J’ai été nommé, par le Conseil des ministres de ce matin, Conseiller-Maître à la Cour des Comptes.
Depuis 1992, où élu au Sénat j’ai exercé successivement les fonctions de rapporteur spécial du budget de la justice (1992-1995), rapporteur général du budget (1995-1998), président de la commission des finances (1998-2002), puis de 2002 à 2004, comme ministre délégué au budget, ou, comme conseiller à la Présidence de la République (2004), enfin comme actuel Vice-président de la commission des finances du Sénat, j’ai consacré l’essentiel de ma vie publique aux finances de notre pays.
J’ai acquis aujourd’hui la conviction que la Cour des Comptes est, dans les circonstances présentes, l’Institution qui me permettra le mieux de poursuivre ma tâche. J’ai la chance d’y rejoindre le Premier Président Didier Migaud avec lequel j’ai eu, depuis 10 ans, l’honneur de bâtir notre nouvelle constitution financière, la LOLF (Loi Organique relative aux Lois de Finances) et d’en suivre, avec lui, la mise en œuvre notamment au cours de deux mandats conjoints de parlementaires en mission (de mars à septembre 2005 et d’avril à octobre 2006).
Aujourd’hui, dans cette nouvelle fonction, je pense pouvoir être utile. L’enjeu, devenu particulièrement urgent et déterminant pour l’avenir de la France, est celui du redressement des finances publiques.
Cette nouvelle fonction de magistrat étant incompatible avec un mandat parlementaire, mon mandat de Sénateur s’achève de droit ainsi que je viens d’en informer tous les Maires de l’Orne. Je me soumets, par évidence, dès cet instant, à l’obligation de réserve qui s’attache à cette fonction.
Monsieur le Sénateur,
Très heureuse pour vous de cette nomination. Félicitations. Je me demandai toujours quand notre Président de la République allait faire quelque chose pour mettre en avant vos talents. Un seul regret peut être : serez-vous toujours aussi libre pour ce blog ?
Bien à vous
Monsieur le Sénateur,
En la circonstance des félicitations s’imposent.
Je vous prie donc de bien vouloir accepter les miennes.
Mais une question me brûle les lèvres :
Cette nomination, avec l’obligation de réserve -comme vous le précisez- s’attachant à cette fonction, n’est-elle pas une façon habile du château pour vous contraindre désormais à vous taire ?
Bravo ! Nul doute que votre place n’est plus aux côtés des courtisans.
Cher Alain,
Je te félicite sincèrement pour ta nomination en qualité de Conseiller-Maître à la Cour des Comptes.
Dans la situation très difficile de nos finances publiques, la présence d’un spécialiste courageux et compétent tel que toi sera un atout pour notre pays.
Je suis heureux que ce grand corps de l’Etat bénéficie désormais de ta connaissance en profondeur de nos organes publics, et de ta rigueur dans l’analyse de leur gestion.
Mesurant l’importance que revêt pour toi et pour tous nos collègues cette nouvelle mission, je tiens à t’assurer de toute mon amitié.
chaleureuses félicitations depuis montluçon !!!
curieuse idée que de laisser ainsi au milieu du gué les électeurs,
de les quitter pour une nouvelle fonction, si honorable soit-elle…
vous serez tenu au devoir de réserve…c’est peut être cela l’objectif!
quel est la limite d’âge pour cette haute fonction?
Et voila, une voix dissonnante à l’UMP qui est éteinte sous les dorures
Félicitations pour cette entrée méritée dans un des grand corps de l’État!
Y a-t-il, par ailleurs, tant à craindre du devoir de réserve? L’article L. 120-4 du Code des juridictions financières ne paraît pas si rigoureux. La seule exigence véritablement impérieuse est le respect du secret des délibérations (art. L.120-3, CJF).
L’indépendance et la liberté de paroles des membres de la Cour sont d’autant plus importantes qu’ils sont inamovibles (art L.120-1, CJF). C’est ainsi que vos nouveaux collègues Jean-Louis Bourlanges et Olivier Ferrand, par exemple, sont particulièrement présents dans le débat public.
Bien à vous.
