Pardon de prendre le risque d’une mauvaise interprétation, mais ce n’est pas un jeu de mot. Simplement une expression de notre langage commun qui s’adresse à tous ceux qui croiraient pouvoir impunément s’obstiner dans la violence.
Attention, il n’y a aucune issue, aucun espoir dans la voie qu’ils empruntent. Elle conduit au contraire tout droit dans l’abîme. Ce qui menace le plus dangereusement nos sociétés humaines c’est la violence réciproque. L’engrenage mortel des vengeances. Le dernier mot restera, quoi qu’il arrive, à l’ordre public qui sera rétabli, parce que le peuple le veut, l’attend et l’obtiendra, avec d’autant plus de puissance et de force que les actes de délinquance se multiplieront. Epargnons-nous ce bras de fer qui mène à l’échec et au désespoir.
Le calme revenu, le respect mutuel retrouvé, la remise en service de l’ascenseur social peut-être immédiate, par des gestes forts, fondés sur le travail et le mérite.
Que les auteurs de pulsions agressives ne s’y trompent pas : s’il fallait interroger aujourd’hui démocratiquement tous les Français sur les solutions à adopter, je crains que le mouvement à droite du balancier soit d’une brutalité que les sondages n’anticipent pas.
Oui, décidément, cessez de jouer avec le feu. Retrouvez les voies de la raison et du dialogue et pensez qu’à votre âge c’est vous qui dessinerez le monde de demain, selon vos idéaux. Gageons qu’ils seront pétris de paix, de tolérance et de fraternité.
Rome, dimanche 6 novembre 2005.
Pour le traitement de cette délinquance, je propose une méthode évidente qu’il serait souhaitable de creuser.
Elle s’apparente à la politique du carreau cassé, qui devrait s’appliquer aux jeunes délinquants.
Elle consiste à faire l’inventaire total du coût de toutes les dégradations, y compris les coûts induits, qui sont engendrés par les pouvoirs publics pour traiter le problème (forces de police, pompiers et tout service affecté à cette tache).
Je propose donc de repartir ce coût sur la tête de tous ceux qui se sont fait ou se feront arrêter dans ce cadre, d’ouvrir un compte à leur nom dans les livres du fisc, pour qu’ils puissent s’acquitter de leur dette envers la société en comptant les intérêts moratoires.
A charge pour eux ou à leurs parents de l’assumer.
Ils sont jeunes, c’est très bien, ils auront toute leur vie pour payer.
Si cela ne suffit pas et que la police est dépassée par la multiplicité des interventions, il suffit de décréter le couvre feu dans ces quartiers et de mettre l’armée pour le faire respecter.
la naïveté en l’espèce est la pire des attitudes; elle consiste notamment à prêter à ceux qui vous agressent (pour telle ou telle bonne ou mauvaise raison) des comportements comparables aux vôtres, rationnels si possible.
En fait elle est une sorte de string de notre pusillanimité
Car vous ne raisonnez pas le barbare; cela n’a jamais été. il se combat quand il se manifeste.
Autrement, les évènements suivent le cours romain.
L’homme est ainsi fait qu’il ne connait que les rapports de force, la volonté de dominer, de prendre. L’instinct du chasseur, du prédateur ne demande qu’à reprendre le dessus.
Et cela existera tant qu’il existera des rapports de type "civilisationnel", tant que l’Homme existera. Il n’est pas dit qu’il existera toujours…ou au moins tant qu’une gouvernance mondiale ne sera pas établie!
En l’occurrence et en plus ces barbares et leurs leaders n’ont aucune peine à nous envoyer à la figure nos propres exactions. Le faites ce que je dis et pas ce que je fais est la meimlleure ouverture qui soit à la violence. Et finalement à la déchéance.
Je comprends vos propos lénifiants mais je crains fort qu’ils n’entrent dans une logorrhée qui ne sera traduite de l’autre côté que comme expression de faiblesse.
Ce qui est fait est fait.Et si l’on se refuse à savoir qui est en face, et on n’ a pas cessé de le refuser, si on veut à tout prix l’habiller de nos mots, pensées, désirs etc. la catastrophe est garantie!
