La dépense publique est-elle un sujet grand public ? Pas sûr. Pourtant, elle nous concerne tous. Je le rappelle souvent : concrètement, ce sont 57% du fruit du travail des Français qui sont dépensés par la puissance publique. Cachant sournoisement qu’une partie de la facture est renvoyée à leurs enfants, incapables que nous sommes de les facturer en impôts sauf à déclencher une révolte fiscale. Chacun à notre niveau, chacun dans nos domaines, nous avons le devoir d’inverser nos comportements collectifs pour sortir de la spirale infernale de la dette.
J’ai voulu dans cet ouvrage « Déficits publics, la démocratie en danger » donner une photographie lisible de cette situation complexe de nos finances publiques. Ce samedi 26 octobre à Alençon, l’occasion m’a été offerte d’aller à la rencontre de nombreux lecteurs, amis, citoyens attentifs, soucieux de l’héritage qu’ils laisseront à leurs enfants. Un tout grand merci à eux pour ce témoignage responsable et bienveillant. Merci également à la Librairie le Passage qui m’a accueilli pour ce temps précieux de dédicace. Cette libraire est un exemple pour son universalité, elle est une chance pour une ville comme Alençon et pour l’Orne.
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