Monsieur le Technocrate, Cher Ami,
Surtout ne voyez aucun irrespect dans cette salutation. Dans ma bouche, elle n’est pas péjorative. Simplement, c’est ainsi que l’on vous appelle, familièrement, entre nous, les manants de la nouvelle Monarchie Républicaine. Nous sommes souvent jaloux de votre savoir. L’ardeur sincère avec laquelle vous espérez pouvoir faire notre bonheur malgré nous, nous émeut toujours, et nous ne savons que maladroitement vous en exprimer notre sincère gratitude. Simplement, comme nous ne parlons pas la même langue, nous ne nous comprenons pas toujours. Ni ce que vous nous dites. Ni ce que vous faites. C’est pourquoi, en rentrant de ma campagne, je prends la liberté de m’adresser, directement à vous, à raison de notre relation personnelle, en vous priant de bien vouloir, par avance, m’excuser, encore une fois, de l’indigence de mon vocabulaire.
Il est probable que vous êtes en cours de rédaction du communiqué qui sera publié demain à l’issue de la réunion d’urgence qu’organise Monsieur le Premier Ministre.
Je voulais, avec la même urgence, vous dire que si vous pouviez surtout éviter de nous annoncer des cadeaux fiscaux ou budgétaires nouveaux, cela nous arrangerait vraiment. Car, figurez-vous, que le sentiment de les payer nous-mêmes nous gagne de plus en plus. Certains prétendent même que c’est notre argent que vous gérez et pas celui de l’Etat. C’est à ne plus croire à la Providence. Au surplus, nous redoutons que vous nous ayez déjà beaucoup endettés. Les intérêts de notre dette nous étranglent. Et on nous dit que nos pensions ne seraient pas provisionnées. Nous avançons vers la retraite, comment voulez-vous, dans ces conditions, que nous soyons rayonnants de confiance, que nous dépensions notre épargne, que nous investissions ?
Il y a un an et demi déjà, comme le temps passe, des gens très instruits nous expliquaient qu’avec des dépenses nouvelles, ils allaient nous créer un « choc de croissance ». Pour un choc ce fut un choc. Pas de croissance, mais de décroissance. Après y avoir réfléchi, cela semblait pourtant évident. Dans nos petites boutiques, personne n’a jamais eu l’idée, lorsque l’on est sans le sou, d’accroître ses dépenses pour augmenter son chiffre d’affaires. Il est vrai que nous n’avons pas fait de longues études. Mais pour les choses les plus simples, ce n’est pas toujours un handicap. Donc, pour l’instant nous avons : les dépenses et la décroissance !
C’est pourquoi, je viens vous supplier de ne pas en ajouter. Vraiment et du fond du coeur, nous vous remercions par avance de vos bonnes intentions, mais prenez bien en compte que nous ne vous demandons rien. Et surtout pas de nouvelles dépenses. Il se dit que nous serions champions du monde de ces dépenses ? Alors, si les dépenses font la croissance, nous aurions dû déjà être aussi champions pour la croissance. Ce n’est pas le cas ? Nous ne le savons que trop. Alors, diraient d’autres, c’est peut-être le contraire qu’il faudrait essayer. Je veux dire dépenser moins. Oui, c’est cela que vous devriez proposer à Monsieur le Premier Ministre.
C’est un homme de grand bon sens. Nous avons confiance en lui. N’allez surtout pas l’assommer de légendes pour tenter de lui faire croire que c’est l’Etat qui décide de la croissance. A force de le leur avoir dit, les Français l’ont cru. Et aujourd’hui ils se trouvent fort dépourvus. Oui, comme le dit Monsieur Fillon, maintenant, « la France peut supporter la vérité ». Et cette vérité est que la croissance est entre les mains de chaque Français. Chacun doit être invité à l’effort, et ne plus attendre tout de l’Etat. L’Etat doit s’habituer à coûter moins cher. A cesser de harceler les citoyens par des lois, des règlements, des circulaires, des contrôles qui les paralysent et les découragent.
La meilleure nouvelle serait que vous nous annonciez que désormais tous les fonctionnaires sont au service des Français et non l’inverse. Que jusqu’à la fin de l’année vous vous interdisez d’édicter la moindre règle nouvelle et que vous vous engagez, d’ici là, à supprimer toutes celles qui freinent, qui handicapent, qui coûtent, qui désespèrent et qui empêchent la France de réussir.
Oui, Monsieur le Technocrate, Cher Ami, vous l’avez compris, ce que nous vous demandons, respectueusement, c’est de vous occuper de mieux gérer votre maison, pour qu’elle nous coûte moins cher, et de nous laisser nous-mêmes gérer nos propres affaires. Ce sera tellement plus simple pour vous, et tellement plus facile pour nous. Que du bonheur. C’est celui que nous vous souhaitons et que nous nous souhaitons par la même occasion.
Alors, merci encore pour demain. Pas de dépenses. Et tout le monde au boulot !
Avant, je ne comprenais pas l’existence de frontières ; d’autant moins que je courais le monde (surtout l’Afrique) à grands coups d’ailes d’avion.
Qu’était-ce donc que cette patrie dans laquelle j’avais eu l’idée bien involontaire de naître ?
D’ailleurs, « passer la frontière » n’avait strictement aucun sens puisque l’herbe était de la même couleur des deux côtés.
Bah ! il fallut que j’atteigne l’âge ingrat de 27 ans pour comprendre, enfin, que les frontières avaient un sens économique et que ce sens se traduisait en droits de douane et en frais de conversion de devises ….
La politique sociale qui consiste à faire payer par les autres les médicaments que prennent les uns et a donner du fric à des tas de fainéants qui ne travaillent pas sous prétexte que ça les fatigue ou que ça les oblige à se lever tôt …. N’est pas constituant de la caractéristique de la patrie puisque ça reste universel !
Par contre, impossible d’en saisir aucun sens moral ou philosophique.
Heureusement, les technocrates qui nous conduisent là où ils veulent bien sans nous demander notre avis … ou, plus exactement, sans en tenir compte … ont inventé l’Europe.
Ils nous ont bien expliqué que l’Europe, c’est notre intérêt … et puis, les frontières invisibles se sont retirées plus loin et la TVA est devenue intra-communautaire et la devise EURO a vu le jour et les dirigeants se sont éloignés dans des « buildings » de plus en plus grands, de plus en plus onéreux et les fonctionnaires européens se sont attribués des privilèges exorbitant (mais bien cachés) et des ‘commissions’ ont pris le pas sur les gouvernements nationaux et décident désormais des normes et autres quotas à respecter et les rédigent en des termes si abscons que même un thésard se sent tout con à chercher à les lire.
Il y a, dans ces forteresses, des ‘hauts’ fonctionnaires, sortes de princes ou rois dont le sillage est tout emprunt de courbettes et d’obséquiosité ! sans omettre, en retour, une profonde condescendance.
