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Ce 14 janvier, Alain Lambert, Président du Conseil général de l’Orne, a présenté ces voeux à la presse. Un rendez-vous habituel, simple et chaleureux pour détailler les grands projets 2013 qui seront menés au bénéfice de l’Orne et des Ornais, dans un contexte de ressources rares et d’incertitudes.

2013 sera l’année de tous les dangers financiers certes mais des mécanismes de prévention des risques ont été mis en place très tôt pour permettre au Département, institution de proximité, de ne pas augmenter les taux d’imposition pour la 17e année consécutive et d’inscrire 83M€ d’investissements au budget primitif, voté en décembre. De fait, l’ambition et la recherche de l’excellence seront bien au coeur de l’action du Conseil général qui concentrera ses efforts sur l’aménagement routier et numérique de notre territoire sans compter l’accompagnement de nos jeunes.

Comme de nombreux départements, l’Orne va devoir conduire sur du verglas, dans le brouillard. La maîtrise du véhicule, elle, passe par la sagesse, l’anticipation et la confiance retrouvée.

Déclarant 2013, année de la simplicité administrative, notre hôte, par ailleurs, Président de la Commission consultative d’évaluation des Normes, est plus que jamais déterminé à libérer les élus de l’éxcès de normes qui les étouffe au moment où toutes les collectivités locales sont mobilisées pour offrir aux ornaises et aux Ornais, de naissance et de coeur, le service public le plus performant et humain possible. La mission qui lui a été confiée, avec Jean-Claude Boulard, Maire du Mans s’inscrit pleinement dans cette dynamique.

Si l’avenir est parfois inquiétant, un regard lucide sur le passé devrait nous rassurer. La carte ci-dessus illustre de quelle belle manière l’Orne est désormais dotée d’infrastructures autoroutières qui irriguent notre beau territoire. Ces voies sont complétées par ce que le département fait sur l’axe Flers-Argentan et son initiative sur la RN12. Alain Lambert nous rappelle toujours que lorsqu’il est entré dans la vie publique nationale, il n’existait pas un seul kilomètre d’autoroute et qu’aujourd’hui, beaucoup de départements nous envieraient.