Dans sa chronique de cette semaine dans Marianne, Alain Rémond nous raconte son expédition dans l’Orne le soir du nouvel an. Il est drôle comme à son habitude. Mais je souffre un peu pour notre image. Il est vrai que la gare de Surdon, le soir, sous la pluie, dans le brouillard, peut parfois donner le début d’un sentiment d’un certain « isolement ». (Nous avons dans l’Orne le sens de l’euphémisme). N’étant pas en charge des transports ferroviaires, Dieu merci pour les finances du département, je ne me sens pas coupable mais en dette vis-à-vis d’un visiteur auquel il arrive la mésaventure que je vous recommande de lire. Afin qu’il se réconcilie avec l’Orne, pour autant qu’il en conserverait un mauvais souvenir, je l’invite à l’Hôtel du Département, un jour de son choix, non pas pour un réveillon mais pour un repas dont la qualité vaut, je le lui promets, le déplacement.
Alain Rémond, c’est quand vous voulez vous pouvez appeler le 02 33 81 60 00.
Bien cordialement à vous,
Alain Lambert
Président du Conseil général de l’Orne
Invitation personnelle à Alain Rémond chroniqueur à Marianne
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6 Commentaires
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Personne ne doute que vos repas soient exquis…
Pourquoi se priver tant que le contribuable paie (le couteau sous la gorge) ?
Je suis arrivée dans l’Orne un soir de pluie… Je n’en suis jamais partie. C’est un territoire qui ne laisse pas indifférent.
L’ex-députée Sylvia Bassot affirmait ne jamais prendre le train Paris-Granville sans couverture de survie…
@Patrice Guyot, cher monsieur, je paie mes dépenses de représentation sur mes deniers propres et personne ne m’en a jamais remercié, je prends donc votre commentaire comme un compliment et vous en remercie.
Il n’est pas très doué ce Mr, c’est tout. C’est un parisien, il ne faut pas grand chose pour les dérouter. Il faut juste ouvrir un peu ses yeux et surtout demander quand on ne sait pas, au lieu de rester devant la porte et d’attendre que le train reparte. Je suis née à surdon et j’habite à Paris, je me rends compte que les campagnanrds sont bien plus débrouillards que les Parisiens, sortis de leur ville ils sont perdus. Pourtant les pbs dans les transports parisiens c’est du récurrent…hihihi Et puis, qu’il vienne voir un peu notre belle gare de surdon, franchement il y a vraisment pire, heureusement qu’il ne s’est pas arrêté au Merlerault, parce que là il n’y a plus de gare mais le train s’arrête quand même des fois, pr que les gens de la campagne aient aussi le droit de prendre le train…
Bonjour,
Je ne comprends pas pourquoi vous ne publiez pas tous les commentaires. Quel est l’intérêt de faire un blog si vous ne publiez pas les remarques et avis des internautes.
Cdlt