Quelle solution dans ce contexte? La facture de l’Histoire doit être règlée, je le crains. Et si nous ne voulons pas la payer (et compte tenu de nos turpitudes, ne pouvons pas la payer) alors il ne reste que l’affrontement dans un contexte de communication mondiale défavorable et de risques migratoires incontrôlables. Il est donc indispensable d’avoir la main lourde, très lourde. Car il y va d el’intérêt même de nos voisins. Sçont-ils prêts à nous soutenir? à laisser l’expérience française suivre son cours?
En sommes nous capables? quand on sait l’état réel de nos armées? de nos forces de sécurité? l’absence de toute "garde nationale"…
Je suis très frappé par l’attitude du Président de la République…qui n »est pas "the right man at the right place".Une tradition française!
Putain deux ans !
Pathétique intervention hier soir de Jacques Chirac. Muet depuis le début des événements, on ne sait plus si il se prend pour René Coty ou pour le secrétaire général de l’elysée. Franchement quelle idée que cette intervention nocturme sur le perron ? Un sommet de langue de bois. Et faite sous la pression de Nicolas Dupont Aignan ! C’est à la taille de ses ennemis que l’on mesure la grandeur des hommes.
Putain deux ans encore à attendre la salutaire redistribution des cartes. De quoi laisser le temps aux socilaistes de se réorgnaiser. Décidemment Chirac laissera la France dans un plus mauvais état que celui dans lequel il l’a trouvée, un comble après deux septennats de Mitterand.
Dommage qu’eucun responsable politique n’ait le courage de demander sa démission;
Eric Parisot
Adhérent UMP
si Hertoghe sur son blog lance un coup de gueule qui devrait être repris et sur le même ton par tous, Eric Dupin sur le sien fait une hypothèse qui se mixe avec d’autres: celle de l’opportunité pour les gangs de banlieue de menacer contre toute intrusion de l’ordre public dans des zones de non droit où ils sévissent et veulent prospérer et veulent une extension totale de ces "non droits" . J’ai appris que les trafics y représentaient des sommes vraiment …stupéfiantes! Je regrette de ne pas avoir relevé le chiffre mais j’en étais bien loin!
OUI,"Cessez de jouer avec le feu", vous aussi, Mesdames et Messieurs, qui gouvernez Droite -Gauche depuis TRENTE ANS : ce qui arrive depuis 12 jours- pourtant annoncé maintes fois par des observateurs attentifs aux REALITES – c’est l’expression violente de votre enfant commun !
Une seule solution, vous devez réparer ensemble votre faillite : c’est l’heure de constituer sollennement un Gouvernement de Salut public avec un programme " réformateur" sans dogmes, sans idées préconçues, angéliques ou scélérates , mais fondé sur le pragmatisme, sur ce qui marche, sur ce qui rétablira la citoyenneté dans ses DROITS et ses OBLIGATIONS sur le socle d’un nouveau pacte social à soumettre à référendum au Peuple de France.
Et puis, n’oubliez pas " que la personne humaine est la plus précieuse des richesses !"
Ce n’est certainement pas en moins de 2 ans ( jusqu’aux présidentielles ), en ces temps de grande disette budgétaire, que le PM de Villepin pourra sous les imprécations et ricannements de la gauche, remettre durablement de l’ordre de ce chef dans la Maison France. Et surtout, ne commencez pas par augmenter nos impôts pour faire payer les Francçais " une deuxième fois "….
Un Etat qui n’a pas un comportement qui appelle au respect ( ex : exiger le respect des devoirs en contre-partie des droits accordés de la part des immigrés et des nouveaux citoyens ) et dont les représentants n’ont pas eux-mêmes un comportement respectable ( ex : le refus du gouvernement de faire respecter le droit de grève à Marseille alors que la justice elle-même conclue à une grève illégale ) se met lui-même en position de cible. Si les Socialistes ont été " innocents " de mener une politique permissive et d’assitance, la Droite n’a pas pris les mesures de restaurer l’autorité de l’Etat. Comment se fait-il qu’une majorité largement élue sur un programme de réformes de fond ait " consommé" son mandat en effets d’annonce et et en réformes cosmétiques ?