A les voir, on pourrait croire que ces nobles personnes ne prennent jamais la peine ni le risque de s’asseoir sur une chiotte pour y déposer le fruit de leurs boyaux.
Leur bonté n’a d’égale que la prodigalité de leurs violents courroux lorsque des manants osent passer outre les lois qu’ils ont édictées.
Q’un pêcheur odorant se prenne à pêcher la morue dans des eaux non destinées à cette œuvre et les sanctions tombent, pleuvent … comme les amendes qui les accompagnent !
Mais je me suis égaré, j’ai perdu l’origine de mon billet d’humeur qui porte sur ‘la patrie’.
Dans quelques semaines, quelques-unes et uns se prendront par la jarretelle pour aller déposer dans une petite boîte prédestinée à cet effet leur bulletin de vote.
Attention, « électeur » c’est devenu un métier !
Dans le temps, on était électeur comme on était amateur de bons vins ou de bonnes chères ; mais de nos jours, voter exige que l’on s’informe, que l’on prenne la peine de bien peser les propositions d’avenir que nous offrent les impétrants candidats à la magistrature (rien que ces quelques mots nous confirment dans le sens d’une professionnalisation de l’électeur qui se doit de posséder un minimum de vocabulaire adéquat.)
Dans le temps, on regardait la photo du candidat et s’il avait une bonne tête, on lui faisait confiance.
Mais des décennies de mensonges et de trahisons nous ont appris la méfiance la plus sordide.
Dans le temps, Ségolène, pour peu qu’elle eut été un homme, aurait attiré un maximum de confiance aveugle et béate.
Sarkozy, lui-même, sous son meilleur profil nous eut plu et nous aurions éprouvé des pincements de cœur à l’ide d’avoir à choisir entre les deux, nous aurions probablement demandé à ces deux jouvenceaux de s’unir pour former un couple présidentiel !
Tandis que Le Pen, avec son œil torve et sa lippe dédaigneuse aurait retenu la juste vindicte du bon peuple face à une telle sale gueule !
Seulement voilà !
L’électeur, cet autodidacte benoît et lent, tout pataud et ignare (à première vue) ne semble plus se contenter de l’air des mines. No, au contraire, il réclame, que dis-je, il exige que les candidats s’engagent et prouvent par des algorithmes économiques que leurs engagements pourront être tenus et non rester à l’état de simples vœux pieux.
Du coup, Ségolène promet du charbon aux bougnats, des poissons aux halieutes et des carottes aux ânes.
Sarko, en appelle à Jaurès et chante avec Trenet : « mon petit cœur fait Blum ! »
Jean-Marie, quant à lui, évite de montrer trop sa tronche et laisse à la marine le soin de tenir place sur le canapé de la télé.
L’électeur, consciencieux et laborieux, ne rate pas une occasion de s’instruire et se coltine courageusement toutes les émissions politiques afin de remplir, le moment venu, son rôle avec scrupule.
Hélas, il n’entend que bavardages et ragots, tous ces débats ne sont que mystification et poudre aux yeux.
Pas un seul candidat pour affirmer :
Je m’engage par écrit sur le programme suivant : ————-
Et je reconnais par la présente, le droit pour le peuple de me chasser à coup de pieds au cul si dans les six mois je n’ai pas accompli les engagements suivants : ————-
J’accepte solennellement de prendre ma charge avec la clause de révocation ‘ad nutum’ si je faillis à quelque moment que ce soit de mon mandat.
Je m’engage à respecter le droit de ma patrie en qualité de citoyen au même titre que tous les autres citoyens de ce pays et à me présenter immédiatement et sans autre prérogative ni tergiversation à toute convocation d’un juge.
Je m’engage à publier ma fortune personnelle devant un expert comptable avant et après mon mandat et reconnaît au peuple et à ses représentants un droit de contrôle sur les dépenses que j’engagerai au nom de l’état.
Je m’engage enfin, à ne pas prendre de décision fondamentale sans passer par un référendum et j’accepte l’augure de me voir foutu à la porte si jamais je ne respecte pas la décision du peuple.
Vive la France, les Françaises et les Français.
Voilà, là, au moins, la patrie aurait un sens, à moins, bien entendu, que les élus du parlement européen ne prennent les mêmes engagements ….. D’ailleurs, il suffirait que les chefs de tous les états de tous les pays suivent les mêmes préceptes et nous nous sentirions citoyens du monde, comme le réclame les apatrides et autres traîne savates !!!!!
Avant, je ne comprenais pas l’existence de frontières ; d’autant moins que je courais le monde (surtout l’Afrique) à grands coups d’ailes d’avion.
Qu’était-ce donc que cette patrie dans laquelle j’avais eu l’idée bien involontaire de naître ?
D’ailleurs, « passer la frontière » n’avait strictement aucun sens puisque l’herbe était de la même couleur des deux côtés.
Bah ! il fallut que j’atteigne l’âge ingrat de 27 ans pour comprendre, enfin, que les frontières avaient un sens économique et que ce sens se traduisait en droits de douane et en frais de conversion de devises ….
La politique sociale qui consiste à faire payer par les autres les médicaments que prennent les uns et a donner du fric à des tas de fainéants qui ne travaillent pas sous prétexte que ça les fatigue ou que ça les oblige à se lever tôt …. N’est pas constituant de la caractéristique de la patrie puisque ça reste universel !
Par contre, impossible d’en saisir aucun sens moral ou philosophique.
Heureusement, les technocrates qui nous conduisent là où ils veulent bien sans nous demander notre avis … ou, plus exactement, sans en tenir compte … ont inventé l’Europe.
Ils nous ont bien expliqué que l’Europe, c’est notre intérêt … et puis, les frontières invisibles se sont retirées plus loin et la TVA est devenue intra-communautaire et la devise EURO a vu le jour et les dirigeants se sont éloignés dans des « buildings » de plus en plus grands, de plus en plus onéreux et les fonctionnaires européens se sont attribués des privilèges exorbitant (mais bien cachés) et des ‘commissions’ ont pris le pas sur les gouvernements nationaux et décident désormais des normes et autres quotas à respecter et les rédigent en des termes si abscons que même un thésard se sent tout con à chercher à les lire.
Il y a, dans ces forteresses, des ‘hauts’ fonctionnaires, sortes de princes ou rois dont le sillage est tout emprunt de courbettes et d’obséquiosité ! sans omettre, en retour, une profonde condescendance.
A les voir, on pourrait croire que ces nobles personnes ne prennent jamais la peine ni le risque de s’asseoir sur une chiotte pour y déposer le fruit de leurs boyaux.
Leur bonté n’a d’égale que la prodigalité de leurs violents courroux lorsque des manants osent passer outre les lois qu’ils ont édictées.
Q’un pêcheur odorant se prenne à pêcher la morue dans des eaux non destinées à cette œuvre et les sanctions tombent, pleuvent … comme les amendes qui les accompagnent !
Mais je me suis égaré, j’ai perdu l’origine de mon billet d’humeur qui porte sur ‘la patrie’.
