Alain Lambert, Président du Conseil général de l’Orne, vous présente ses meilleurs vœux pour l’année 2013 et invite chacun à donner le meilleur pour faire gagner l’Orne.
Pour visionner la carte de vœux numérique, c’est ici
La photo a été spécialement choisie par lui afin d’illustrer ce qui, selon lui, distingue l’Orne, un département vert, beau, élégant et authentique. On pourrait y ajouter chaleureux et humain.
Mon cher Alain.
Meilleurs voeux pour cette nouvelle année 2013.
Sincères félicitations de la haute distinction d’officier de la Légion d’Honneur.
Reconnaisance méritée de ton engagement et du service rendu à notre département.
Meilleurs voeux pour vous également d’une ornaise de coeur !
Meilleurs voeux, Cher Alain, depuis ce temps lointain qui nous vit essuyer nos culottes sur les mêmes bancs municipaux en cette bonne ville d’Alençon et porter des « Regards » innocemment pamphlétaires sur nos adversaires d’alors… Nos chemins nous ont éloignés, mais appartient-il à un chemin de décider du devenir des amitiés ? Mon souhait le plus ardent est donc que l’on se revoit en 2013, dussions-nous forcer un peu le destin. Avec mon indéfectible amitié.
Je vous présente mes meilleurs voeux Monsieur le Ministre Lambert.
Que 2013 vous soit douce et généreuse en joie, bonheur et santé à vous-même, votre famille et tous ceux que vous chérissez.
La force, l’engagement, l’expertise, la persévérance et l’humanisme représentent vos marqueurs politiques qui font étrangement défaut au regard des politiques de tout bord d’aujourd’hui.
Vous m’avez appris à aimer la politique. Au fil du temps, j’ai pris conscience que ce j’ai fondamentalement aimé, ce n’était pas tant la politique que le personnage politique que vous étiez. Fort de ses engagements, de ses convictions, de ses certitudes ou de ses doutes, de ses croyances ou de ses incrédulités, de sa foie ou de agnosticisme, plus qu’un politique, vous étes un expert en votre domaine budgétaire. Plus qu’un personnage publique, vous êtes un grand homme pudique, aimé et apprécié de beaucoup.
Enfin, prenez grand soin de vous M. le Ministre.
Fidèlement à vous.
omar
Cher Monsieur Lambert,
Voilà quelques temps que la vie m’a fait m’intéresser à vos prises de positions et aux interrogations que vous nous livrez, toujours gorgées de bon sens et de rappels de certains fondamentaux; qualités qui pourraient et qui devraient être monnaie courante dans le monde politique, cercle de communiquants (j’en profite pour saluer votre ligne directrice à toute épreuve).
Ma première surprise est de voir tous ces personnages, qui, se sachant sur le devant de la scène, et bien entendu conseillés pour les plus en vogues par une armada au sourire ultra bright, font des erreurs manifestes (tous bords confondus) de retournements de vestes, de maladresse dans leur discours (qu’ils aient torts ou raison sur le fond) qui feraient palir le moins futé des réfléchis, chose qui se retrouve malheureusement dans les actions menées qui font et qui défont sans cesse.
Y a t il selon vous une chance de voir un jour une succession de gouvernements qui opterait pour la continuité dans l’orientation fiscale, économique, éducative et la politique d’aide aux non actifs (qui ne devrait être aussi longue qu’aujourd’hui pour les moins de 30 ans à mon sens)?
Est ce en fin de compte un trop plein de démocratie où la masse-dont je fais partie- qui ne connaît pas assez les tenants et aboutissants de ce qui fait le succès global d’un pays, a son mot à dire au mauvais moment, selon des paramètres tellement fondés sur le paraître des chefs de files politiques ou sur leur vision du petit monde qui les entourent, non sur un sujet en particulier pour vérifier si la majorité est pour ou contre mais bien pour désigner après combat de coq celui qui aura droit de cuissage sur la France?
Une donnée à peu près sûre dans tout domaine est que la constance de l’action, si toutefois réfléchie et volontariste, reste la meilleure voie pour sortir d’un mauvais pas, je ne nous vois malheureusement pas aller dans ce sens…
Je nous souhaite à tous plus de cohérence sur les moyens d’arriver à un pays fort de la fierté de chacun de donner à notre nation un peu plus que ce qu’on lui prend et ne se reposer sur son voisin sous aucun prétexte, sauf cas de force majeur.
A vous, Monsieur Lambert, je vous souhaite d’insuffler aux jeunes classes politiques vos valeurs et le plus grand des bonheurs dans votre vie « civile ».