Lors de la primaire de la droite, avec tous les collègues qui soutenaient la candidature d’Alain Juppé dans l’Orne, nous avions invité Edouard Philippe à Alençon, plus exactement à Cerisé, chez notre ami Patrick Cousin. La soirée avait été très réussie et les amis qui soutenaient Bruno Lemaire nous avaient apporté fort gentiment leur aide. La nouvelle donne nous appelle à prendre nos responsabilités. C’est pourquoi je travaille du mieux que je peux auprès du notre Premier Ministre Edouard Philippe. Je souhaite sa réussite. Oh, je sais combien son parcours est jonché d’obstacles, pour ne pas dire de dangers mortels. Mais, il nous appartient aussi dans la vie d’accepter nos risques pour sortir des impasses dans lesquelles on nous a emmenés.
S’agissant des normes, je n’ai aucun doute sur sa volonté d’en finir avec cette logorrhée législative et réglementaire qui paralyse le Pays.
S’agissant des relations financières avec les collectivités locales, j’observe et participe avec attention aux travaux qui sont menés, notamment dans la mission qui vient d’être lancée. Mon optimisme est plus prudent, car l’appareil technocratique qui le forme est disproportionné par rapport aux élus. Comme il n’est guère dans ma nature d’être intimidé, j’entends bien exprimer mes convictions avec toutes leurs forces, et essayer de sortir de l’enlisement dans lequel on est. S’agissant des départements, je connais le sujet par cœur et je m’y sens à l’aise. C’est plus compliqué pour d’autres échelons.
Au congrès des départements de France, à Marseille, vendredi dernier Edouard Philippe a été fidèle à sa nature : sincère, et soucieux de trouver des solutions équilibrées. Je m’appliquerai à faire en sorte que le Conseil Départemental de l’Orne conserve les moyens de son action auprès des Ornaises et des Ornais.
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