M. CHIRAC n’est plus crédible et pire, refuse de prendre la dimension du problème, préférant une fois de plus gagner du temps.
Après cet homme qu’on tue à coups de poings en pleine rue, ces femmes qu’on extirpe de leurs voitures en les tirant par les cheveux, ces saccages en règle de tout ce qui fait le symbole de nos valeurs ( écoles, bâtiments publics, églises), on attend plus d’un Président que quelques mots servis aux médias sur un ton empesé ! Les gens qui vivent dans les quartiers où on a parqué ces minorités sont lâchement abandonées à la merci des lois imposées par les meneurs de ces minorités, lois qui n’ont rien à voir avec celles de notre République !
Le temps est venu de provoquer des élections générales et d’exiger que les élus mettent en oeuvre effectivement la politique sur laquelle ils auront été élus !
Vous avez encore bien raison et votre retenue est admirable. Il faut appeler au calme tous les jours mais aussi, en même temps, renforcer le dispositif de sécurité à mesure que la violence monte. Vous souligniez hier la « nécessité de marquer une fermeté inflexible de la puissance publique comme condition du rétablissement du dialogue. Et non l’inverse. » A moins de céder la place aux casseurs, il n’y a pas d’autre alternative que d’utiliser tous les moyens disponibles, et plus, pour enrayer au plus tôt le mouvement de rebellion.
Certains commencent à comprendre, mais c’est sans doute trop tard, et le virage à droite se verra lors des prochaines élections. Les français en ont MARRE de voir tout casser et brûler pour n’importe quelle raison.
Et les grands responsables sont les médias qui prennent un air de douce complaisance envers ces casseurs.
Mais quand, dans ce pays aura-t-on les yeux en face des trous, pour dénoncer ces attitudes irresponsables, ces dérives inqualifiables.
Est-il normal que des jeunes se promènent dans des endroits interdits et dangeureux, ils ne savent pas lire ? C’était peut-être pour récupérer le cuivre après tout !!!
Depuis quand, est-il logique qu’on fuit devant les forces de l’ordre ????
Quand comprendra-t-on que la nuit, les mineurs doivent être au lit et dormir.
On marche sur la tête ma parole !!!!
Et la façon dont sont présentés les faits ce sont les fuyards qui ont raison.
J’ai honte que dans ce pays, on arrive à brûler des voitures, incendier des écoles, des gymnases pendant plus de 10 jours consécutifs.
Assez de discours, de mots, il est temps d’agir, fermement et définitivement. Oui c’est une guerre civile, et tant pis pour la casse, le laxisme a assez duré. Le couvre feu est encore une méthode trop douce.
Même s’il faut mettre un black-out sur les médias, on n’a pas le choix vis-à-vis de gens qui veulent faire leur loi en dépit de tout, s’il sont prèt à tout qu’ils assument.
Quand la ruine est irrécupérable, on rase et on reconstruit.
Il y a malheureusement toute une éducation à refaire et elle ne se fera que par la manière directive.
Assez de ces manières à la soixante-huitard, de ces interdits d’interdire, le résultat on le paye au prix fort, et qui va payer les reconstructions des écoles, … ? ?
Qu’on ne me parle pas d’intégration, ceux qui prononce ce mot n’ont rien compris.
Ceux qui veulent s’intégrer n’ont pas besoin de lois ou de mesures pour. Les autres veulent garder leurs habitudes, leurs cultures, leurs traditions et que sais-je encore et alors le mot intégration n’a aucun sens.
Ca suffit, les contournements de loi, ces polygamies déguisées, ces rites interdits mais tolérés, ces subventions et autres allocations distribuées à tout vent à des gens qui ne sont là que pour profiter du système… J’exagère ??? Même pas !!
Faut être lucide de temps en temps, et arrêter de rêver.
Un lecteur-électeur qui a et aura de la mémoire.
En ce qui me concèrne, je ne pense pas que le martyr soit plus souhaitable que la guerre !
