Photo en haut de la page 13 du Journal Valeurs actuelles de cette semaine,
Avec l’amicale autorisation de l’hebdomadaire.
Pour Merkel : tapez 1.
Pour Lambert : tapez 2.
Pour Sarkozy : tapez 3.
Photo en haut de la page 13 du Journal Valeurs actuelles de cette semaine,
Avec l’amicale autorisation de l’hebdomadaire.
Pour Merkel : tapez 1.
Pour Lambert : tapez 2.
Pour Sarkozy : tapez 3.
Sans aucun probleme je tape 3
Nicolas Sarkozy
Si j’ai plus de dix millions d’euros, je tape 3.
Sinon, je me démerde.
Je voterais 2: Lambert.
Alain Lambert a prouvé ses compétences en économie, son sens de la responsabilié, sa capacité à voir et à prendre en compte la réalité telle qu’elle est, son dynamisme, son pragmatisme.
Il a une réelle capacité à communiquer, il sait expliquer ses positions, il prend l’avis des citoyens . On ne peut rien réformer sans cet échange permanent avec les citoyens, car on a besoin de l’énergie de chacun et la confiance est un élément capital.
Nicolas Sarkosy fait preuve de beaucoup d’agitation, plus que de réelle efficacité. Il va dans tous les sens, dit tout et son contraire, ment sans cesse. Nous allons tout droit dans le précipice, mais, Nicolas, plutôt que de freiner et de tenter de rectifier le tir, il accélère le mouvement. J’ai bien peur que ce soit irréversible. Il fait preuve d’un cynisme rarement vu. Il prend surtout soin de ses propres intérêts et de ceux de son entourage plutôt que ceux de la nation.
J’aurais beaucoup plus confiance en Mme Merckel, qui est beaucoup plus posée, qui ne joue pas à Zoro, qui jusque là avait mieux maitrisé ses finances .
Nicolas Sarkosy est un très bon tacticien, il sait convaincre, mais il il nous vend du vent.
Je tape le 2 sans hésiter, car je sais que tu as des oursins dans les poches ! Pour Nicolas , plutôt confiance , à condition qu’il te nomme à nouveau ministre du budget !
C’est bien sur le 2 qu’il faut taper car on connait les intentions d’Alain Lambert en la matière et on a l’assurance qu’il les mettra en oeuvre. c
Sans aucun problème, je tape 2 Alain Lambert. Quand au vote précédent ci-dessus, je me demande si son auteur vit vraiment en France…
A Monsieur Lambert bien évidemment !!!! Je tape 2 !!!
Et s’il n’est pas disponible…A Mme Merkel. Dans ce cas, je tape 1. Mme Merkel est une grande dame.
Je tappe 123 dans le désordre… :
pour Merkel > une des meilleures dirigeantes d’Etat d’Europe, à l’aise sur les dossiers Européen mais aussi localement. Raisonnable, franche, humble.
A la fois Femme, divorcée et protestante à la tête d’un parti majoritairement masculin et catholique, conservatrice, première femme et plus jeune chancelière d’Allemagne, ayant grandi au Nord de Berlin, pro-américaine, fille d’un pasteur exerçant en Allemagne de l’Est, atypique ::: un mélange hallucinant, de vrais tours de force, des expériences fortes et croisées, rassemblant toutes les contradictions que l’Europe a en elle.
Rigoureuse et scientifique, très bon relationnel, avant d’être une fan de politique politicienne >> Grande Confiance !!!
pour Lambert le photographe > connait bien son petit monde, le domaine finance, sait de quoi il parle. Stable, fiable, sincère.. rassurant en ces temps incertains & déstabilisés !
pour Napoléon Sarkozy > pour son grain de folie & sa conviction que rien n’est jamais impossible.. de la tenacité et du mordant.. Trop de changements de cap parfois brutaux, trop instable… affirmer « Je ferai tout ce que mes prédécesseurs ont été incapables de faire » est à la fois osé, irréaliste, irrévérencieux, arrogant.. un placement très risqué, pas sûr de retrouver son capital à la fin !
Votre dévoué Charles Edouard Cyrus
Oui je dois préciser qu’en matiére d’économies, je me mise jamais tout sur le même "cheval"… Que le meilleur "cheval" gagne 🙂
Votre dévoué Charles Edouard Cyrus
Je tape deux aussi évidemment! Suffit de voir ce qu’il s’est passé sur Alençon pour s’en convaincre. Je partage aussi l’analyse de Monique : on garde Sarko pour aller convaincre mais AL lui dit ce qu’il doit dire!
