Il est un test qui vaut, vraiment, pour ceux qui sont engagés dans la vie : c’est le jugement de ses pairs. C’est vrai dans les activités économiques privées. C’est vrai dans la politique. C’est aussi vrai dans la blogosphère. C’est pourquoi, je suis sensible, et sans doute un brin fiérot, de l’avis intitulé « les hommes politiques et les blogs » donné par Nicolas, VERSAC pour les bloggeurs, à propos du présent blog. Merci à l’auteur et au podcasteur qui est aussi un Nicolas ! Décidément, les Nicolas sont excellents !
Vous aller peut-être finir par nous croire.
Une fois de plus, comment ne pas approuver ?
BRAVO monsieur Barbier Voila les commentaires de Christophe Barbier sur son blog sur le canard enchaîné :
"Pan sur le bec!
Le Canard enchaîné raconte n’importe quoi… Voilà notre (d’habitude) sympathique volatile cancanant qui affirme que Loïc Le Meur, le blogger proche de l’UMP, a aidé L’Express à choisir sa Une sur Sarkozy. Quand Loïc Le Meur nous a rendu visite, le 11 janvier, L’Express était déjà en vente dans les kiosques! Nous lui avons simplement montré le raisonnement qui nous avait amenés à choisir la photo de Sarkozy "barbu", et il a trouvé ce making of intéressant.
Bien sûr, aucune personne étrangère à L’Express ne pèse sur sa ligne éditoriale ni ne décide quelle Une est réalisée. Mais bien sûr aussi, sont les bienvenus dans nos locaux tous les républicains qui veulent parler de la présidentielle.
Il est un peu inquiétant de voir le Canard enchaîné commettre de telles erreurs. Si ses informations sur le patrimoine de Ségolène Royal ou les fiches RG sont de même valeur, cela laisse pantois.
Enfin, il est difficile d’encaisser de telles accusations: le Canard allant jusqu’à se demander pourquoi Cécilia et Claude Guéant n’étaient pas invités à cette séance de choix! Nos lecteurs ont pu constater combien L’Express est aussi sévère avec Sarkozy qu’avec Royal.
Et si on accusait le Canard de s’être mis au service de François Mitterrand en 1981 et d’avoir reçu à l’époque des mains de Roland Dumas, les informations sur les diamants offerts par Bokassa au président Giscard d’Estaing?
Demain, c’est le 1er février, le jour des statistiques. Je pense que nous avons fait un bon mois de janvier où nous avons été particulièrement prolixe.
Je veux vous dire quelque chose : Il y a un an nous fêtions la 2 milième réaction http://www.alain-lambert-blog.or...
Aujourd’hui, que fêtons-nous ?
Votre blog, c’est un moyen pour vous tout autant que pour nous. Alors, j’en profite pour vous délivrer mon message du jour :
* La vrai plénitude ne se trouve pas tant dans des récompenses, mais dans la construction au quotidien, étape par étape. Il faut trouver la reconnaissance dans chaque petite avancée.
* Ses peurs, il ne faut pas les repousser et tomber dans l’inaction. Il faut se jetter dans l’action, ce que vous faites.
* La réussite complique la vie. Une fois que l’on a réussi, les gens mettent en vous plus d’espoir, plus de pression à la performance. La véritable performance, c’est d’être à la hauteur de ce que les gens attendent.
* Les réactions des autres ne sont souvent que le propre résultat de nos intentions. comme le dit Edgar Grospiron, ce grand gaillard champion de ski que j’apprécie beaucoup, "J’ai croisé le chemin de sportifs qui n’y croyaient pas eux-mêmes; ils répétaient, "c’est impossible !". Et à l’entraînement, ils faisaient tout pour que ce soit effectivement impossible … D’autres se disaient "on va essayer …" et je les voyais essayer, essayer, essayer sans jamais y arriver. Que croyez-vous que cela générait auprès de leurs entraîneurs ? Ils travaillaient sans conviction. Ils essayaient aussi, en se disant que de toute façon, ils n’y arriveraient que par miracle … Comment voulez-vous être vraiment impliqué et appliqué lorsque vous faites les choses en comptant sur les miracles ? Faire les choses, totalement immergé dans l’instant, en sachant que ma réussite se jouait là, à chaque seconde, dans chaque geste de chaque exercice, était ma recette."
Je sais que vous appliquez cela.
Lorsque l’on a juste un rêve, c’est une utopie, lorsque l’on a un rêve que l’on sait accessible, c’est une ambition.
Quand on rêve le monde, on change le monde.
Alors, les arbres montent au ciel.
A ce propose je vous invite à lire "Quand on reve le monde…" d’Edgar Grospiron, un livre incroyable.
A+,
Yvan