Que ses amis ne m’en veuillent pas, j’ai cédé à la tentation facile de vous poster ce dessin drôle de Delize, mais c’est sans méchanceté, car nous avons tous nos références dont nous craignons parfois qu’elles nous aient abandonnés !
Aujourd’hui, manque-t-il un chef au PS ?
©delize (Delize – dimanche 8 janvier 2006, 14h16
Delize, toujours aussi pertinent.
Tonton les a effectivement tous abandonnées à leur triste sort !
Le pèlerinage à Jarnac montre combien ils sont désemparés et se cherchent une identité, sinon un projet.
Le problème, c’est qu’ils soient socialos, cocos ou verts, ils sont naturellement très divers voir même à l’opposé les un des autres y compris dans chacune de leurs propres structures.
Le dernier congrès du Mans est édifiant.
Tonton était le seul, assez malin et même assez véreux, pour leur faire croire qu’ils avaient quelque chose à faire ensembles, mais à son profit.
La supercherie passée, il leur reste un grand vide.
Il y a effectivement un grand vide depuis son départ. Ce grand vide, c’est ce que nous avions, car le nuage sur lequel il semble être bien installé n’est-il pas formé de la fumée de notre argent ?
Tonton était un imposteur doublé d’une canaille… Comment peut on comparer ce triste monarque qui a présidé à l’abaissement de nos vies au général de Gaulle ?
La France va décidément très mal et elle a fialement les dirigeants qu’elle mérite… et, il faut bien le dire Miterrand avait quand même une autre envergure que notre pauvre Chirac. L’un est passé de l’extrême droite à la gauche la plus marxiste du Continent, l’autre se disait de droite, il va finir à la gauche de Besancenot au rythme où il va !
Ils étaient venus
Ils étaient tous là
Les socialos
Autour de Tonton
Ils ne peuvent faire l’union
qu’autour d’un mort !
Pathétiques, ils étaient!
Il pleuvait sur Jarnac
Comme il pleuvait
dans leurs esprits !
C’est pas la joie
au parti socialiste
quand on n’a pas d’idées.
Et la route du pélerinage
à Paris sur les traces
de Tonton !
L’idolâtrie !!!!!
Plus tontonmaniaque,
tu meurs !!!!!!!!!!!!!!!!!
Tout ça, c’est la faute à tonton François Mitterrand.
Voici ma réponse à Monsieur le député Christian Blanc a propos de la dette de la France, après lecture de son point de vue dans le monde / Partez, M. le Président / du 13.01.06
http://www.lemonde.fr/web/articl...
D’abord au sujet de la dette de la France. Le rapport Pébereau est consultable a cette adresse:
http://www.blogbilger.com/blogbi...
Extrait du rapport Pébereau.( Page 14 ) Entre 1980 et 2004, la dette publique financière en Euros constants a augmenté de 6 % par an en moyenne.
Entre 1978 et 1980 la dette était stable à 200 milliards d’Euros. En 1985 elle avait commencé son décollage à 332 milliards d’Euros.
Pour moi le vrai démarrage de la dette commence avec les nationalisations ratées , financées a crédit et voulues par F Mitterrand et ses illusions idéologiques économiques, après son élection en 1981.
La culture de la dépense publique est la caractéristique commune de tous les gouvernements qui se sont succédé ces dernières années, ( depuis 25 ans )
En effet, depuis 1981, on a assisté a une alternance de gouvernements successifs droite gauche avec une compétition au coude a coude 51/49 avec pour conséquence qu’il était suicidaire pour un gouvernement de droite de stopper cette élévation de la dette. Car cela signifiait un ralentissement économique et ouvrait un boulevard pour la gauche a l’élection suivante.
Il me semble avoir vu un énorme effort de tenté avec le premier gouvernement d’Alain Juppé après la première élection de Jacques Chirac.
Il me semble bien que c’est un front syndical sans précédent avec des grèves tout azimuts qui ont eu raison de cet effort de redressement des finances publiques. Apres cela, avec Jospin on a plombé encore plus la dette de la France et franchit le rubicon grace aux 35 heures.
Pour moi c’est cette course suicidaire gauche droite et l’attitude des syndicats qui sont les vrais responsables de cette situation. La gauche passant des mesures sociales, et la droite se heurtant sans arret a un mur syndical infranchissable au moment de faire les réformes nécessaires.
L’augmentation du nombre de fonctionnaires, la mise en place des 35 heures,
la retraite a 60 ans , voilà les trois mesures qui ont cause cette dette .
La tendance peut être enrayée si on ne tarde pas trop à prendre les mesures nécessaires, souligne le rapport.
Concernant un autre argument de votre Point de vue.
– Pourquoi n’a-t-on pas expliqué aux Français qu’à la fin des années 1970, notre PIB par tête dépassait de 25 % celui des Britanniques, et qu’aujourd’hui celui des Britanniques est supérieur de 10 % au nôtre ? –
La réponse est simple, l’Angleterre est membre de l’OPEP et a des revenus pétroliers considérables depuis 40 ans. Mme Tatcher en son temps a fait exploser le mur syndical et a fait basculer son pays dans un libéralisme ultra dynamique et très créateur d’emplois.
Chemin de fer privés etc etc (mesures impensables a prendre en France )
La situation de la France est bien plus à comparer a l’Allemagne ou bien à l’Italie, et là on voit bien que nous sommes comparables.
Alors pour plus de détails vous avez une réponse dans ce rapport :
http://www.cae.gouv.fr/lettres/C...
Avec un petit extrait :
. la moindre performance de l’Europe résulte d’une préférence collective des
Européens pour le loisir au détriment du travail,
• l’Europe souffre d’une insuffisance de la demande qui s’explique par des politiques
macroéconomiques durablement restrictives,
• selon la thèse dominante, le retard de croissance européenne tient à la combinaison
de l’inachèvement de l’intégration européenne et de l’insuffisance, au niveau
national, des réformes structurelles (celles notamment se rapportant au marché du
travail et au marché des biens et services)
• enfin, la dernière thèse avance que le problème n’est pas tant européen que celui
combiné de l’Allemagne, la France et l’Italie. Ceux-ci, contrairement aux petits pays plus performants, sont incapables de mener les réformes nécessaires
Cordialement
P Leclercq
politique2005.blogmilitan…
En réponse à P. Leclercq, un tout petit billet d’humeur (laquelle n’est pas mauvaise malgré tout) : la privatisation dez chemins de fer en Angleterre, oui, tout le monde en parle ici comme d’une panacée… toutefois, qui de ses encenseurs a vu ses effets collatéraux ? Ayant pris les trains d’outre-Manche, je peux juste dire que ce n’est pas brillant. L’entretien des voies ferrées laisse grandement à désirer, et la qualité du service… euh… quel service ? Je n’en ai vu aucun.
Voilà.