Bah au moins on voit comment les français réagissent :
c’est pas glorieux, belle analyse en tout cas
http://www.delitsdopinion.com/1a...
Surtout pas à Alain Lambert quand nous constatons qu’il est aussi peu respectueux des lois de la République :
– Exonération du Ministère de l’Education nationale des pénalités infligées aux administrations qui n’embauchent pas suffisamment de personnes en situation de handicap comme les lois de 1987 et 2005 les y obligent.
– Ponction de 50 millions d’euros sur le budget de l’Agefiph qui a pour mission de gérer les fonds pour l’insertion professionnelle des personnes en situation de handicap dans le secteur privé.
Dans le contexte économique actuel et futur, ces fonds seront plus que jamais nécessaires pour aménager des postes et maintenir l’emploi des personnes en situation de handicap.
– Le non-respect du Décret n° 2002-1388 du 27 novembre 2002 relatif aux Conseils départementaux consultatifs des personnes handicapées.
Ce conseil n’a toujours pas été convoqué dans l’Orne en 2008 alors qu’il doit se réunir au moins deux fois par an selon le Décret.
Ce Conseil départemental consultatif des personnes handicapées (CDCPH) donne un avis et formule des propositions sur les orientations de la politique du handicap dans tous les domaines de la vie sociale, ainsi que sur les mesures à mettre en œuvre au plan local pour assurer la coordination des interventions de tous les partenaires institutionnels ou associatifs, notamment concernant :
– la scolarisation.
– l’intégration sociale et professionnelle.
– l’accessibilité.
– le logement, le transport, l’accès aux aides humaines et techniques, aux sports et loisirs, au tourisme et à la culture. Chaque Conseil départemental est chargé de réaliser un recensement du nombre de personnes handicapées résidant dans le département et de la nature de leur handicap
Gérard Doiteau
Ne pas mettre ses oeufs dans le même panier est sans doute une expression connue dans l’Orne ! donc :
1/3 pour le 1
1/3 pour le 2
1/3 pour le 3
convergencespolitiques.ov…
Alain Lambert est l’incarnation politique de la probité et du respect des valeurs sociétales et sociales les plus essentielles.
Cher monsieur Doiteau, sous couvert de sentimentalisme quelque peu démagogique, vous oubliez les plus élémentaires principes de l’orthodoxie budgétaire, sans lesquels il n’est pas de politique humaine possible à long terme (faute de quoi vos arrière arrière petits enfants paieront encore nos dettes). Je respecte la noble cause qui est la vôtre, mais je suis en revanche en total désaccord avec la manière dont vous la défendez. Il est en effet toujours plus aisé de pointer du doigt des choix difficiles mais nécessaires que de proposer soi-même des solutions.
Je n’ai pas vérifié les allégations que vous évoquez (mais vous comprendrez que je suis naturellement portée à être sceptique), pour autant je déplore le ton très partisan et politicien de votre billet qui ne fait guère avancer le débat.
Charlotte.
Je voterai pour Monsieur Lambert,sachant que notre dette s’alourdit dangereusement et que son remboursement mobilise tous nos efforts .C’est à lui que je fais confiance pour éviter tout dérapage .Je le remercie d’etre notre rempart!
S’il faut absolument choisir entre les 3 : Merkel sans aucun doute, car je n’ai pas (plus) confiance dans les hommes politiques français (même honorables comme M. Lambert) dont la parole est à géométrie excessivement variable, ce qui est logique puisqu’ils parlent bien trop sur les sujets sur lesquels ils n’ont qu’une prise limitée. Désolé !!!
Réponse au billet de Madame Charlotte
Je constate que vous défendez M. Alain Lambert avec conviction et c’est tout à votre honneur.
Ceci dit les arguments que vous avancez démontrent bien que vous ne connaissez pas les dossiers qui sont à la base de mes argumentations, mais reprenons les termes de votre message point par point.
Vous affirmez que « Alain Lambert est l’incarnation politique de la probité et du respect des valeurs sociétales et sociales les plus essentielles », permettez-moi de relativiser vos propos.
