Nous n’en sommes pas encore à notre score le plus fort (133 053 en mai 2007, NDLR) mais nous nous y rendons tranquillement, grâce à vous.
En octobre nous avons été 124 035 internautes, en septembre 122.096 contre 85.098 en août, et 117.633 au mois de juillet. Nous poursuivons notre avancée dans la croissance grâce à chacun de vous, bloggeurs, lecteurs, insatiables de débats, d’échanges, de partage. Bref, acteurs en tous genres de la démocratie et de l’avancée des idées. Nous restons très sensibles à votre fidélité et à votre participation à ce blog, qui continue de rencontrer de nouveaux adeptes tous les jours. Et comme toujours, n’hésitez pas à nous proposer des sujets qui vous intéressent … Merci aussi de le faire connaître autour de vous en diffusant à tous vos contacts le lien vers un billet qui vous a particulièrement plu. Merci encore.
A très bientôt.
Ce serait intéressant de mettre un sujet sur l’euthanasie.
C’est surprenant comme les gens "bien-pensants" ne sont pas choqués par les ventes d’armes qui, certes nous rapportent de l’argent, mais qui tuent beaucoup de personnes de tous âges et ayant le désir de vivre, hors de nos frontières.
En France on a tellement peur de débordements qui seraient vraiment minoritaires !
La possibilité de choisir comment et quand mourir quand l’énergie de vie ne nous porte plus, ne peut être qu’une bonne chose. Elle améliorerait la fin de vie et ferait faire beaucoup d’économies à la sécu. Le fin de vie coûte très cher, et quand ce coût est contre la volonté du patient, que non seulement, il n’améliore pas sa vie, mais la complique, c’est tout simplement stupide.
Bien sûr, il existe des soins palliatifs, mais nous avons très peu de lits par rapport aux besoins et le prix est très élevé. En avons nous les moyens ?
Mon souhait, quand je sentirai la vie se retirer de mon corps, si mon corps devient tellement lourd à traîner, je préférerais partir tranquillement avant que ça ne devienne trop pénible, sans alourdir la charge de la société.
J’aimerais dire au revoir à mes proches, leurs souhaiter bonne route pour la suite de leur chemin.
Si j’ai une maladie d’alhzeimer, même si j’ai encore l’instinct de survie, je demande à mes proches de m’aider à partir, de m’endormir pour toujours, dans la tendresse. Je ne veux pas être un corps sans tête.
C’est comme cela je j’envisage ma fin de vie, sauf si je meurs dans mon sommeil sans avoir eu le temps de voir venir…. Ce serait bien aussi.
« Gouverner, c’est prévoir » écrivait Emile de Girardin (1806-1881) et c’est aussi anticiper.
La crise actuelle s’annonçait depuis des années mais rien n’a été fait pour commencer tôt à la combattre. De nombreuses lois sont rédigées dans la précipitation à la suite d’événements d’actualité et les deux Assemblées sont devenues de simples chambres d’enregistrement.
Pas un jour ne se passe sans déclarations tonitruantes qui se limitent à des effets d’annonce, les dirigeants responsables de cette crise se présentent maintenant comme les sauveurs de la nation.
Pour se faire élire, les politiques multiplient les promesses, une fois élus, ils ont toujours de bonnes raisons pour ne pas respecter leurs engagements, la mondialisation, la crise…
Dans ce même monde, remplit d’incertitudes, les entreprises définissent des stratégies, à partir desquelles elles déclinent des plans opérationnels puis élaborent des budgets qu’elles sont bien obligées de respecter, contrairement aux politiques, les chefs d’entreprises sont soumis aux obligations de résultats.
Pour ce qui concerne le département de l’Orne et au blog de Monsieur Alain Lambert, j’ai pu lire que ce dernier est un homme politique du niveau du Général De Gaulle, je pense qu’il ne faut pas exagérer et que ce commentaire est plutôt dévalorisant pour le Général.
