Lors de la 4ème Université de Printemps de Finances Publiques, Alain Lambert a présidé une table ronde et a été invité à clôturer le colloque avant de rejoindre les experts en finances publiques venus du monde entier. Après vous avoir présenté le colloque organisé par le GERFIP et FONDAFIPdans un billet précédent, nous avons souhaité partager des moments plus informels pour vous montrer que le réseau international des finances publiques était composé de collègues et aussi d’amis de tous bords et ayant des activités diverses.
Certains, intéressés par le contenu même du colloque pourront visionner cette vidéo où Alain Lambert revient sur sa collaboration avec Didier Migaud et sur les bienfaits de leur approche transpartisanne.
N’hésitez pas à poster vos commentaires pour faire part à Alain Lambert de vos réflexions issues de son intervention pédagogique (compréhensible pour le plus grand nombre) sur des problèmes souvent évoqués de façon complexe !
Cette intervention résume d’une manière simple et compréhensible ce que la plupart des citoyens souhaitent, merci M. Lambert pour votre honnêteté et votre ouverture d’esprit cela fait du bien, le seul souhait serait que tous nos politiques réagissent avec autant de bon sens, d’humilité et de lucidité. IL pourrait d’ailleurs exister un lien entre le billet "indicateurs de richesse et bien-être".
Très bonne intervention d’excellent niveau qui rend la politique plus respectable.
Simplicité, lucidité et franchise sont des qualités appréciables en politique, lorsque l’on vous écoute tout devient plus transparent, merci M. Lambert.
L’orientation politique visonnaire et pratique de M. LAMBERT est celle du bon sens et de la simplicité, celle qui correspond aux attentes de la plupart des français , souhaitons donc tout simplement qu’il soit entendu .
indéniablement très courageuse l’affirmation de l’aggravation du délabrement de nos finances publiques qui sont DEUX FOIS PLUS MAL EN POINT en 2008 qu’en 1946… pour le moment les politiques de remise en état pratiquées par notre gouvernement sont proches des méthodes douces… la gravité de notre situation ne requiert-elle pas des méthodes plus "chirurgicales" ?
La situation n’est pas au meilleure de sa forme , M. LAMBERT l’a courageusement confirmé avec beaucoup de lucidité, reste à savoir maintenant ce qui sera réellement entrepris pour y remédier ? ne serions-nous pas en manque de réactivité ? parfois il semblerait que l’on s’occupe davantage des petits "bobos" que des gros "malaises"? et surtout que l’on continue à ne pas vouloir heurter certaines sensibilités ; il est très difficile de faire évoluer rapidement les menstalités.
J’espère sincèrement Monsieur Lambert que vous serez entendu par le plus grand nombre de nos responsables politiques et de nos concitoyens, quand vous appelez de vos vœux une approche transpartisane des crises que nous traversons, pour trouver des solutions efficaces.
J’observe tellement, tant sur la "scène politique" que sur votre site par exemple, ce que vous appelez fort justement des " manœuvres dialectiques " qui discréditent totalement le combat de leurs auteurs.
Vous êtes, avec Daniel Migaud, des exemples à suivre pour toutes celles et ceux qui demeurent ancrés sur leurs convictions partisanes, en ne sachant en permanence affirmer leur différence que dans le mépris et la critique et une opposition systématique GAUCHE/DROITE stérile.
Le ver est dans le fruit.
Un bon diagnostic est établi , espérons que l’on parviendra rapidement à administrer le traitement qui convient.
Le dire c’est bien, le faire c’est mieux.
N’avez-vous pas de temps en temps l’impression de prêcher dans le désert, cher Alain Lambert ?
Nous sommes dans l’incantation depuis des lustres, pour autant, nous en sommes toujours au même point.
Avec le livre blanc, Sarko nous a annoncé 50000 militaires de moins, mais pour 2015.
On peut y voir la prise en compte de la réalité, mais par rapport à nos cinq millions de fonctionnaires, c’est une goutte d’eau. C’est comme tenter de vider l’océan avec un sceau.
Alors que le niveau des prélèvements publics est déjà inacceptable sans avoir recours au déficit, le fait de faire un centime de déficit et donc de dette, devrait être considéré comme un scandale et même une insulte, faite par ceux qui sont en charge de la gestion envers ceux qui les nourrissent.
Avec 40 ou 50 milliards de déficit, on continue dans la gabegie. Ce n’est pas pour demain que la dette va diminuer, et donc les intérêts qui vont avec.
Or, sur les 1100 milliards que consomme la sphère publique annuellement, il est très facile de supprimer des coûts inutiles, pour un montant bien supérieur au déficit, sans que notre « modèle social » ne soit remis en question.
Mais pour ça, il faut un peu de volonté, pour remettre en question les pré-carrés de ceux qui s’engraissent sur la dette, en ne perdrant pas de vue un élément essentiel, c’est que sur la dette, il y en a qui vivent très bien.
Ceux qui son en charge de ces questions, gagneraient en crédibilité à prendre les problèmes par le bon bout.
En attendant, il ne faut pas s’étonner que chacun cherche sa solution pour ne pas être victime de cette mascarade.
Monsieur le Ministre,
De la bonne gouvernance de nos finances publiques: pourquoi pas!
Pas besoin donc de campagne publicitaire pour convaincre les Français qu’on s’occupe de leur pouvoir d’achat: il suffit de leur prouver par le résultat dans leur porte-monnaie.
Le Gouvernement ne peut pas grand-chose vis à vis de l’emploi ou de la croissance. Dire le contraire est mentir, qu’on soit au pouvoir ou dans l’opposition.
Par contre, il peut TOUT pour éviter les ponctions CROISSANTES sur les revenus des Français! Pour cela, il faut le bon sens et un vrai courage: l’abolition de l’ISF qui détourne des richesses et des impôts de France, l’abolition des 35H qui coûtent à la collectivité en argent et en activité, la simplification administrative DONT ON PARLE DEPUIS CINQUANTE ANS SANS JAMAIS LA FAIRE et la restitution de pouvoir d’achat pris aux Français par la bureaucratie qui refuse de se réformer et coûte toujours plus.
Nombre de chantiers et promesses de résultat : vos prédécesseurs et vos successeurs ont fait la même chose. La vérité, c’est que les dépenses croissent encore plus vite que les maigres économies dont vous vous glorifiez les uns et les autres sur le moment.
Le pouvoir d’achat : LES FRANÇAIS LE VOIENT DANS LEUR PORTE-MONNAIE. Là, on ne peut pas les tromper!
Encore une dépense supplémentaire, faire de la publicité au sujet du pouvoir d’achat c’est franchement nous prendre pour des "gogos".
pour ce genre de "bêtise" il y a de l’argent !!!!