Dans quelques semaines, quelques-unes et uns se prendront par la jarretelle pour aller déposer dans une petite boîte prédestinée à cet effet leur bulletin de vote.
Attention, « électeur » c’est devenu un métier !
Dans le temps, on était électeur comme on était amateur de bons vins ou de bonnes chères ; mais de nos jours, voter exige que l’on s’informe, que l’on prenne la peine de bien peser les propositions d’avenir que nous offrent les impétrants candidats à la magistrature (rien que ces quelques mots nous confirment dans le sens d’une professionnalisation de l’électeur qui se doit de posséder un minimum de vocabulaire adéquat.)
Dans le temps, on regardait la photo du candidat et s’il avait une bonne tête, on lui faisait confiance.
Mais des décennies de mensonges et de trahisons nous ont appris la méfiance la plus sordide.
Dans le temps, Ségolène, pour peu qu’elle eut été un homme, aurait attiré un maximum de confiance aveugle et béate.
Sarkozy, lui-même, sous son meilleur profil nous eut plu et nous aurions éprouvé des pincements de cœur à l’ide d’avoir à choisir entre les deux, nous aurions probablement demandé à ces deux jouvenceaux de s’unir pour former un couple présidentiel !
Tandis que Le Pen, avec son œil torve et sa lippe dédaigneuse aurait retenu la juste vindicte du bon peuple face à une telle sale gueule !
Seulement voilà !
L’électeur, cet autodidacte benoît et lent, tout pataud et ignare (à première vue) ne semble plus se contenter de l’air des mines. No, au contraire, il réclame, que dis-je, il exige que les candidats s’engagent et prouvent par des algorithmes économiques que leurs engagements pourront être tenus et non rester à l’état de simples vœux pieux.
Du coup, Ségolène promet du charbon aux bougnats, des poissons aux halieutes et des carottes aux ânes.
Sarko, en appelle à Jaurès et chante avec Trenet : « mon petit cœur fait Blum ! »
Jean-Marie, quant à lui, évite de montrer trop sa tronche et laisse à la marine le soin de tenir place sur le canapé de la télé.
L’électeur, consciencieux et laborieux, ne rate pas une occasion de s’instruire et se coltine courageusement toutes les émissions politiques afin de remplir, le moment venu, son rôle avec scrupule.
Hélas, il n’entend que bavardages et ragots, tous ces débats ne sont que mystification et poudre aux yeux.
Pas un seul candidat pour affirmer :
Je m’engage par écrit sur le programme suivant : ————-
Et je reconnais par la présente, le droit pour le peuple de me chasser à coup de pieds au cul si dans les six mois je n’ai pas accompli les engagements suivants : ————-
J’accepte solennellement de prendre ma charge avec la clause de révocation ‘ad nutum’ si je faillis à quelque moment que ce soit de mon mandat.
Je m’engage à respecter le droit de ma patrie en qualité de citoyen au même titre que tous les autres citoyens de ce pays et à me présenter immédiatement et sans autre prérogative ni tergiversation à toute convocation d’un juge.
Je m’engage à publier ma fortune personnelle devant un expert comptable avant et après mon mandat et reconnaît au peuple et à ses représentants un droit de contrôle sur les dépenses que j’engagerai au nom de l’état.
Je m’engage enfin, à ne pas prendre de décision fondamentale sans passer par un référendum et j’accepte l’augure de me voir foutu à la porte si jamais je ne respecte pas la décision du peuple.
Vive la France, les Françaises et les Français.
Voilà, là, au moins, la patrie aurait un sens, à moins, bien entendu, que les élus du parlement européen ne prennent les mêmes engagements ….. D’ailleurs, il suffirait que les chefs de tous les états de tous les pays suivent les mêmes préceptes et nous nous sentirions citoyens du monde, comme le réclame les apatrides et autres traîne savates !!!!!
Avant, je ne comprenais pas l’existence de frontières ; d’autant moins que je courais le monde (surtout l’Afrique) à grands coups d’ailes d’avion.
Qu’était-ce donc que cette patrie dans laquelle j’avais eu l’idée bien involontaire de naître ?
D’ailleurs, « passer la frontière » n’avait strictement aucun sens puisque l’herbe était de la même couleur des deux côtés.
Bah ! il fallut que j’atteigne l’âge ingrat de 27 ans pour comprendre, enfin, que les frontières avaient un sens économique et que ce sens se traduisait en droits de douane et en frais de conversion de devises ….
La politique sociale qui consiste à faire payer par les autres les médicaments que prennent les uns et a donner du fric à des tas de fainéants qui ne travaillent pas sous prétexte que ça les fatigue ou que ça les oblige à se lever tôt …. N’est pas constituant de la caractéristique de la patrie puisque ça reste universel !
Par contre, impossible d’en saisir aucun sens moral ou philosophique.
Heureusement, les technocrates qui nous conduisent là où ils veulent bien sans nous demander notre avis … ou, plus exactement, sans en tenir compte … ont inventé l’Europe.
Ils nous ont bien expliqué que l’Europe, c’est notre intérêt … et puis, les frontières invisibles se sont retirées plus loin et la TVA est devenue intra-communautaire et la devise EURO a vu le jour et les dirigeants se sont éloignés dans des « buildings » de plus en plus grands, de plus en plus onéreux et les fonctionnaires européens se sont attribués des privilèges exorbitant (mais bien cachés) et des ‘commissions’ ont pris le pas sur les gouvernements nationaux et décident désormais des normes et autres quotas à respecter et les rédigent en des termes si abscons que même un thésard se sent tout con à chercher à les lire.
Il y a, dans ces forteresses, des ‘hauts’ fonctionnaires, sortes de princes ou rois dont le sillage est tout emprunt de courbettes et d’obséquiosité ! sans omettre, en retour, une profonde condescendance.
A les voir, on pourrait croire que ces nobles personnes ne prennent jamais la peine ni le risque de s’asseoir sur une chiotte pour y déposer le fruit de leurs boyaux.
Leur bonté n’a d’égale que la prodigalité de leurs violents courroux lorsque des manants osent passer outre les lois qu’ils ont édictées.
Q’un pêcheur odorant se prenne à pêcher la morue dans des eaux non destinées à cette œuvre et les sanctions tombent, pleuvent … comme les amendes qui les accompagnent !
Mais je me suis égaré, j’ai perdu l’origine de mon billet d’humeur qui porte sur ‘la patrie’.
Dans quelques semaines, quelques-unes et uns se prendront par la jarretelle pour aller déposer dans une petite boîte prédestinée à cet effet leur bulletin de vote.
Attention, « électeur » c’est devenu un métier !
Dans le temps, on était électeur comme on était amateur de bons vins ou de bonnes chères ; mais de nos jours, voter exige que l’on s’informe, que l’on prenne la peine de bien peser les propositions d’avenir que nous offrent les impétrants candidats à la magistrature (rien que ces quelques mots nous confirment dans le sens d’une professionnalisation de l’électeur qui se doit de posséder un minimum de vocabulaire adéquat.)