Je suis fatigué d’entendre les mots de prévention, tolérence, car ils ne peuvent être efficace qu’auprès de personnes qui ne les refusent pas et je suis lassé de payer pour des jeunes (ceux des troubles) qui dégradent. Comme on ne peut rien faire judicièrement, la plupart étant mineurs, je soutiens l’idée qu’il serait judicieux d’arréter de les subventionner. Vous allez dire que je fait du "racisme intellectuel", mais je pense que la plupart de ces casseurs (ou leur famille) touchant des allocations (de la prime de rentrée au RMI), il serait bon de les supprimer à toute famille dont le jeune est arrété lors de ces exactions. On subit et l’on paye, c’est un comble.
Une lecture toute fraiche d’un rapport de la Cour des Comptes (nov 2004) sur L’ACCUEIL DES IMMIGRANTS ET L’INTEGRATION DES POPULATIONS ISSUES DE L’IMMIGRATION.
Je lis la page 169. J’y trouve cette analyse lumineuse qui plaide plutôt bien pour le mélange social et ethnique :
«(La mixité) n’est pas un objectif en soi. (C’est) le moyen d’une politique qui serait celle d’une meilleure répartition (ou diffusion) des populations issues de l’immigration sur le territoire national.
Les quartiers en difficulté attirent des populations en difficulté. Le processus est cumulatif. L’école y participe à son tour par la carte scolaire en regroupant les élèves en difficulté. Les populations les plus exposées au chômage et les moins intégrées se retrouvent ainsi concentrées, au-delà de la diversité de leurs origines, sans repères ni références, et créent une sous-culture commune, où un sentiment de rébellion permanente et larvée constitue le seul ciment réel, notamment chez les jeunes.
Se développe ainsi sinon un phénomène, du moins un sentiment de « ghettoïsation » des populations issues de l’immigration qui lui-même favorise le développement de situations d’anarchie et de non-droit dans de véritables «cités interdites».
Or les conditions d’installation puis de vie de l’immigré sont fréquemment à l’origine d’une dégradation de son rapport avec le pays d’accueil et d’une baisse d’intensité de sa volonté et de sa capacité d’insertion. »
Qui peut nier que notre pays sait produire de telles merveilles ?
La violence de certaines réactions me conduit à ne pas les mettre en ligne et j’en assume pleinement la responsabilité. En effet, la radicalisation à droite que je pressentais hier soir se confirme. Mon but n’est pas d’alimenter la haine mais de la combattre, c’est pourquoi je souhaite en rester à l’idée de fermeté et de rétablissement préalable de l’ordre républicain avant tout autre geste de clémence ou de dialogue.
Un degré de censure est compréhensible.
Et votre position sur la situation est aussi honorable qu’une position modérée puisse l’être dans les circonstances actuelles.
Mais que l’on ne se pleigne quand même pas de ce que la droite se radicalise quand la racaille rase la France (avec l’assentiment implicite d’une partie de la gauche qui plus est) !
Les francophobes des banlieues se sont radicalisés les premiers, que je sache.
Sage décision, mais le mouvement de balancier que présentait Alain Lambert est sans doute plus fort qu’il ne pouvait l’imaginer. On peut saluer, comme beaucoup l’on fait aujourd’hui dans les médias, le sang-froid des policiers et des CRS, sang-froid qui a sans doute éviter d’autres drames. Médias qui par ailleurs ont changé l’angle de traitement des évènements s’apercevant, mais un peu tard, qu’ils avaient peut-être jeté de l’huile sur le feu. La violence est une impasse dont on ressort en marche arrière. Mesurera-t-on ce retour en arrière. Il faudra du courage à tous ceux qui auront la lourde charge de retisser les liens aujourd’hui coupés. Espérons que personne ne manquera à l’appel…
Sans doute est-ce la foi en le fait que l’ordre public reviendra toujours ui permet aux institutions de parfois faire preuve de cette arrogance dans les relations avec leurs usagers régulièrement dénoncée sous d’autres appellations que le term "violence", comme par exemple, le mépris dans les relations humaines avec l’administration en général, le rejet de toute différence au nom de la défense de la laïcité ou la lutte contre tous ces vérités d’au delà les pyrénées que l’on nomme désormais "communautarismes", jusqu’à l’exclusion d’autrui des établissements scolaire de ceux qui refusent de trahir ses convictions religieuses. Notez que de sérieux progrès ont été faits sur ce dernier point depuis l’époque où il était interdit de parler sa langue maternelle à l’école lorsque celle-ci n’était pas le français de monsieur Balzac.