Je ne conteste pas les compétences et la rigueur de Monsieur Alain Lambert en matière de gestion des fonds publics et de techniques budgétaires mais cette démarche se limite à agir seulement sur les effets mais pas sur les causes. De plus, elle n’est qu’un élément qui doit s’inscrire dans le cadre d’une politique générale. La crise ne se résume pas à des problèmes budgétaires et ne se réglera pas seulement par de beaux discours, nous savons bien que les conseilleurs ne sont pas les payeurs…
Contrairement à une entreprise, l’élaboration d’un budget pour un homme politique consiste soit à augmenter les recettes en faisant appelle aux contribuables ou à diminuer le niveau des prestations, tout en faisant des arbitrages entre les lignes budgétaires.
Je pense qu’il serait préférable d’avoir une politique beaucoup plus volontariste de lutte contre les fraudes fiscales et sociales qui sont environ de 40 milliards d’euros par an, au niveau national. Or, la fraude aux prestations sociales ne contribue que pour une part négligeable à ce total soit prêt de 300 millions d’euros, l’essentiel est donc lié à la fraude fiscale.
Par contre, je souhaite souligner l’action de Monsieur Yves Deniau, député de l’Orne, pour la mise en évidence de la gestion calamiteuse du patrimoine immobilier de l’État. Il y a là encore la possibilité de diminuer les dépenses de l’État de plusieurs centaines de millions d’euros.
Alors M. Alain Lambert, vous avez certainement raison d’imposer une rigueur budgétaire mais comme vous pouvez le constater, il faut mener parallèlement d’autres actions pour réduire les dépenses de l’État qui doit montrer l’exemple. Vous êtes particulièrement scrupuleux quant à l’utilisation des deniers publics, je souhaiterais que vous le soyez également sur l’application et le respect des lois concernant les personnes en situation de handicap dans le département de l’Orne. Plus nous faciliterons l’intégration des personnes en situation de handicap en milieu ordinaire, moins elles seront à la charge de la société.
À la veille du 60e anniversaire de LA DECLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L’HOMME, je souhaite vous faire part de ma grande inquiétude sur deux points :
– les interférences du pouvoir dans le but d’influencer la justice sur certains dossiers.
– la main mise du pouvoir sur les médias, bientôt nous aurons la radio et la télévision d’État.
C’est comme cela que commence les régimes totalitaires.
Gérard Doiteau
Adhérent UMP
Monique, très bon sujet que vous proposez là !
Je partage votre avis. Je ne comprends pas pourquoi alors que nous ne sommes même pas capables de financer nos dépenses de santé, que nous accumulons des dettes pour nos enfants, enfants qui auront fatalement encore plus de difficulté que nous à financer leur santé, certains s’acharnent à grand frais à maintenir en survie des personnes qui ne demandent qu’à partir en paix.
Oui Monique, un peu plus de liberté pour le grand voyage lorsqu’il n’y a plus rien à faire et stopper toute souffrance devrait être accepté par les médecins ; mais malheureusement il existe encore des médecins qui font de l’acharnement, ex. de ma mère très âgée, alhzeimer, elle s’éteignait tout doucement et bien qu’a prescrit le cardiologue, un stimulateur cardiaque ! intervention qui a posé problème et dans la foulée son état s’est encore aggravé, ponction suite à un épanchement de liquide dans la plèvre , là enfin on a compris que plus rien n’était possible ; elle va devoir souffrir physiquement car seules des ponctions pourront la soulager jusqu’à sa mort, n’aurait-il pas été plus humain de la laisser partir tranquillement ? que de souffrance imposée , beaucoup de progrès restent à faire.
Je partage l’avis de Monique. D’autant que j’ai été choqué d’apprendre que le rapporteur de la loi en cours avait été missionné pour en faire l’évaluation et qu’il avait déjà clos son rapport avant de rencontrer les interlocuteurs néerlandais et suisses qui ont pourtant des approches novatrices sur le sujet. De là à penser que ce sont des manières de freiner le débat démocratique…
@Gérard DOITEAU
Je tenais à réagir à votre commentaire.