Dans le temps, on regardait la photo du candidat et s’il avait une bonne tête, on lui faisait confiance.
Mais des décennies de mensonges et de trahisons nous ont appris la méfiance la plus sordide.
Dans le temps, Ségolène, pour peu qu’elle eut été un homme, aurait attiré un maximum de confiance aveugle et béate.
Sarkozy, lui-même, sous son meilleur profil nous eut plu et nous aurions éprouvé des pincements de cœur à l’ide d’avoir à choisir entre les deux, nous aurions probablement demandé à ces deux jouvenceaux de s’unir pour former un couple présidentiel !
Tandis que Le Pen, avec son œil torve et sa lippe dédaigneuse aurait retenu la juste vindicte du bon peuple face à une telle sale gueule !
Seulement voilà !
L’électeur, cet autodidacte benoît et lent, tout pataud et ignare (à première vue) ne semble plus se contenter de l’air des mines. No, au contraire, il réclame, que dis-je, il exige que les candidats s’engagent et prouvent par des algorithmes économiques que leurs engagements pourront être tenus et non rester à l’état de simples vœux pieux.
Du coup, Ségolène promet du charbon aux bougnats, des poissons aux halieutes et des carottes aux ânes.
Sarko, en appelle à Jaurès et chante avec Trenet : « mon petit cœur fait Blum ! »
Jean-Marie, quant à lui, évite de montrer trop sa tronche et laisse à la marine le soin de tenir place sur le canapé de la télé.
L’électeur, consciencieux et laborieux, ne rate pas une occasion de s’instruire et se coltine courageusement toutes les émissions politiques afin de remplir, le moment venu, son rôle avec scrupule.
Hélas, il n’entend que bavardages et ragots, tous ces débats ne sont que mystification et poudre aux yeux.
Pas un seul candidat pour affirmer :
Je m’engage par écrit sur le programme suivant : ————-
Et je reconnais par la présente, le droit pour le peuple de me chasser à coup de pieds au cul si dans les six mois je n’ai pas accompli les engagements suivants : ————-
J’accepte solennellement de prendre ma charge avec la clause de révocation ‘ad nutum’ si je faillis à quelque moment que ce soit de mon mandat.
Je m’engage à respecter le droit de ma patrie en qualité de citoyen au même titre que tous les autres citoyens de ce pays et à me présenter immédiatement et sans autre prérogative ni tergiversation à toute convocation d’un juge.
Je m’engage à publier ma fortune personnelle devant un expert comptable avant et après mon mandat et reconnaît au peuple et à ses représentants un droit de contrôle sur les dépenses que j’engagerai au nom de l’état.
Je m’engage enfin, à ne pas prendre de décision fondamentale sans passer par un référendum et j’accepte l’augure de me voir foutu à la porte si jamais je ne respecte pas la décision du peuple.
Vive la France, les Françaises et les Français.
Voilà, là, au moins, la patrie aurait un sens, à moins, bien entendu, que les élus du parlement européen ne prennent les mêmes engagements ….. D’ailleurs, il suffirait que les chefs de tous les états de tous les pays suivent les mêmes préceptes et nous nous sentirions citoyens du monde, comme le réclame les apatrides et autres traîne savates !!!!!
Avant, je ne comprenais pas l’existence de frontières ; d’autant moins que je courais le monde (surtout l’Afrique) à grands coups d’ailes d’avion.
Qu’était-ce donc que cette patrie dans laquelle j’avais eu l’idée bien involontaire de naître ?
D’ailleurs, « passer la frontière » n’avait strictement aucun sens puisque l’herbe était de la même couleur des deux côtés.
Bah ! il fallut que j’atteigne l’âge ingrat de 27 ans pour comprendre, enfin, que les frontières avaient un sens économique et que ce sens se traduisait en droits de douane et en frais de conversion de devises ….
La politique sociale qui consiste à faire payer par les autres les médicaments que prennent les uns et a donner du fric à des tas de fainéants qui ne travaillent pas sous prétexte que ça les fatigue ou que ça les oblige à se lever tôt …. N’est pas constituant de la caractéristique de la patrie puisque ça reste universel !
Par contre, impossible d’en saisir aucun sens moral ou philosophique.
Heureusement, les technocrates qui nous conduisent là où ils veulent bien sans nous demander notre avis … ou, plus exactement, sans en tenir compte … ont inventé l’Europe.
Ils nous ont bien expliqué que l’Europe, c’est notre intérêt … et puis, les frontières invisibles se sont retirées plus loin et la TVA est devenue intra-communautaire et la devise EURO a vu le jour et les dirigeants se sont éloignés dans des « buildings » de plus en plus grands, de plus en plus onéreux et les fonctionnaires européens se sont attribués des privilèges exorbitant (mais bien cachés) et des ‘commissions’ ont pris le pas sur les gouvernements nationaux et décident désormais des normes et autres quotas à respecter et les rédigent en des termes si abscons que même un thésard se sent tout con à chercher à les lire.
Il y a, dans ces forteresses, des ‘hauts’ fonctionnaires, sortes de princes ou rois dont le sillage est tout emprunt de courbettes et d’obséquiosité ! sans omettre, en retour, une profonde condescendance.
A les voir, on pourrait croire que ces nobles personnes ne prennent jamais la peine ni le risque de s’asseoir sur une chiotte pour y déposer le fruit de leurs boyaux.
Leur bonté n’a d’égale que la prodigalité de leurs violents courroux lorsque des manants osent passer outre les lois qu’ils ont édictées.
Q’un pêcheur odorant se prenne à pêcher la morue dans des eaux non destinées à cette œuvre et les sanctions tombent, pleuvent … comme les amendes qui les accompagnent !
Mais je me suis égaré, j’ai perdu l’origine de mon billet d’humeur qui porte sur ‘la patrie’.
Dans quelques semaines, quelques-unes et uns se prendront par la jarretelle pour aller déposer dans une petite boîte prédestinée à cet effet leur bulletin de vote.
Attention, « électeur » c’est devenu un métier !
Dans le temps, on était électeur comme on était amateur de bons vins ou de bonnes chères ; mais de nos jours, voter exige que l’on s’informe, que l’on prenne la peine de bien peser les propositions d’avenir que nous offrent les impétrants candidats à la magistrature (rien que ces quelques mots nous confirment dans le sens d’une professionnalisation de l’électeur qui se doit de posséder un minimum de vocabulaire adéquat.)
Dans le temps, on regardait la photo du candidat et s’il avait une bonne tête, on lui faisait confiance.
Mais des décennies de mensonges et de trahisons nous ont appris la méfiance la plus sordide.
Dans le temps, Ségolène, pour peu qu’elle eut été un homme, aurait attiré un maximum de confiance aveugle et béate.