Le vanté modèle d’intégration à la française a consisté, et on l’oublie, à s’imaginer qu’on pouvait acheter une ile à un état, coloniser ou annexer des régions, des comtés, des états et faire de leurs habitants de bons petits français prompts à aller se faire hacher menu pour défendre le bassin de la Seine en Sambre, à s’imaginer que nulle région française n’a d’histoire qu’on ne puisse assimiler à celle du royaume des francs ou des terres des capets, que le créole, l’occitan, le breton et le catalan pour ne citer qu’eux (en mettant de côté ces dialectes et patois plus discrets de régions qui choisirent invariablement, au nom de la paix d’être assimilés par le royaume, la république, ou l’empire française selon l’époque. Peut-on s’étonner qu’il n’en fût pas ainsi pour tous ceux qui composent la France de 2005. Peut-on à la fois parler de gloire passée (du "rôle positif de la colonisation") et d’intégration toujours librement consentie ?
L’unité de la Nation, bien affirmée par les textes, n’est pas un droit, mais un bien, et un bien collectif, c’est à dire, un élément de notre patrimoine et en aucun cas un dû, et encore moins un dû de la République, quoi que semble en penser les dirigeants de l’UMP. La France est, avant tout, un étrange héritage reçu d’un passé complexe résultat de circonstances, d’ambitions, d’espoirs, d’erreurs, de fautes, mais aussi de réussites. Ce n’est pas en idéalisant notre histoire ou en la réduisant à ses seuls épisodes exprimables en termes politiquement corrects qu’il sera possible de prétendre que cette histoire est une force.
Et je ne crois pas porter atteindre à l’honneur et au respect dû à mes concitoyens fonctionnaires de police que de dire qu’ils ne sont guère à même de retisser des liens sociaux brisés, tout en donnant effectivement aux citoyens et à leurs représentants locaux de décider et d’organiser l’acte publique locale nécessaire pour panser les blessures et soigner les accès de fièvre, avec ou sans le soutien de la force publique, les préfets connaissant ici leur rôle qui consiste à piloter concrètement un usage très contrôlé de la force selon la stratégie définie par les représentants locaux en accord avec leurs concitoyens, seuls et incontournables acteurs des paix sociales.
Il ne faut pas nécessairement voir de dérive droitière dans tous les propos tenus, mais seulement le constat de quelque chose d’inacceptable.
En effet, apres douze jours de défoulement, la racaille fait encore parler d’elle.
Voilà des populations, dont une partie agissante, vit de RMI, d’allocations familiales, d’allocation logement, de CMU, de trafic de drogue, de vol, …et bien d’autre chose !
Rien que par ce fait, ils coûtent déjà une fortune à la collectivité, sans parler des coûts faramineux de police, de justice, et de services sociaux, qu’ils induisent directement pour s’occuper de leurs affaires.
Sans oublier qu’en plus, ils constituent encore une charge supplémentaire pour le contribuable lorsqu’ils vont en prison.
Non contents d’être cette charge pour les contribuables, voilà maintenant qu’ils mettent le feu à 5000 voitures, des entreprises, des édifices publics !
Le coût de ces dégradations sera gigantesque.
Et qui va payer, sinon les contribuables ?
A gauche, on nous dit qu’il faut mettre un peu plus d’argent dans les écoles de ces quartiers !
Lesquelles ? Celles qu’ils ont fait brûler ? On croit rêver !
Il faudrait leur affecter des profs, à titre individuel peut être, pour qu’ils se sentent mieux considérés ?
Comme cela ne suffit pas, ils ne coûtent pas assez cher à la collectivité, qu’en plus il faudrait pratiquer de la discrimination positive, pour pénaliser les autres ? Mais on va où là ?
Dans les salons bien pensants, on serait même enclin à leur trouver des excuses !
S’ils ont des problèmes, ils en sont les meilleurs artisans.
De part leur comportement et leur mode de vie, ils s’isolent de la société.
Ils se regroupent dans des cites au départ « normales », qu’ils transforment en ghettos.
Si leur environnement est dégradé, c’est parce qu’ils l’ont dégradé eux-mêmes.