C’est moi-même qui aie initié le parallèle entre Monsieur le Sénateur Lambert et le Général de Gaulle.
Par conséquent, inutile de proclamer l’exagération de mon commentaire en prétextant une dévalorisation du Général de Gaulle.
Bien que je sois dans un état de déprime chronique depuis ce triste dimanche noir du 6 mai 2007, je vais pourtant tenter de faire preuve de compréhension à votre égard en vous demandant simplement de prendre connaissance des argumentations qui ont motivés la comparaison que j’ai pris la liberté d’écrire sur le blog de Monsieur le Sénateur.
Il ne vous aura pas échapper qu’en cette période trouble de notre démocratie, période où les dépenses publiques échappent au contrôle de nos gouvernants, période trouble où l’on souhaite faire taxer et freiner le dernier moteur de notre économie par la mise en place de taxes sur les blogs et sites de diffusion vidéos français, période troublée par la prochaine mise en place d’un contrôle des internautes français par l’installation de spywares gouvernementaux obligatoires afin de fliquer les habitudes des internautes à des fins de lutte contre les téléchargements sauvages ; période troublée par l’avènement d’une nouvelle forme d’entité répressive et judiciaire (HADOPI) qui pourra bientôt sanctionner par une coupure des accès Internet les internautes français présumés coupable de téléchargement sauvages ; période aussi troublée par l’idée du contrôle par le CSA des sites et blogs français, période troublée par l’idée de faire passer un projet de loi qui permettra bientôt d’enfermer nos jeunes gamins dès 12 ans, période trouble où le gouvernement s’octroie le droit de labelliser certains sites webs complaisants ou d’interdire (via le fameux spyware) les sites récalcitrants à l’autorité ; période trouble de notre république où l’idée de prévenir les comportements violents de nos jeunes enfants dès l’âge de trois ans pourra bientôt être autorisé par la mise en place d’un système de détection des troubles comportementaux des jeunes enfants dès leur plus jeune âge, période trouble de notre démocratie où les gendarmes sont désormais autorisés à pénétrer dans les établissements scolaires de nos jeunes adolescents avec des chiens renifleurs et fouille systématique des adolescents de 13 ou 14 ans, période troublée par le contrôle des médias par le président de "votre" république en imposant une réforme de l’audiovisuel public qui n’a de raison d’être que de contrôler un peu plus la diffusion de l’information avec au passage, bien entendu, quelques faveurs très avantageuses pour l’ami Bouygues, période trouble de notre pays, de notre démocratie et de notre république qui voit chaque jour survenir une nouvelle idée de mesures répressives et de restriction de nos libertés. Et je ne parle même pas de la mise en place des tests ADN pour autoriser le regroupement familial. Car finalement et c’est bien pratique pour les français que nous sommes, nous acceptons cette mesure immonde parce que ce ne sont pas nous, citoyens français, qui passeront sous le billot de notre dignité pour accepter un traitement aussi inhumain que moralement condamnable pour l’esprit qui a toujours guidé les principes d’humanité que les valeurs de notre république ont toujours portés haut et fort.
Er je ne parle même pas du retrait unilatéral voulu par la France de Monsieur Sarkozy de retirer l’amendement 138 dit amendement bono-cohn bendit, voté par 88% des parlementaires européens et qui ne faisait que rappeler à l’attention de la présidence française les principes fondamentaux des droits de l’homme et du citoyen de disposer de tous les moyens de communication et de liberté d’information, inclus dans le Paquet Télécom lors du dernier Conseil Européen.
Je regarde en arrière @Gérard DOITEAU et puis j’essaie de regarder de l’avant et l’avenir que nos chers gouvernants essaient par tous les moyens de nous imposer me révolte infiniment.