Sarkozy, lui-même, sous son meilleur profil nous eut plu et nous aurions éprouvé des pincements de cœur à l’ide d’avoir à choisir entre les deux, nous aurions probablement demandé à ces deux jouvenceaux de s’unir pour former un couple présidentiel !
Tandis que Le Pen, avec son œil torve et sa lippe dédaigneuse aurait retenu la juste vindicte du bon peuple face à une telle sale gueule !
Seulement voilà !
L’électeur, cet autodidacte benoît et lent, tout pataud et ignare (à première vue) ne semble plus se contenter de l’air des mines. No, au contraire, il réclame, que dis-je, il exige que les candidats s’engagent et prouvent par des algorithmes économiques que leurs engagements pourront être tenus et non rester à l’état de simples vœux pieux.
Du coup, Ségolène promet du charbon aux bougnats, des poissons aux halieutes et des carottes aux ânes.
Sarko, en appelle à Jaurès et chante avec Trenet : « mon petit cœur fait Blum ! »
Jean-Marie, quant à lui, évite de montrer trop sa tronche et laisse à la marine le soin de tenir place sur le canapé de la télé.
L’électeur, consciencieux et laborieux, ne rate pas une occasion de s’instruire et se coltine courageusement toutes les émissions politiques afin de remplir, le moment venu, son rôle avec scrupule.
Hélas, il n’entend que bavardages et ragots, tous ces débats ne sont que mystification et poudre aux yeux.
Pas un seul candidat pour affirmer :
Je m’engage par écrit sur le programme suivant : ————-
Et je reconnais par la présente, le droit pour le peuple de me chasser à coup de pieds au cul si dans les six mois je n’ai pas accompli les engagements suivants : ————-
J’accepte solennellement de prendre ma charge avec la clause de révocation ‘ad nutum’ si je faillis à quelque moment que ce soit de mon mandat.
Je m’engage à respecter le droit de ma patrie en qualité de citoyen au même titre que tous les autres citoyens de ce pays et à me présenter immédiatement et sans autre prérogative ni tergiversation à toute convocation d’un juge.
Je m’engage à publier ma fortune personnelle devant un expert comptable avant et après mon mandat et reconnaît au peuple et à ses représentants un droit de contrôle sur les dépenses que j’engagerai au nom de l’état.
Je m’engage enfin, à ne pas prendre de décision fondamentale sans passer par un référendum et j’accepte l’augure de me voir foutu à la porte si jamais je ne respecte pas la décision du peuple.
Vive la France, les Françaises et les Français.
Voilà, là, au moins, la patrie aurait un sens, à moins, bien entendu, que les élus du parlement européen ne prennent les mêmes engagements ….. D’ailleurs, il suffirait que les chefs de tous les états de tous les pays suivent les mêmes préceptes et nous nous sentirions citoyens du monde, comme le réclame les apatrides et autres traîne savates !!!!!
L’article de M. Lambert et sa réponse au premier commentateur montrent qu’à l’évidence, dans une démocratie normale, ce serait au parlement de brider les ardeurs dépensières de l’administration, mais qu’il ne le peut pas.
En cause, l’obligation quasi totale des parlementaires d’obéir aux consignes de vote de leur parti.
La plupart des partis ont dans leur statut des dispositions qui brident la liberté des parlementaires une fois élus. Il me parait donc souhaitable que tout parti qui dispose, dans ses statuts, de dispositions visant à entraver la liberté de conscience et de vote des députés qu’il envoie à l’assemblée ne devrait pas pouvoir présenter de candidats. Ainsi les partis seraient obligés de réformer leurs statuts dare-dare de façon à oter les moyens de pression des partis sur les parlementaires.
voici une propositions en ce sens:
http://www.objectifliberte.fr/20...
Par contre, la suggestion d’un commentateur sur le vote des parlementaires à bulletin secret pose problème: en tant qu’électeurs, nous voudrions savoir pour quoi et contre quoi notre député a voté.
@Yfig
Un peu démago non ? Et les technocrates français sont infiniment plus nombreux que les technocrates européens.
Si on en est arrivé là, c’est aussi à cause des français qui se sont enferrés dans une lutte idéologique vieille d’un siècle et laisser proliférer tout cette caste administrative. Chacun pensait y trouver son compte en s’imaginant que c’était le voisin qui payait la note.
@BS
"L’État est cette grande fiction sociale à travers laquelle chacun essaie de vivre aux dépens de tous les autres" – Frédéric Bastiat (1801-1850)
Oui, BS, démago ….
Mais pas entièrement faux , non ?
Moi, j’ai beaucoup de mal à comprendre certains avatars ….
Quand N. Sarkozy prêche le pouvoir d’achat puis se récuse après élection en avouant : les caisses de l’Etat sont vides !
Ne pouvait-il le savoir avant ?
Cette hypocrisie me rend vraiment malade !
Nous savons bien que c’est pour tout comme ça ….
on nous présente des réorganisations avec des motifs fallacieux et on ne nous dit pas franchement les intentions.
C’est en cela qu’on a le sentiment d’un immense barnum, d’une fiction sociale vampirique (Breizh06 et Bastiat).
La France va mal.
Il faut faire des sacrifices.
D’accord, mais que ce soit fait dans la plus grande sincérité et la plus grande transparence ….. toute utilisation malveillante de la crise sera perçue avec la plus grande colère par les citoyens …
mais après tout …. si ça peut percer l’abscès !
Oui, BS, démago ….
Mais pas entièrement faux , non ?
Moi, j’ai beaucoup de mal à comprendre certains avatars ….
Quand N. Sarkozy prêche le pouvoir d’achat puis se récuse après élection en avouant : les caisses de l’Etat sont vides !
Ne pouvait-il le savoir avant ?
Cette hypocrisie me rend vraiment malade !
Nous savons bien que c’est pour tout comme ça ….
on nous présente des réorganisations avec des motifs fallacieux et on ne nous dit pas franchement les intentions.
C’est en cela qu’on a le sentiment d’un immense barnum, d’une fiction sociale vampirique (Breizh06 et Bastiat).
La France va mal.
Il faut faire des sacrifices.
D’accord, mais que ce soit fait dans la plus grande sincérité et la plus grande transparence ….. toute utilisation malveillante de la crise sera perçue avec la plus grande colère par les citoyens …
mais après tout …. si ça peut percer l’abscès !
Oui, BS, démago ….
Mais pas entièrement faux , non ?
Moi, j’ai beaucoup de mal à comprendre certains avatars ….
Quand N. Sarkozy prêche le pouvoir d’achat puis se récuse après élection en avouant : les caisses de l’Etat sont vides !
Ne pouvait-il le savoir avant ?
Cette hypocrisie me rend vraiment malade !
Nous savons bien que c’est pour tout comme ça ….
on nous présente des réorganisations avec des motifs fallacieux et on ne nous dit pas franchement les intentions.
C’est en cela qu’on a le sentiment d’un immense barnum, d’une fiction sociale vampirique (Breizh06 et Bastiat).
