Soyons francs, l’article d’Ouest-France de ce jour est plutôt bien vu. Il fait état de cinq têtes de liste possibles et, à dire vrai, à défaut d’être totalement exhaustif, il peut n’être pas si loin de la vérité. Je le préfère à celui de la semaine passée, titré « la droite sans candidat à Alençon » ce qui était une contre vérité regrettable. Mais tout le monde peut se tromper : la preuve ! Voilà déjà cinq candidats possibles ! Alors, encourageons la vérité, en commentant par exemple le point de vue aujourd’hui développé.
Tout d’abord, je n’ai pas choisi d’attendre le dernier moment puisque nous sommes dans le tempo absolument habituel. Mais puisque la légende court ainsi laissons-là filer. Que la majorité se réunisse dimanche soir, c’est exact. A mon domicile pour tout avouer. Histoire de nous remémorer les bons souvenirs d’il y a déjà 19 ans ! Il n’y a aucun candidat mystère puisque celui ou celle désigné le sera au scrutin secret. Dès lors, il est difficile à quiconque de prétendre connaître déjà le résultat. Sauf à être devin. Je n’ai pas évoqué vendredi dernier la notion de « parachuté » qui ne relève pas de mon vocabulaire habituel. J’ai signalé que nous disposions d’une ressource humaine riche qui nous évitait d’avoir recours à un élu voisin ayant déjà un quart de siècle d’ancienneté dans la fonction de maire. Notre préférence penche franchement pour le renouvellement. Personne n’a davantage besoin de mentor. Même si l’humilité des élus n’est jamais superfétatoire : un bon conseil fait autant de bien qu’une crise d’ego subite. L’usage répété dans l’article du verbe « traîner » laisse à penser que les élus subissent. J’ai le sentiment contraire. Je les trouve épanouis et plutôt généralement tentés de repiquer pour un nouveau mandat. On me prête l’intention de vouloir « tenir » tel ou tel élu. Pourquoi diable ? Chacun a sa tâche à accomplir, sous les yeux de tous, et il est jugé par ses pairs. Ce sont ceux-ci qui se jugent entr’eux, pas moi. Appartenir à une famille politique n’est pas, non plus, un handicap. L’inverse, pas davantage. En revanche, il serait parfaitement injuste d’exclure une personne au seul motif qu’un autre élu appartient déjà à sa famille. C’est pourquoi, je confirme bien volontiers mon affection pour Bertrand Deniaud qui a l’âge de mes enfants et dont j’apprécie tout particulièrement les qualités.
Cela étant, la semaine passée nous étions supposés n’avoir aucun candidat, aujourd’hui on nous en prête déjà 5, sans compter ceux de la société civile. Peut-être seront-ils 10 dimanche ? Ce qui fera un beau scrutin ! A vos plumes, mesdames et messieurs les journalistes, vous allez pouvoir vous en donner à coeur joie. Mais l’essentiel reste dans le projet et les personnes ne sont là que pour le porter et se mettre d’abord à son service comme au service des Alençonnais.
Pour moi, c’est Philippe Drillon qui devrait conduire cette liste. Le projet est important, c’est vrai, mais gérer la mairie après les élections sera ardu comme toujours.
Il faut donc une personne de qualité, connaissant les rouages et ayant la force de prendre les bonnes décisions avec son conseil municipal.
Pour moi, je souhaite savoir qui sera président de la communauté urbaine, cela me semble autrement important.
Pour moi ce devrait être Sébastien Leroux la tête de la liste car, lui au moins, il a le courage d’aller affronter Pueyo directement dans son canton.
Pour moi ce devrait être Patrick Lindet car la mairie deviendrait le "ca veau de la république". On rigolerait.
Pour moi ce devrait être Marc Le Picarc le maire car c’est lui qui connait le mieux le domaine qui m’intéresse. Ma femme préfère Bertrand Deniaud. Et mon fils Arnaud Besnard-Bernadac. Que faire ?
Moi, je suggère Florence Lambert, au moins Ouest-France aurait parfois un article objectif sur la liste de droite. Car cela la reposerait du soutien systématique à la gauche.
Mais, au fait, pourquoi ne pas y aller, chacun, de notre idée personnelle, ainsi M. Lambert et ses équipiers auraient un vaste choix pour dimanche. Il est vrai que nous risquons d’exprimer notre préférence pour des gens qui ne sont pas candidats. Mais tant pis, allons-y ! C’est vraiment plus marrant qu’à gauche. Elle s’en va chercher un vieil élu usé dans une petite commune où il ne s’est jamais rien fait. C’est à penser qu’elle n’a personne de convenable à Alençon.