Pour moi le respect des valeurs ne se résume pas à des mots mais surtout ne doit pas se traduire par des actes opposés aux engagements.
L’exonération du Ministère de l’Education nationale est un excellent exemple du détournement de budget préalablement affecté à l’embauche de personnes en situation de handicap, Jacques Chirac avait qualifié, à l’époque, cette première manipulation du Sénat, de « filouteries ».
La ponction de 50 millions d’euros sur le budget de l’Agefiph, constitue un nouvel exemple de non-respect des engagements de l’État en matière budgétaire qui aura de lourdes conséquences sur l’emploi des personnes en situation de handicap.
Que le département de l’Orne ne respectait pas les textes sur le Conseil départemental consultatif des personnes handicapées, constitue également une entrave à la loi dont les dirigeants sont responsables.
Alors Madame, je vous en prie, ne venez pas me parler de « l’incarnation politique de la probité et du respect des valeurs sociétales et sociales les plus essentielles » et de l’orthodoxie budgétaire de M. Alain Lambert.
Je réfute totalement les termes que vous utilisez à mon égard quand vous m’accusez de faire du « sentimentalisme quelque peu démagogique ». Je demande tout simplement que les lois de la République soient appliquées.
Pour terminer sur ce sujet, chère Madame, que les budgets soient correctement utilisés et non détournés pour financer d’autres actions, qu’une véritable politique volontariste soit mise en place pour l’emploi des personnes en situation de handicap dans le secteur public et privé, n’est-ce pas faire avancer le débat ? De plus, cette démarche aurait pour avantage de limiter le nombre de personnes à la charge de la société et ainsi de diminuer concrètement les déficits budgétaires.
D’autre part, je m’étonne que M. de Balorre se déclare le candidat légitime à la succession d’Yves Deniaud. Cela signifie que tout a été verrouillé d’avance par de « petits arrangements »…
La déclaration de Bertrand Deniaud résume parfaitement la situation « je fais de la politique pour servir et pas pour avoir des postes ».
Au regard des derniers événements, je trouve fortement regrettable que les jeunes de l’UMP de l’Orne ne puissent pas s’exprimer plus librement alors qu’ils représentent l’avenir du parti.
Gérard Doiteau
M. Doiteau,
Vous seriez fort aimable de ne pas caricaturer sur ce blog les débats internes de l’UMP de l’Orne. Vous affirmez que "les jeunes de l’UMP ne peuvent pas s’exprimer plus librement alors qu’ils représentent l’avenir du parti". Il est trop facile de se plaindre d’un manque de lisibilité quand on se prive volontairement de tout levier d’action. Les jeunes ne sont pas mis en avant? Pourquoi alors les places de 3,4,5,6, 11 et 14 de la liste Le Picard aux dernières municipales à Alençon (liste inspirée par AL) étaient occupées par des jeunes (moins de 40 ans, en politique, c’est jeune), dont deux de moins de 24 ans? Lambert empêche-t-il les jeunes de se présenter aux élections internes? D’envoyer des communiqués dans la presse? De prendre rendez-vous avec lui pour parler de l’avenir? Il faut quoi pour faire plaisir? Nous réserver dès maintenant la place de Président du Conseil Général? Aujourd’hui, tous les jeunes du département en sont au même point : ils doivent faire leurs preuves. Il est temps d’arrêter ce petit jeu.
Barthélemy Foubert, 20 ans, RDJ Adjoint des Jeunes UMP – Orne.
Et si on formait un duo : 3+2 ??
"Vous seriez fort aimable de ne pas caricaturer sur ce blog": formule un peu prétentieuse!
«Oh la ! Chevalier fi ! S’en est trop… ». Si j’ai bien compris, c’est le message que vous avez voulu me faire passer Cher Monsieur Foubert.
Quelle fougue… ! Quelle attitude hautaine… ! Je suis vraiment très impressionné…
Vous avez la chance d’être jeune, mais à la lecture de votre réponse, j’ai l’impression d’être dans un autre siècle, où la promotion se faisait uniquement par l’ancienneté.
Vous êtes certes à bonne école pour avoir cette attitude, mais je ne suis pas aussi convaincu que tous les jeunes du département soient sur la même longueur d’onde que vous.
Il a y sur l’UMP de l’Orne une chape de plomb qu’il va bien falloir soulever coûte que coûte…
Gérard Doiteau