La France va mal.
Il faut faire des sacrifices.
D’accord, mais que ce soit fait dans la plus grande sincérité et la plus grande transparence ….. toute utilisation malveillante de la crise sera perçue avec la plus grande colère par les citoyens …
mais après tout …. si ça peut percer l’abscès !
Oui, BS, démago ….
Mais pas entièrement faux , non ?
Moi, j’ai beaucoup de mal à comprendre certains avatars ….
Quand N. Sarkozy prêche le pouvoir d’achat puis se récuse après élection en avouant : les caisses de l’Etat sont vides !
Ne pouvait-il le savoir avant ?
Cette hypocrisie me rend vraiment malade !
Nous savons bien que c’est pour tout comme ça ….
on nous présente des réorganisations avec des motifs fallacieux et on ne nous dit pas franchement les intentions.
C’est en cela qu’on a le sentiment d’un immense barnum, d’une fiction sociale vampirique (Breizh06 et Bastiat).
La France va mal.
Il faut faire des sacrifices.
D’accord, mais que ce soit fait dans la plus grande sincérité et la plus grande transparence ….. toute utilisation malveillante de la crise sera perçue avec la plus grande colère par les citoyens …
mais après tout …. si ça peut percer l’abscès !
Oui, BS, démago ….
Mais pas entièrement faux , non ?
Moi, j’ai beaucoup de mal à comprendre certains avatars ….
Quand N. Sarkozy prêche le pouvoir d’achat puis se récuse après élection en avouant : les caisses de l’Etat sont vides !
Ne pouvait-il le savoir avant ?
Cette hypocrisie me rend vraiment malade !
Nous savons bien que c’est pour tout comme ça ….
on nous présente des réorganisations avec des motifs fallacieux et on ne nous dit pas franchement les intentions.
C’est en cela qu’on a le sentiment d’un immense barnum, d’une fiction sociale vampirique (Breizh06 et Bastiat).
La France va mal.
Il faut faire des sacrifices.
D’accord, mais que ce soit fait dans la plus grande sincérité et la plus grande transparence ….. toute utilisation malveillante de la crise sera perçue avec la plus grande colère par les citoyens …
mais après tout …. si ça peut percer l’abscès !
Oui, BS, démago ….
Mais pas entièrement faux , non ?
Moi, j’ai beaucoup de mal à comprendre certains avatars ….
Quand N. Sarkozy prêche le pouvoir d’achat puis se récuse après élection en avouant : les caisses de l’Etat sont vides !
Ne pouvait-il le savoir avant ?
Cette hypocrisie me rend vraiment malade !
Nous savons bien que c’est pour tout comme ça ….
on nous présente des réorganisations avec des motifs fallacieux et on ne nous dit pas franchement les intentions.
C’est en cela qu’on a le sentiment d’un immense barnum, d’une fiction sociale vampirique (Breizh06 et Bastiat).
La France va mal.
Il faut faire des sacrifices.
D’accord, mais que ce soit fait dans la plus grande sincérité et la plus grande transparence ….. toute utilisation malveillante de la crise sera perçue avec la plus grande colère par les citoyens …
mais après tout …. si ça peut percer l’abscès !
Oui, BS, démago ….
Mais pas entièrement faux , non ?
Moi, j’ai beaucoup de mal à comprendre certains avatars ….
Quand N. Sarkozy prêche le pouvoir d’achat puis se récuse après élection en avouant : les caisses de l’Etat sont vides !
Ne pouvait-il le savoir avant ?
Cette hypocrisie me rend vraiment malade !
Nous savons bien que c’est pour tout comme ça ….
on nous présente des réorganisations avec des motifs fallacieux et on ne nous dit pas franchement les intentions.
C’est en cela qu’on a le sentiment d’un immense barnum, d’une fiction sociale vampirique (Breizh06 et Bastiat).
La France va mal.
Il faut faire des sacrifices.
D’accord, mais que ce soit fait dans la plus grande sincérité et la plus grande transparence ….. toute utilisation malveillante de la crise sera perçue avec la plus grande colère par les citoyens …
mais après tout …. si ça peut percer l’abscès !
@ JP
Vendre …. voyez les réponses qu’on vous fait …. c’est reculer pour mieux sauter !!!!
et puis vendre ….. à qui ????
aux Chinois
Aux Saoudiens ?
Aux Indiens ?
Aux Russes ?
Un Russe est en train de négocier la plus belle villa de la côte d’azur pour quelques centaines de millions d’euros ….
Les Français vivront de quoi, après cela ?
Vendre les bâtiments publics qui coûtent en entretien !
Mais ensuite, il faut louer, signer des baux …. et payer ….
c’est la folle course à retardement ….. tout doit être fait pour ne pas avouer la faillite de la Nation et conserver encore un peu, quelques mois, quelsques années les hauts fonctionaires en place et leur folies dépensières.
Car qui doit faire les efforts aujourd’hui pour qu’on s’en sorte ?
Tous les avis convergent ….. c’est le train de l’Etat qui est en cause et les prébendes et subventions cahotiques versées sans compter à des assciations ineptes et dispendieuses comme leurs dirigeants !!!
Citation :
" Par jp, le lundi 18 août 2008 à 23:42
A Yfig
Pour faire comme la petite fille d’Alain Lambert
Le déficit corrigé Cour des Comptes c’est 60 milliards l’an
1300 milliards de dette à 4.6% ça coûte 60 milliards l’an
Si on réduit la dette de moitié on revient dans des zones ou les économies et la rationalisation peuvent prendre le relais
Mais on respire, et vite"
Je n’ai pas tout compris ?????
Vous ne tenez pas compte de l’effet ‘spirale’ ?
Plus j’emprunet, plus je m’endette ….. et réduire de moitié ne fait que ralentir l’endettement, mais ne le règle pas et d’ailleurs pourquoi attendre pour prendre le ralis ??? tout ce qui peut atténuer la dette doit être entrepris immédiatement !
citation (toujours JP)
"La Cour des Compte a cherché à savoir : « Les comptes de l’établissement public ne permettent pas de connaître le coût de fonctionnement réel du musée… le bilan ne donne pas une image sincère et fidèle du patrimoine …les immobilisations reçues en dotation ne sont toujours pas comptabilisées… »
Ca a un nom : "faillite" !
Il est temps d’appeler un chat un matou …!!!!!!!!
Quand l’Etat n’est plus capable de mesurer ni de compter …. c’est la déroute, la déconfiture, la faillite.
@ JP
Vendre …. voyez les réponses qu’on vous fait …. c’est reculer pour mieux sauter !!!!
et puis vendre ….. à qui ????
aux Chinois
Aux Saoudiens ?
Aux Indiens ?
Aux Russes ?
Un Russe est en train de négocier la plus belle villa de la côte d’azur pour quelques centaines de millions d’euros ….
Les Français vivront de quoi, après cela ?
Vendre les bâtiments publics qui coûtent en entretien !
