Donner de la visibilité à son entreprise ou à sa collectivité sur le web et les réseaux sociaux ne s’improvise pas. Cette délicate et passionnante mission est confiée à un professionnel : c’est le Community manager, incontestablement un métier d’avenir.
Avoir une page Facebook, ou un compte Twitter, c’est bien mais une stratégie « digitale »efficace doit être cohérente et c’est au community manager de s’en assurer.
L’Orne, territoire innovant et numérique par excellence est l’écrin idéal pour cette toute nouvelle et inédite formation de community manager en alternance. Je me réjouis profondément de cette initiative qui conjugue les deux leviers essentiels que sont le web et l’alternance.
Cette formation est mise en place par le CFA-3ifa d’Alençon qui offre ainsi aux étudiants la possibilité de travailler tout en percevant un salaire régulier et de bénéficier d’un accompagnement personnalisé pour optimiser ce parcours.
Cette formation est une victoire, une de plus pour l’Orne qui une fois encore, se démarque dans la compétition des territoires.C’est aussi un signal fort qui est adressé à notre jeunesse : chacun de vous a sa place dans la société et dans le monde professionnel. Notre territoire joue la carte du réalisme et de l’ambition en proposant des cursus d’excellence correspondant aux besoins des entreprises et débouchant sur un emploi. Il en va de l’attractivité et de la réussite de l’Orne alors, à vos claviers ! ! !
Merci Alain de ton article.
Nous accompagnons le CFA-3ifa dans son projet d’établissement très innovant qui repose sur les usages pédagogiques du Web et la montée en compétence numérique des enseignants, des apprentis et des étudiants : http://bit.ly/LzanmU
Cette formation en alternance vient compléter le dispositif. J’espère que des étudiants ornais et des entreprises saisiront cette occasion de développer leur influence dans le Web social.
Après l’expérimentation de cette année, nous montons en puissance l’an porchain en diffusant cette méthode dans tous les lieux d’enseignement du département intéressés : toutes les publications du projet sont placées sous licences libres Creative Commons.
Je suis pour le moins intéressé et sincèrement impressionné pour cette initiative de l’Orne s’agissant des travaux et formations des « Community manager ».
En effet, les réseaux sociaux (Facebook et Tweet pour les plus connus) peuvent apporter une incroyable valeur ajoutée ou se révéler la pire des plaie quand on n’en maîtrise pas les tenants et aboutissants de ces nouvelles technologies de communication.
J’envisage de partager cette information avec l’institution que je représente et votre soutien à cette institution, venant de la part du meilleur geek, tout parti politique confondu de la Vème république, ne fait que renforcer mon choix.
Par ailleurs, la précision de Xavier de Mazenod relatif aux publications du projet sous licences libres Creative Commons, représente à mon sens une incroyable évolution dans le partage de la connaissance ! Je suis absolument subjugué et à titre personnel, je tire mon chapeau au p’tit génie qui a pris cette initiative dans l’Orne.
En effet, « Creative commons defensive » convaincu, j’ai conscience que le libre et le gratuit ne sont pas forcément des voies de garage et que ce sont les services annexes et différents types de support qui permettent de soutenir un projet et de tirer un bénéfice parfaitement légitime des efforts et du travail fourni. L’intérêt ici est de s’appuyer sur un nouveau modèle économique qui s’appuie sur la transmission gratuite de la connaissance tout en pariant sur un retour d’investissement des plus importants demandeurs que sont les entreprises, les administrations et certaines institutions qui recherchent une certaine forme de perfection, voire une garantie, pour ne pas écrire une assurance.
C’est le modèle auquel j’adhère infiniment. Pour des raisons de principe entre autres. Je vous adore M. le Ministre parce qu’en matière de TIC et de NTIC, vous êtes systématiquement précurseur. Et vous savez parfaitement informer et appuyer des projets d’avenir.
Statistiquement, les publications creative commons ont au moins 15 fois plus de chance d’être diffusées par rapport aux publications soumises au droit d’auteur. Par conséquent, Le « community manager » Ornais deviendra d’ici peu une référence en matière de formation relative aux réseaux sociaux français, principalement, grâce à la licence creative Commons qui permet de s’affranchir des droits d’auteur restrictifs, imposés par les Etats, afin de libérer la diffusion des oeuvres. Les licences creative commons représentent à l’heure actuelle, la plus belle façon de diffuser la connaissance dans une société démocratique et républicaine (bien évidemment, vous ne trouverez pas de licences creative commons pour les oeuvres retraçant le mandat des 5 putains d’années de Nicolas Sarkozy, vu que le vaincu de 2012 aime par dessus tout le pognon et quelque part, il préfère nager dans le « flouss » que de diffuser sa biographie !). A mon sens, ce n’est pas plus mal vu que son mandat a été une fiasco ! Et puis la République ferait mieux d’oublier son mandat vu que le Hongrois au service des riches a été le premier président de la République française à embrasser les thèses racistes et xénophobes depuis l’évènement de la Vème république.
Enfin, sujet particulièrement médiatique de ce mardi 12 juin 2012, si Mme Trierweiler avait suivi la formation Community manager de l’Orne, peut-être que le PS aurait évité cette sale publicité et acquis à elle seule une majorité absolue à l’AN pour le second tour…
D’où l’importance de ce projet d’actualité. Et en tout état de cause, j’adhère sincèrement et continue à penser que l’Orne de M. le Ministre Lambert, représente le nec plus ultra en matière de TIC et NTIC. Du plus profond du coeur, l’Orne représente à mes yeux, l’exemple à suivre pour tous les département de France sans exception.
C’est M. Nicole, le directeur du CFA-3ifa qu’il faut féliciter. Quand nous lui avons proposé le projet il a tout de suite adhéré avec son équipe.
Effectivement, le « libre partage des savoirs » pourra permettre à d’autres CFA ou à d’autres établissements, comme les lycées agricoles par exemple, d’à leur tour apprendre la maîtrise des réseaux sociaux pour le bénéfice de leur activité et de celle de leurs étudiants-apprentis-élèves.