Réponse à l’inquiétude de Sportif: la liste va se réunir dimanche soir: la tête sera choisie et toute l’équipe sera derrière pour porter la victoire!
Sébastien LEROUX contre Joaquim Pueyo sur la canton 1: cherchez qui des deux incarne le "Renouveau"!!! On est pas dans une brocante, il ne réussira pas à faire du neuf avec du vieux!
Ce qui importe pour la majorité sortante c’est de donner une dynamique nouvelle cad un projet ambitieux et de nouvelles têtes! Les mandats ne sont pas des offices d’Ancien Régime qui appartiendraient à leurs détenteurs. Il faut se soumettre à son bilan sans cesse et franchement, celui de la majorité n’est pas mauvais du tout! Il faut se méfier aussi de l’emploi immodéré de l’expression "Renouveau": il n’y de renouveau que lorsqu’il s’agit de nouvelles personnes. Peut-on admettre qu’un simple "déménagement" suffise à produire un "Renouveau"? Mais alors, à l’échelle d’une Nation, cela serait une catastrophe, un simple jeu géant de chaises musicales, et les jeunes dans tout cela, ils entrent quand dans l’arêne des suffrages? Le Renouveau doit s’accompagner de l’Audace! Je ne crois pas quel’on puisse faire du neuf avec de l’ancien: ce n’est que slogan publicitaire qui ne trompe personne!!!
Il y a des jours où on se dit qu’on est bien content de ne pas avoir à choisir… Car personnellement, je serais bien embêtée s’il me fallait donner qu’un nom ! (même si j’ai forcément mon ou mes "chouchous"…)
Ceci étant, cette multitude de candidats potentiels ayant chacun son ou ses atouts propre(s) doit déjà être considéré comme un atout pour l’ensemble de la liste. Cela signifie en effet qu’il n’y aura pas une tête de liste et des "larbins" mais au contraire une équipe solide, déterminée et compétente; derrière laquelle nous devrons TOUS être.
Philippe Drillon serait à mon avis l emieux placé pour l’emporter . J’espère que ce sera lui!
Attention Au canton 1
Pueyo – Leroux Ta tham
Canton 2
Offman darcissac
Lesa rguments à effet boomerang ….
Me Leroux arrivera peut-etre à quelque chose lorsque il osera prendre la parole (en conseil municipale par exemple)
Que le plus compétent l’emporte…..
Celui qui choisit les votants et le fonctionnement du scrutin a fatalement une influence sur le résultat du vote, si secret soit-il. Tous ceux qui ne seront pas invités ce soir là mesureront le peu de cas que l’on fait de leur avis.
Les journalistes ont décidément bien souvent des appréciations un peu à l’emporte pièces.
Ainsi quand je lis que Bertrand DENIAUD qui a 36 ans, serait " encore un peu jeune "… je rappelle à nouveau ici qu’en 1983 un certain N. SARKOZY ( qui était également avocat…) fut élu maire de Neuilly S/Seine à…28 ans.
Enfin quand sous la même plume je lis (toujours pour ce qui concerne B. Deniaud ) : " une apparence de dynastie familiale serait difficile à faire passer dans l’opinion "… je citerai simplement quelques noms en exemples, toutes tendances politiques confondues, comme
Debré, Baudis, Joxe, Dassault, Aubry, Poniatowsky…. qui prouvent que l’on peut faire une carrière politique même quand on est la fille ou le fils de… sans doute parceque, fort heureusement,les électeurs se préoccupent avant tout de la qualité des femmes et des hommes qui se présentent devant le suffrage universel et de l’intérêt des projets qu’ils portent.
Comme je suis sportive, je choisis Le Picard. Et vous ?
Pour ma part, je suis pour la candidature d’Alain Lambert car c’est le meilleur. Il est connu et estimé de tous à Paris où il nous décroche des décisions fort utiles pour Alençon. Il a changé totalement le visage de notre ville en la rendant belle et élégance. Nous disposons désormais tous les services. Je regrette un peu qu’il aille s’enfermer au conseil général qui me semble avoir beaucoup moins d’importance pour nous. Mais peut-être que je me trompe. Car il sait réfléchir manifestement.