Mais ensuite, il faut louer, signer des baux …. et payer ….
c’est la folle course à retardement ….. tout doit être fait pour ne pas avouer la faillite de la Nation et conserver encore un peu, quelques mois, quelsques années les hauts fonctionaires en place et leur folies dépensières.
Car qui doit faire les efforts aujourd’hui pour qu’on s’en sorte ?
Tous les avis convergent ….. c’est le train de l’Etat qui est en cause et les prébendes et subventions cahotiques versées sans compter à des assciations ineptes et dispendieuses comme leurs dirigeants !!!
Citation :
" Par jp, le lundi 18 août 2008 à 23:42
A Yfig
Pour faire comme la petite fille d’Alain Lambert
Le déficit corrigé Cour des Comptes c’est 60 milliards l’an
1300 milliards de dette à 4.6% ça coûte 60 milliards l’an
Si on réduit la dette de moitié on revient dans des zones ou les économies et la rationalisation peuvent prendre le relais
Mais on respire, et vite"
Je n’ai pas tout compris ?????
Vous ne tenez pas compte de l’effet ‘spirale’ ?
Plus j’emprunet, plus je m’endette ….. et réduire de moitié ne fait que ralentir l’endettement, mais ne le règle pas et d’ailleurs pourquoi attendre pour prendre le ralis ??? tout ce qui peut atténuer la dette doit être entrepris immédiatement !
citation (toujours JP)
"La Cour des Compte a cherché à savoir : « Les comptes de l’établissement public ne permettent pas de connaître le coût de fonctionnement réel du musée… le bilan ne donne pas une image sincère et fidèle du patrimoine …les immobilisations reçues en dotation ne sont toujours pas comptabilisées… »
Ca a un nom : "faillite" !
Il est temps d’appeler un chat un matou …!!!!!!!!
Quand l’Etat n’est plus capable de mesurer ni de compter …. c’est la déroute, la déconfiture, la faillite.
@ JP
Vendre …. voyez les réponses qu’on vous fait …. c’est reculer pour mieux sauter !!!!
et puis vendre ….. à qui ????
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Aux Saoudiens ?
Aux Indiens ?
Aux Russes ?
Un Russe est en train de négocier la plus belle villa de la côte d’azur pour quelques centaines de millions d’euros ….
Les Français vivront de quoi, après cela ?
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Mais ensuite, il faut louer, signer des baux …. et payer ….
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Car qui doit faire les efforts aujourd’hui pour qu’on s’en sorte ?
Tous les avis convergent ….. c’est le train de l’Etat qui est en cause et les prébendes et subventions cahotiques versées sans compter à des assciations ineptes et dispendieuses comme leurs dirigeants !!!
Citation :
" Par jp, le lundi 18 août 2008 à 23:42
A Yfig
Pour faire comme la petite fille d’Alain Lambert
Le déficit corrigé Cour des Comptes c’est 60 milliards l’an
1300 milliards de dette à 4.6% ça coûte 60 milliards l’an
Si on réduit la dette de moitié on revient dans des zones ou les économies et la rationalisation peuvent prendre le relais
Mais on respire, et vite"
Je n’ai pas tout compris ?????
Vous ne tenez pas compte de l’effet ‘spirale’ ?
Plus j’emprunet, plus je m’endette ….. et réduire de moitié ne fait que ralentir l’endettement, mais ne le règle pas et d’ailleurs pourquoi attendre pour prendre le ralis ??? tout ce qui peut atténuer la dette doit être entrepris immédiatement !
citation (toujours JP)
"La Cour des Compte a cherché à savoir : « Les comptes de l’établissement public ne permettent pas de connaître le coût de fonctionnement réel du musée… le bilan ne donne pas une image sincère et fidèle du patrimoine …les immobilisations reçues en dotation ne sont toujours pas comptabilisées… »
Ca a un nom : "faillite" !
Il est temps d’appeler un chat un matou …!!!!!!!!
Quand l’Etat n’est plus capable de mesurer ni de compter …. c’est la déroute, la déconfiture, la faillite.
@ JP
Vendre …. voyez les réponses qu’on vous fait …. c’est reculer pour mieux sauter !!!!
et puis vendre ….. à qui ????
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Aux Saoudiens ?
Aux Indiens ?
Aux Russes ?
Un Russe est en train de négocier la plus belle villa de la côte d’azur pour quelques centaines de millions d’euros ….
Les Français vivront de quoi, après cela ?
Vendre les bâtiments publics qui coûtent en entretien !
Mais ensuite, il faut louer, signer des baux …. et payer ….
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Car qui doit faire les efforts aujourd’hui pour qu’on s’en sorte ?
Tous les avis convergent ….. c’est le train de l’Etat qui est en cause et les prébendes et subventions cahotiques versées sans compter à des assciations ineptes et dispendieuses comme leurs dirigeants !!!
Citation :
" Par jp, le lundi 18 août 2008 à 23:42
A Yfig
Pour faire comme la petite fille d’Alain Lambert
Le déficit corrigé Cour des Comptes c’est 60 milliards l’an
1300 milliards de dette à 4.6% ça coûte 60 milliards l’an
Si on réduit la dette de moitié on revient dans des zones ou les économies et la rationalisation peuvent prendre le relais
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Plus j’emprunet, plus je m’endette ….. et réduire de moitié ne fait que ralentir l’endettement, mais ne le règle pas et d’ailleurs pourquoi attendre pour prendre le ralis ??? tout ce qui peut atténuer la dette doit être entrepris immédiatement !
citation (toujours JP)
"La Cour des Compte a cherché à savoir : « Les comptes de l’établissement public ne permettent pas de connaître le coût de fonctionnement réel du musée… le bilan ne donne pas une image sincère et fidèle du patrimoine …les immobilisations reçues en dotation ne sont toujours pas comptabilisées… »
Ca a un nom : "faillite" !
Il est temps d’appeler un chat un matou …!!!!!!!!
Quand l’Etat n’est plus capable de mesurer ni de compter …. c’est la déroute, la déconfiture, la faillite.
@ JP
Vendre …. voyez les réponses qu’on vous fait …. c’est reculer pour mieux sauter !!!!
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Aux Saoudiens ?
Aux Indiens ?
Aux Russes ?
Un Russe est en train de négocier la plus belle villa de la côte d’azur pour quelques centaines de millions d’euros ….
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Mais ensuite, il faut louer, signer des baux …. et payer ….
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Car qui doit faire les efforts aujourd’hui pour qu’on s’en sorte ?
Tous les avis convergent ….. c’est le train de l’Etat qui est en cause et les prébendes et subventions cahotiques versées sans compter à des assciations ineptes et dispendieuses comme leurs dirigeants !!!
Citation :
" Par jp, le lundi 18 août 2008 à 23:42
A Yfig
Pour faire comme la petite fille d’Alain Lambert
Le déficit corrigé Cour des Comptes c’est 60 milliards l’an
1300 milliards de dette à 4.6% ça coûte 60 milliards l’an
Si on réduit la dette de moitié on revient dans des zones ou les économies et la rationalisation peuvent prendre le relais
Mais on respire, et vite"
Je n’ai pas tout compris ?????
