfuit de la France, s’inclinant devant les reclamations du peuple et du Parlement. Condé déclenche de nouveaux soulèvements et marche sur Paris. Il est arrêté par Turenne, nouveau commandant des armées royales. Paris est aux mains des Frondeurs, la Grande Mademoiselle fait tirer les canons de la Bastille sur l’armée royale. Condé doit fuir aux Pays Bas. La guerre civile se termine enfin, avec une repression modérée des révoltés. En 1653, le cardinal de Mazarin revient, la Fronde est finie.
Le jeune Louis XIV a tiré des leçons de cette période: le Parlement perdra bientôt tout pouvoir et les nobles seront apprivoisés et changé en courtisans de la Cour…
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La Fronde est une issue d’un conflit des intérêts : le roi cherche à renforcer son absolutisme, le Parlement cherche à instaurer un régime parlementaire à l’anglaise et les nobles, partisans d’une "monarchie féodale", veulent restaurer leurs anciens privilèges. La haine contre le cardinal Mazarin en est un cataliseur.
Comme réponse au décret de Mazarin, selon lequel les parlementaires sont obligés de racheter leur chargee Parlement s’opposera systématiquement aux édits financiers.
Les événements commencent en juillet 1648 par la Déclaration du Parlement de Paris limitant les pouvoirs du roi. Il faut préciser que le rôle d’origine du Parlement en France est de voter les impots. Dans la Fronde, le Parlement de Paris va tenter de se faire reconnaître comme représentation nationale et d’instituer une monarchie parlementaire. Vont ensuite l’arrestation du parlementaire Broussel, la revolte de la population de Paris… En janvier 1649 la reine, le jeune roi et le Mazarin s’enfuient à Saint Germain. Encerclés dans Paris par le grand Condé, les parlementaires se soumettent enfin.
Condé veut se faire nommer premier ministre à la place de Mazarin mais le roi décide autrement : Condé est arrêté. C’est le début de la "Fronde des princes". Masarin s’enfuit de la France, s’inclinant devant les reclamations du peuple et du Parlement. Condé déclenche de nouveaux soulèvements et marche sur Paris. Il est arrêté par Turenne, nouveau commandant des armées royales. Paris est aux mains des Frondeurs, la Grande Mademoiselle fait tirer les canons de la Bastille sur l’armée royale. Condé doit fuir aux Pays Bas. La guerre civile se termine enfin, avec une repression modérée des révoltés. En 1653, le cardinal de Mazarin revient, la Fronde est finie.
Le jeune Louis XIV a tiré des leçons de cette période: le Parlement perdra bientôt tout pouvoir et les nobles seront apprivoisés et changé en courtisans de la Cour…
Le feuilleton préféré de Nicolas :
Alain La Fronde
La Fronde est une issue d’un conflit des intérêts : le roi cherche à renforcer son absolutisme, le Parlement cherche à instaurer un régime parlementaire à l’anglaise et les nobles, partisans d’une "monarchie féodale", veulent restaurer leurs anciens privilèges. La haine contre le cardinal Mazarin en est un cataliseur.
Comme réponse au décret de Mazarin, selon lequel les parlementaires sont obligés de racheter leur chargee Parlement s’opposera systématiquement aux édits financiers.
Les événements commencent en juillet 1648 par la Déclaration du Parlement de Paris limitant les pouvoirs du roi. Il faut préciser que le rôle d’origine du Parlement en France est de voter les impots. Dans la Fronde, le Parlement de Paris va tenter de se faire reconnaître comme représentation nationale et d’instituer une monarchie parlementaire. Vont ensuite l’arrestation du parlementaire Broussel, la revolte de la population de Paris… En janvier 1649 la reine, le jeune roi et le Mazarin s’enfuient à Saint Germain. Encerclés dans Paris par le grand Condé, les parlementaires se soumettent enfin.
Condé veut se faire nommer premier ministre à la place de Mazarin mais le roi décide autrement : Condé est arrêté. C’est le début de la "Fronde des princes". Masarin s’enfuit de la France, s’inclinant devant les reclamations du peuple et du Parlement. Condé déclenche de nouveaux soulèvements et marche sur Paris. Il est arrêté par Turenne, nouveau commandant des armées royales. Paris est aux mains des Frondeurs, la Grande Mademoiselle fait tirer les canons de la Bastille sur l’armée royale. Condé doit fuir aux Pays Bas. La guerre civile se termine enfin, avec une repression modérée des révoltés. En 1653, le cardinal de Mazarin revient, la Fronde est finie.
Le jeune Louis XIV a tiré des leçons de cette période: le Parlement perdra bientôt tout pouvoir et les nobles seront apprivoisés et changé en courtisans de la Cour…
@ jp je suis absolument d’accord avec vous… il est révoltant que les richesses crées par les citoyens et les entreprises soient de plus en plus taxées pour entretenir le train de vie de fonctionnaires qui se complaisent dans les dorures de l’ancien régime pré-révolutionnaire
à chaque augmentation des taxes… les restructurations deviennent de plus en plus graves
comme celles en cours dans notre industrie automobiles… il me semble que le maintien
des privilèges de la fonction publique explique en partie les délocalisations…?
en vertu du "principe d’égalité" ils me semble que les recettes que vous proposez
feraient toucher du doigt aux fonctionnaires les rigueurs des restructurations
que leur politique fiscale impose aux vrais créateurs de valeur ajoutée…
à JP,
Tout à fait d’accord sur les « palais de la république » qui ressemblent plus à des musées qu’a des lieux de travail, et qui sont tout, sauf fonctionnels. Or, les musées, c’est fait pour les touristes (qui par leurs droits d’entrée en assurent l’entretien).
Au-delà de la valeur de l’actif, qui ne peut, malheureusement, que régler un petit morceau de la dette, c’est surtout le coût faramineux d’entretien au quotidien de ce genre d’établissement qui m’interpelle, qui lui aussi pèse sur nos finances. Parce que, des « palais de la république », chaque ville en France a les siens, et y veille jalousement à grand frais pour le contribuable.
Les réformes, le changement c’est être capable de tirer un trait sur un passé devenu inadapté et de la faire vite et sans nostalgie mais tout en restant cohérent vers davantage de productivité et de sécurité. L’Amérique qui refait son syteme bancaire, c’est incroyable à quelle vitesse ils font ça
C’est pourquoi (n’est-ce pas Alain Lambert ?) un geste fort du futur président du Sénat serait de tirer un trait sur le palais du Luxembourg pour une implantation facile d’accès depuis tout le pays par transports en commun, avec des locaux zéro trace carbone, adaptés au travail de groupe et à la communication actuelle. Donner l’exemple de la modernité au lieu d’en parler pour les autres. Ce serait intéressant de chiffrer la gain.
Pour ce qui est de la cohérence il faut que le président du Sénat obtienne la reprise des privatisations : du côté recette la présidence crée un nouvel impôt sur le capital. Pendant ce temps que font les monopoles publics ? ou va l’argent ? EDF achète l’électricité britannique, la Poste achète un livreur de colis aux USA. ça ressemble à quoi ?
Que de temps perdu en réformettes, nous ne représentons pas franchement un pays moderne,même si on n’est pas forcément d’accord avec la politique U.S.A, on ne peut qu’envier leur facilité à décider et la rapidité des mesures prises .
Toujours la même question, quand allons-nous réellement nous séparer de tous nos vieux principes et réagir avec les paramètres de notre époque.
Le Sénat a un grand rôle à jouer c’est pourquoi il faut un chef de file responsable, courageux qui sache faire des propositions cohérentes et dire "non" lorsqu’il le faut .