C’est le titre d’un rapport que j’ai publié au Sénat le 15 novembre 1996 (11 ans déjà !). Il traitait de la révolution silencieuse qui s’annonçait au sein du système bancaire français et étranger. Je reçus à l’époque une volée de bois vert. Pourtant, aujourd’hui, tout ce qu’il contenait, s’est quasiment réalisé. Comme quoi, il ne faut pas avoir raison trop tôt dans notre beau pays. Un tabou avait été levé : la distribution universelle du livret A ! Cette hypothèse est aujourd’hui une évidence. Reste à régler la question des modalités. Et j’entends bien sur ce point faire entendre ma voix. Après tout, bien d’autres, sans plus de légitimité forcent bien la leur, je ne vois donc pas pourquoi j’éteindrais la mienne ! Pour accéder au rapport sur le site du Sénat.
pour le moment je n’ai hélas pas le temps de lire votre rapport
je souhaite cependant partager une constatation alarmante….
-les banques en ne répercutant pas leur gains de productivité sur leurs prix de revient
par manque de courage face aux inéluctables réductions de personnel
font supporter a leur clients:
-des "agios" croissants (même quand les comptes sont créditeurs…!)
et
-des "commissions" croissantes
pendant que ces mêmes clients doivent eux ajuster en permanence leurs charges et effectifs
que pensez vous de cette situation de quasi "racket" ?
quelle vivacit d’esprit ! 🙂 bravo
Avoir raison trop tôt ou trop tard, c’est avoir tort.
Relisons Lao-Tseu : Toute prise de conscience collective n’est que la conséquence d’une catastrophe, et jamais le moyen de la prévenir.
on tue toujours d’une manière ou d’une autre le prophète…