Vous ne tenez pas compte de l’effet ‘spirale’ ?
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citation (toujours JP)
"La Cour des Compte a cherché à savoir : « Les comptes de l’établissement public ne permettent pas de connaître le coût de fonctionnement réel du musée… le bilan ne donne pas une image sincère et fidèle du patrimoine …les immobilisations reçues en dotation ne sont toujours pas comptabilisées… »
Ca a un nom : "faillite" !
Il est temps d’appeler un chat un matou …!!!!!!!!
Quand l’Etat n’est plus capable de mesurer ni de compter …. c’est la déroute, la déconfiture, la faillite.
@ JP
Vendre …. voyez les réponses qu’on vous fait …. c’est reculer pour mieux sauter !!!!
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Mais ensuite, il faut louer, signer des baux …. et payer ….
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Car qui doit faire les efforts aujourd’hui pour qu’on s’en sorte ?
Tous les avis convergent ….. c’est le train de l’Etat qui est en cause et les prébendes et subventions cahotiques versées sans compter à des assciations ineptes et dispendieuses comme leurs dirigeants !!!
Citation :
" Par jp, le lundi 18 août 2008 à 23:42
A Yfig
Pour faire comme la petite fille d’Alain Lambert
Le déficit corrigé Cour des Comptes c’est 60 milliards l’an
1300 milliards de dette à 4.6% ça coûte 60 milliards l’an
Si on réduit la dette de moitié on revient dans des zones ou les économies et la rationalisation peuvent prendre le relais
Mais on respire, et vite"
Je n’ai pas tout compris ?????
Vous ne tenez pas compte de l’effet ‘spirale’ ?
Plus j’emprunet, plus je m’endette ….. et réduire de moitié ne fait que ralentir l’endettement, mais ne le règle pas et d’ailleurs pourquoi attendre pour prendre le ralis ??? tout ce qui peut atténuer la dette doit être entrepris immédiatement !
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"La Cour des Compte a cherché à savoir : « Les comptes de l’établissement public ne permettent pas de connaître le coût de fonctionnement réel du musée… le bilan ne donne pas une image sincère et fidèle du patrimoine …les immobilisations reçues en dotation ne sont toujours pas comptabilisées… »
Ca a un nom : "faillite" !
Il est temps d’appeler un chat un matou …!!!!!!!!
Quand l’Etat n’est plus capable de mesurer ni de compter …. c’est la déroute, la déconfiture, la faillite.
@ JP
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Aux Indiens ?
Aux Russes ?
Un Russe est en train de négocier la plus belle villa de la côte d’azur pour quelques centaines de millions d’euros ….
Les Français vivront de quoi, après cela ?
Vendre les bâtiments publics qui coûtent en entretien !
Mais ensuite, il faut louer, signer des baux …. et payer ….
c’est la folle course à retardement ….. tout doit être fait pour ne pas avouer la faillite de la Nation et conserver encore un peu, quelques mois, quelsques années les hauts fonctionaires en place et leur folies dépensières.
Car qui doit faire les efforts aujourd’hui pour qu’on s’en sorte ?
Tous les avis convergent ….. c’est le train de l’Etat qui est en cause et les prébendes et subventions cahotiques versées sans compter à des assciations ineptes et dispendieuses comme leurs dirigeants !!!
Citation :
" Par jp, le lundi 18 août 2008 à 23:42
A Yfig
Pour faire comme la petite fille d’Alain Lambert
Le déficit corrigé Cour des Comptes c’est 60 milliards l’an
1300 milliards de dette à 4.6% ça coûte 60 milliards l’an
Si on réduit la dette de moitié on revient dans des zones ou les économies et la rationalisation peuvent prendre le relais
Mais on respire, et vite"
Je n’ai pas tout compris ?????
Vous ne tenez pas compte de l’effet ‘spirale’ ?
Plus j’emprunet, plus je m’endette ….. et réduire de moitié ne fait que ralentir l’endettement, mais ne le règle pas et d’ailleurs pourquoi attendre pour prendre le ralis ??? tout ce qui peut atténuer la dette doit être entrepris immédiatement !
citation (toujours JP)
"La Cour des Compte a cherché à savoir : « Les comptes de l’établissement public ne permettent pas de connaître le coût de fonctionnement réel du musée… le bilan ne donne pas une image sincère et fidèle du patrimoine …les immobilisations reçues en dotation ne sont toujours pas comptabilisées… »
Ca a un nom : "faillite" !
Il est temps d’appeler un chat un matou …!!!!!!!!
Quand l’Etat n’est plus capable de mesurer ni de compter …. c’est la déroute, la déconfiture, la faillite.
J’ai entendu cette phrase récemment "la France est le plus pays du Monde, mais les projets se réalisent ailleurs" c’est un peu dommage, voire un peu triste.
Ce qui qui freine ou handicape (lourdeurs administrative, fiscales etc…) n’est pas encore suffisamment pris en compte , des progrès ont et vont probablement être faits, mais sont-ils à la hauteur des espérances ?
Il est nécessaire de donner une autre image pour avoir l’envie d’avoir envie de bouger, d’entreprendre etc… et par là même d’en récolter des fruits indispensables pour alimenter nos Caisses et commencer à rembourser notre fameuse dette.
Il apparait également vital que tout soit fait pour stopper le dépouillement de la France et ce à tous niveaux (délocalisation, fuite des capitaux etc..)
@ Yfig
Plus que de malhonnêteté, je pense qu’il y a eu une totale incompréhension de ce que l’on a longtemps appelé la crise. L’idée était que l’on assistait à une crise passagère et que les choses allaient rentrer dans l’ordre après. Au début, on a emprunté en s’imaginant rembourser après la fin de la crise.
Mais en fait de crise, on a subit une des ces grandes révolutions que l’humanité connaît régulièrement, du type invention du feu, de l’agriculture, de l’écriture et, plus récemment la renaissance et la révolution industrielle. Nous assistons à une révolution de l’information avec la caractéristique que cela se passe à une vitesse vertigineuse.
Alors, personne n’a rien vu venir, politiques et technocrates y compris. Et avec notre centralisme technocratique, nous y étions particulièrement mal préparé.
Ne changez pas une virgule, Cher Alain Lambert.
L’humour est toujours un excellent moyen pour faire passer des idées très sérieuses.
Les réponses postées ici le démontrent amplement.
Je voudrais seulement rectifier ce qui, à mon sens, est une petite erreur, mais qui a son importance.
Vous conseillez respectueusement, à votre Cher Ami, le Technocrate, je cite : « de vous occuper de mieux gérer votre maison ».
En fait, ce n’est pas de sa maison dont il s’agit, mais de celle des contribuables, et que de plus ceux-ci le paient pour bien la gerer.