La France de Monsieur Sarkozy a déclaré la guerre à nos jeunes et cela me rappelle une citation d’un auteur de littérature dont le nom m’échappe malheureusement, qui écrivait que quand un peuple décide de déclarer la guerre à ses enfants, inexorablement, ce peuple signe par ses actes le début de sa décadence.
Nous en sommes malheureusement là et je présume que vous n’êtes au fait d’aucun point que je viens de citer parce que les médias traditionnels se gardent bien d’informer de peur de subir une répression féroce aux conséquences désastreuses de "l’Elyséen" qui n’aspire qu’à une seule chose, modeler la France à son image.
Alors voyez-vous @Gérard DOITEAU, j’ai beau regarder à gauche, puis à droite et même parfois au centre et je ne vois que la misère idéologique d’une France sclérosée, dépassée par les évènements, incapable de surmonter sa peur et encore moins d’avouer son impuissance.
Incapable de protéger et d’assurer les intérêts des citoyens, je ne crois plus en aucun parti politique alors je me rabats sur des hommes politiques de conviction, quelques soient leur tendance politique, à partir du moment qu’ils me prouvent qu’ils ne regardent que vers le seul objectif de mener une politique qui vise à favoriser exclusivement l’intérêt des citoyens qui les ont élus.
Et puis j’ai découvert Monsieur le Ministre, je le connaissais un peu, j’ai appris à l’aimer et puis j’ai eu connaissance de son blog.
Et de tous les hommes politiques, je vous mets au défi de me citer un seul politique contemporain qui maîtrise autant les outils issus des nouvelles technologies de l’information et de la communication. Ensuite @Gérard DOITEAU, je vous mets au défi de me citer un seul parlementaire de la mouvance unipartiste de l’UMP qui possède autant de courage et de liberté de ton et d’expression que Monsieur le Sénateur Lambert.
Nous en arrivons alors aux motivations qui m’ont poussé à faire un parallèle entre Monsieur le Sénateur Lambert et le Général de Gaulle.
Sincères, courageux, amoureux de la France et principalement des citoyens qui la compose, intègres, orateurs doués, riches de convictions puissantes, incapables de s’attacher à des interférents lobbyistes au détriment de la majorité des citoyens et enfin charismatiques, nobles et fiers… Sont des caractéristiques communes à ces deux personnages politiques de notre pays.
Aujourd’hui @Gérard DOITEAU, la seule chose qui me raccroche encore à la démocratie française est Monsieur le Sénateur Lambert.
L’un a combattu avec les armes et les moyens de son époque, l’autre utilise des outils modernes qui échappent encore à la compréhension de ses égaux. L’un a été décrié pendant un temps pour revenir en conquérant, l’autre s’adapte à une lutte moderne en faisant participer au quotidien les citoyens qui possèdent encore une vigilance citoyenne. L’un a combattu avec les armes, l’autre utilise les armes de la communication et de l’expression citoyenne.
Sur bien des aspects @Gérard DOITEAU, vous avez sans doute raison. Je pense finalement consacrer plus d’estime à Monsieur Alain Lambert qu’au Général de Gaulle. Parce que celui que j’estime du plus profond de mon cœur n’utilise pas des armes de mort pour tenter de libérer la France de son asphyxie budgétaire et démocratique.
Il lui suffit d’écrire un simple billet, de publier une simple vidéo sur son blog personnel pour foutre le boxon jusqu’aux plus hautes sphères de l’Etat sans aller jusqu’à demander le sacrifice des résistants. Le Général de Gaulle, lui, demandait aux résistants de prendre les armes et de sacrifier leurs vies pour libérer la France.
La seule exagération du
parallèle fait, Gérard DOITEAU, réside fondamentalement dans la comparaison de notre citoyenneté française d’aujourd’hui d’avec les citoyens qui glorifiaient notre pays il y a maintenant 65 ans.
A cette époque, les français n’étaient pas encore devenus des veaux. Ils le sont devenus par la force des choses. Parce qu’une majorité de français pensent que la démocratie est un acquis alors que la sauvegarde de notre république et de nos libertés sont des combats quotidiens.