Ils le transforment et le modèlent à l’image de ce qu’ils sont.
Dans ces conditions, les gens « normaux » qui habitaient ces citées avant eux, quittent les lieux pour leur laisser la place, par exaspération.
Au bout d’une décennie ou deux, ils ont fait place nette, il ne reste plus qu’eux, et ceux qui n’ont pas eu les moyens de partir.
Borloo veut dilapider des dizaines de milliards d’Euros d’argent du contribuable pour leur payer des logements neuf, qu’ils pilleront inéluctablement comme ils l’ont toujours fait.
Quelques années après on en sera revenu au même point, à se demander pourquoi on en est là !
Compte tenu de ce qu’ils coûtent déjà à la société, c’est tout simplement scandaleux.
On nous parle de créer de la mixité sociale ! C’est une plaisanterie !
Mais qui voudrait vivre avec la racaille à sa porte ? Les avoir comme voisin ? Voir son environnement et la valeur de ses biens se dégrader rapidement, comme étant la conséquence de leur mode de vie.
Les gens « normaux » qui respectent les mêmes valeurs se regroupent naturellement ensembles, dans des régions, que la racaille n’a pas encore infesté.
Il est normal dans ces conditions, que certaines communes ne veuillent pas construire de logements dit « sociaux », pour ne pas prendre le risque de voir s’implanter certaines populations, qui pourraient pourrir leur environnement.
L’angélisme, la stupidité ou pire encore, des socialos-marxistes nous a conduit en deux décennies, à la situation que nous connaissons.
Certains sont tentés de critiquer l’action de Nicolas Sarkozy, qui tente de réparer leurs dégâts.
Il est vrai que le ridicule ne tue pas, et c’est heureux.
Si c’était le cas, ça ferait un carnage dans leurs rangs !
bonsoir.
Oui demain il faudra reprendre le travail ensemble. Les communautés spirituelles chrétiennes sont muettes. Dommage ? Je suis de ceux qui pensent qu’il faut punir lourdement les fauteurs de troubles mais il faut aussi tendre la main pas la joue. Deux personnes doivent partir : le président et aussi le premier ministre. La colère des jeunes aujourd’hui pourrait étre la colère des travailleurs du bas de l’échelle à qui on demande toujour +++++.
"Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits."
Les thèses sur les gens "normaux" et "anormaux" de Grefo n’ont rien à faire sur ce blog ni sur aucun autre blog républicain.
Nous devrions relire plus souvent cette constitution, tout y est.
Proposition éducative qui ne règlera pas les problèmes sociaux, mais rétablirait la responsabilisation :
Aujourd’hui, on arrête les jeunes délinquants, souvent mineurs, qui se retrouvent en garde-à-vue, au poste, dans la tristesse de la cellule, sans Playstation.
Pourquoi, après la nuit passée, ne pas aller chercher le responsable légal auxquels ces actes sont juridiquement imputables, le père, et s’il n’y en a pas, le grand frère, et lui faire passer la même garde-à-vue.
Il prendrait vite conscience de l’inconfort de la situation et se responsabiliserait vis-à-vis du comportement anti-républicain de son fils ou de son frère.
Ceci ne coûte pas très cher et risque d’être très efficace dès la seconde arrestation et avec un peu de chance, dès la première.
Il est fort à parier que l’autorité parentale peut être rétablie, l’idée de passer la nuit au poste de police devrait en décourager beaucoup.
Bien sûr, cela ne règle pas tous les problèmes, car il y en a bien d’autres, mais cette mesure devrait accroître l’efficience de la politique de sécurité publique sans nécessiter d’investissements lourds.
Emeutes en banlieue : trop de solutions ?
La France est à feu et à sang ma bonne dame et mon bon monsieur ! Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, certains incidents, assez graves parfois, ont eu lieu en banlieue parisienne et dans quelques villes de province. Les médias jouent leur rôle
Emeutes en banlieue : trop de solutions ?
Déjà, il faut avouer que plusieurs tendances se dessinent lorsque l’on parle des évènements : pro-sarkozy pro-jeunes-casseurs Ensuite, les solutions pour régler le(s) problème(s) se divisent en 2 catégories : renforcer la présence…