Il est agréable de voir une entreprise que l’on a réussi à séduire et convaincre de s’installer sur notre territoire se développer et créer toujours de nouveaux emplois. C’est le cas de Vitraglass, une entreprise que nous avions accueillie immédiatement après le choc ce la fermeture de Moulinex. C’est la première qui s’est manifestée. Marquée par notre détermination à relever le défi. Annonce sur les Champs Elysées. Pose de première pierre symbolique au journal de France 2. J’ai eu l’occasion d’amorcer ce nouveau dossier juste avant mon départ de la Communauté Urbaine et je me réjouis profondément qu’il réussisse. L’effectif va passer de 180 à 250 salariés. C’est l’opération Phénix qui continue à porter ses fruits. Bravo et merci à tous les acteurs de ce beau succès.
Souvenir du combat mené pour garder l’espérance au coeur de tous les Alençonnais !
Article de presse de l’époque qui marque le début de la réussite de l’opération Phénix !
Voici l’article d’Ouest-France – Actualité Alençon – mercredi 25 juin 2008
Gildas Corbel dirige Vitraglass depuis février 2004.
Le journal Ouest-France nous révèle cette bonne nouvelle pour l’économie alençonnaise. L’entreprise Vitraglass s’agrandit dans la zone d’Ecouves. Avec des dizaines d’emplois à la clé.
Le projet vient d’être finalisé. Installée depuis 2002, dans la zone d’Ecouves, l’entreprise Vitraglass s’agrandit. Fin novembre, 3 500 m2 s’ajouteront aux 9 000 m2 existants. Et l’effectif passera de 180 à 250 salariés. Soixante-dix emplois en plus sur le bassin alençonnais. Par les temps qui courent, c’est une très bonne nouvelle.
L’entreprise fait partie du groupe Devglass, leader national des fabricants indépendants de double vitrage. La première usine, Soveriso, a été créée voici dix ans à Saint Laurent sur Sèvres en Vendée. « On est venu s’installer à Alençon dans un souci de développement géographique », précise Gildas Corbel, directeur du site. Tandis que l’usine vendéenne (280 salariés) approvisionne le Sud-Ouest de la France, Vitraglass fournit le marché du Nord et de l’Ouest. Près de 7 000 double vitrages (prochainement 10 000) sortent chaque jour des quatre lignes d’assemblage alençonnaises fonctionnant en 3 x 8, 5 jours sur 7. « Nos clients, ce sont les menuiseries industrielles comme MPO à Alençon. »
Un marché porteur
En ces temps d’énergie chère, le créneau du double vitrage est extrêmement porteur. « Avec l’évolution des normes d’isolation, les crédits d’impôts, il y a beaucoup à faire dans le neuf mais aussi dans l’ancien », reconnaît Gildas Corbel.
Un temps, Devglass avait projeté de construire une troisième usine dans l’Est de France mais « dans l’immédiat, on a préféré s’agrandir à Alençon. Nous avons du foncier ici, nous sommes propriétaires de cinq hectares. » Gildas Corbel évoque aussi la modernisation du réseau routier, l’ouverture de l’A28. « On est très vite arrivé sur Rouen, Amiens… »
Les 3 500 m2 supplémentaires vont permettre d’accueillir deux nouvelles lignes d’assemblages et donc de recruter 70 personnes, « des opérateurs de production, précise le directeur. Il n’y a pas de qualification requise. On veut simplement des gens motivés, qui ont envie de s’investir. On assurera nous-mêmes les formations. Le recrutement est déjà lancé. Nous travaillons en parallèle avec l’ANPE. »
Il se pourrait aussi que l’entreprise de transports OLT (une vingtaine de personnes) qui travaille en partenariat avec Vitraglass recrute quelques chauffeurs supplémentaires.
Ouest-France
Une excellente nouvelle en effet pour l’emploi qui ne peut que réjouir les alençonnais.
Dans ce même chapitre, concernant la vie et l’activité d’Alençon, Monsieur Lambert pourrait-il nous dire ce qu’il pense de la fermeture, à l’aube de la saison estivale, de l’Hôtel du Grand Cerf et de la Renaissance que son nouveau propriétaire ambitionne de reconvertir en Casino de jeux ?