Rendez-vous en cette fin de soirée à la Maison des internes à Alençon. Au programme, l’inauguration des aménagements extérieurs de cette résidence.
Cette visite officielle a été un moment simple et convivial, comme nous savons les vivre dans l’Orne. Elle marque une étape importante d’un projet qui nous est très cher, qu’il s’agisse des élus départementaux ou de mes équipes : accueillir des futurs médecins stagiaires en milieu hospitalier dans les meilleures conditions possibles.
Cette maison était une recommandation venant à la fois des médecins et des étudiants en médecine eux-mêmes. Le décor végétal des extérieurs en bord de Sarthe est une première étape avant d’aborder la décoration intérieure et l’aménagement des parties communes. Bravo au passage à nos équipes du Conseil Départemental, à Céline Joubin et toute son équipe.
Notre démarche s’inscrit dans une lutte acharnée contre les déserts médicaux. La santé n’est pas une compétence obligatoire du Conseil départemental, pourtant notre engagement en la matière est très fort.
La santé fait partie des priorités gravées dans notre stratégie pour l’Orne à l’horizon 2030. L’objectif de notre politique est clair : assurer, en lien avec l’ordre des médecins, un maillage médical optimal. L’implication du Conseil départemental porte également sur le dépistage des cancers. Il soutient, de même, le centre 15 et l’hélicoptère du SAMU.
Comme l’action publique est belle ! Concevoir un projet utile à tous, le voir prendre vie et grandir grâce aux talents et aux volontés rassemblées, observer nos concitoyens se l’approprier, lui donner un supplément d’âme… cela donne un sens à notre engagement public, à notre vie. Découvrir la Maison des Internes, ses aménagements extérieurs agrémentés du wifi est une vraie joie pour l’élu que je suis. Merci à ma Collègue Agnès Laigre d’avoir été présente.
Notre maison des internes est un symbole, un message à la génération des futurs médecins, celui de notre volonté d’innover, de nous démarquer dans la compétition des territoires, pour montrer que notre Conseil départemental, a de la ressource, qu’il a aussi un art de vivre en société. Notre institution est plus que bi-centenaire et nous en avons fait un incubateur, un laboratoire, une start-up territoriale. Face aux contraintes financières, à l’excès de normes, à la complexité et à la morosité, nous répondons par la créativité et l’agilité. Ensemble, nous avons une belle histoire à raconter. Elle commence par ces mots : « on l’a fait, parce que l’on ne savait pas que c’était impossible ».
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