J’aime les arbres, la nature. J’ai eu la chance d’administrer, de 1989 à 2002, une magnifique ville : Alençon, au passé glorieux qui se lit sur les façades des maisons. Qui s’impose par la majesté, à l’architecture exceptionnelle, de ses édifices les plus emblématiques. Cependant je trouvais trop minérale. Aussi ai-je voulu l’arborer, la doter d’un décor végétal qui ajoute encore à sa beauté. Classant ce week-end mes archives électroniques, j’ai retrouvé le magnifique dossier récapitulatif qui m’a été offert au moment où j’ai quitté mes fonctions. 2.200 arbres en grosses tailles ont été plantés. Ils structurent l’espace, marquent une empreinte verte dans la cité et se bonifient avec le temps. J’exprime au service des espaces verts, et à son responsable M. Perrot, toute ma gratitude pour avoir mis en oeuvre cette politique en symbiose totale avec la volonté que je voulais imprimer, avec l’équipe municipale. C’est un message pour les générations futures, en forme d’invitation collective à préserver notre environnement et toujours inscrire la nature au coeur de la cité. Je suis heureux de pouvoir vous faire partager en cliquant ici le rapport détaillé. Attention, le temps de chargement peut être un peu long.
Une empreinte verte dans la cité.
J’aime les arbres. Durant la période où j’ai été Maire d’Alençon, de 1989 à 2002, 2.200 arbres en grosses tailles ont été plantés. Ils structurent l’espace, marquent une empreinte verte dans la cité et se bonifient avec le temps….
Je n’ai jamais eu l’occasion d’aller du coté d’Alençon, mais pour toute ville, une touche végétale est importante, et au vu du rapport, cela semble se confirmer sur ce cas précis.
C’est une des choses qui m’avait frappées (dans le bon sens) en arrivant à Dublin. Il n’y a rien de plus agréable, en ville, que de s’évader dans un petit parc et ne plus rien voir, entendre ni sentir du stress urbain. Si l’aspect détendu des irlandais est connu, j’en vois ici une des causes…