Selon l’AFP, Nicolas Sarkozy a laissé parler l’affectif ce jeudi soir à Marseille lors de la dernière grande fête de l’UMP avant le premier tour présidentiel, acceptant d’évoquer sa propre vulnérabilité et sa « souffrance » dans une campagne devenue, selon ses propres termes « épreuve de vérité ».
« Les insultes, les mensonges, j’en ai eu mon lot », a-t-il rappelé. « Je ne répondrai pas aux injures et aux insultes ». « Ce n’est pas digne de la fonction présidentielle et de la France ».
« Les polémiques hystériques ne m’intéressent pas ». « Quand des candidats n’ont pas d’idées, pas d’arguments, pas de convictions; quand ils ne croient en rien et ne travaillent pas, ils n’ont pas d’autre recours que l’insulte, le mensonge et l’insinuation », a-t-il affirmé.
Vous trouverez sur son site, dans les heures qui viennent, la vidéo de son discours.
Nous allons vivre des derniers jours éprouvants durant lesquels les passions vont se déchaîner. Essayons de nous souvenir, à chaque instant, que seuls les grands peuples méritent les grandes démocraties. Nous ne serons jamais une grande démocratie, si nous ne sommes pas aptes à nous comporter en grand peuple, par notre sérénité, notre sens élevé de la responsabilité, au moment du choix de notre futur Chef de l’Etat.
mais justement, cher Monsieur, c’est bien là la question et sa réponse est imposée par les criailleries qui ont caractérisée cette campagne et qui nous rabaissent collectivement.
Je l’ai souvent dit: Cette élection est notre dernière chance.
Et je ne sais pas si les Français vraiment en sont conscients.
S’ils le sont, et compte tenu de l’offre, ils doivent massivement donne leur voix au candidat le plus cohérent, pragmatique et moderne et en même temps global.
Et, effectivement, sans sympathie particulière pour NS force est de constater que c’est bien le seul qui s’impose.
Mais s’il est élu il ne pourra diriger et éviter un chaos que s’il dispose d’une forte majorité, non pas émotive comme ce fut le cas pour de Gaulle mais rationnelle!
C’est donc au fond le peuple français qui va être jugé là…
Un GRAND PEUPLE qui pourrait etre diriger par un grand homme politique qui n’a pas de peur d’assumer clairement en pleine camapgne qu’il est celui qui a mis en place de vote electornique .
le Grand peuple d’un homme transparent qui motive la mise en place d’un vote au nom d’economies de bouts de chandelles de papiers recyclables et d’une soi diasante necessite d’avoir les resultats dans le 5 minutes pour des mandats durant 5 ou 6 ans .
UN GRANDE DEMOCRATIE EN SOMME !!!!
Voilà, ça c’est le Sarko que l’on aime. Le bon, le ferme et le juste !
Il pourrait dans un western !
Très très bien dit : "Quand des candidats n’ont pas d’idées, pas d’arguments, pas de convictions; quand ils ne croient en rien et ne travaillent pas, ils n’ont pas d’autre recours que l’insulte, le mensonge et l’insinuation".
La France, en dépit de certains média, journaleux et de près de 20 ans de socialisme au pouvoir politique et de 40 ans de pouvoir culturel, intellectuel, ne peut se résoudre à tourner le dos à un tel homme d’Etat.
Vive la France, vive la République !
Allez les Bleus ! Sus aux Rouges-Caviardés et aux Orangistes !
Malheureusement, certains français savent se mobiliser contre les images déformées. Ils sont victimes de leurs sens. C’est pour cette raison qu’il faut être curieux de tout.
Nous avons besoin d’un chef de l’état qui nous connaisse, par nos forces et nos faiblesses et qui sache mener notre pays dans le monde complexe d’aujourd’hui sur le plan national et international, qu’il sache nous faire adhérer aux réformes nécessaires pour notre avenir et celui de nos enfants, qu’il projette la France dans l’avenir en nous décomplexant. Nous sommes un peuple qui ne juge pas que sur des critères simples d’argent, qui a des valeurs humanistes et une aspiration d’universalité de celles-ci. Nous devons retrouver nos valeurs, ne pas nous bloquer, toujours nous remettre en question, avancer dans le respect des hommes.
Nous n’avons pas besoin de manipulateurs d’images, nous n’avons pas besoin d’opportunistes politiques, ni d’extrémistes qui n’apparaissent qu’à la fin pour dire qu’il tout compris sans programme concret et viable. Nous ne devons pas non plus devenir le théâtre des idéologies des blocs disparus.
Il ne faut pas avoir peur.