Monsieur le Ministre,
Mon nom ne vous dira rien directement. Mais j’ai été nommé Conseiller-maître à la Cour des comptes par décision du même jour. Permettez-moi de vous adresser mes plus vives félicitations.
Cordialement.
Charles AZERAD
Bonsoir,
Toutes mes félicitations Mr le Ministre, vous saurez servir notre pays.
Nombreux ornais s’interrogent sur votre fonction de Pdt du CG61 ? Qu en est il ? Pourrez vous, souhaitez vous continuer votre action auprès du conseil général?
Cordialement
Cher Alain,
Je te félicite très chaleureusement pour cette nomination;je sais combien le redressement des comptes publics te tient à coeur.Tu seras,j’en suis sûre,très utile à notre pays,au sein de la cour des comptes.
Je voudrai souligner ta grande efficacité au cours de tes mandats parlementaires,ainsi que ton souci permanent de travailler au service de notre département de l’Orne.
Tous mes voeux t’accompagent,
Amitiés.
Brigitte
Je vous félicite pour votre nomination de Conseiller-Maître à la Cour des Comptes.
Tous mes voeux vous accompagnent pour cette nouvelle fonction.
Cher ami, et maintenant monsieur le Conseiller,
toutes mes félicitations ! Je trouve remarquable que cette grande maison qu’est la Cour des comptes vous accueille, après votre ami Didier Migaud avec qui vous avez lancé cette grande réforme du budget. Je me souviens de cette carte de voeux que vous m’aviez envoyée après votre arrivée à Bercy, représentant cette célèbre lettre de Turgot au Roi pour l’inviter à se montrer plus raisonnable dans la dépense publique. C’est un homme comme vous, de votre compétence et de votre droiture, dont notre Pays a grand besoin. Très cordialement, JD Errard
Cher Alain, toutes nos félicitations et tous nos voeux pour cette nouvelle responsabilité.
Amitiés de nous deux.
Félicitations Alain, bonne continuation !
Monsieur le ministre,
Je suis partagé entre le sentiment de regret et celui de joie.
Regret d’abord de vous voir quitter votre poste de sénateur de l’Orne pour lequel vous avez énormément oeuvré et qui nous a tant apporté dans l’Orne. Une page se tourne.
Joie ensuite car tous ceux qui vous connaissent savent combien le redressement des finances publiques vous tient à coeur et vous saurez sans nul doute accomplir votre fonction avec courage.
Ne regrettez vous tout de même pas la présidence de cette prestigieuse « assemblée »?
Sincères félicitations
Toutes mes félicitations ! C’est une bonne nouvelle pour notre pays.
Merci à tous, du fond du cœur, de compliments amicaux et chaleureux que vous avez bien voulu m’exprimer. Ils me touchent profondément. Malheureusement le temps me manque pour vous répondre individuellement. Sachez que je n’oublierai jamais la chance qui a été la mienne de pouvoir vivre un engagement national aussi intense durant 18 ans. Imparfaitement, mais de toutes mes forces, je me suis appliqué inlassablement à essayer d’orienter nos finances publiques vers leur assainissement. Obsédé que je suis de transmettre aux générations suivantes un Pays en état de marche et capable de relever les défis de son avenir. Au plan Ornais, je me suis fixé l’excellence comme signature. Là encore, tout n’est pas parfait, mais cela faisait, je le crois sincèrement, tout de même longtemps, que l’Orne n’avait pas autant existé à Paris. Rien n’aurait pu se faire sans votre aide et vos encouragements. Je suis impatient de prendre mes nouvelles fonctions. Une nouvelle vie à 64 ans est un privilège rare et je suis infiniment reconnaissant à ceux qui me l’ont permis. Fidèlement. AL.
TOUTES mes félicitations ; j’ai appris la bonne nouvelle, hier, par le Figaro.
Bien amicalement.
jp BOUL;
Mr Lambert,
Permettez à mon tour de vous adresser mes très sincères félicitations pour cette nomination qui, une fois de plus grâce à vous, fait briller notre département à Paris.
Bon courage à vous !
LT
Félicitation Monsieur le Ministre !
Je suis heureux et particulièrement fier de votre nomination de conseiller-maître à la Cour des comptes et je ne doute pas un seul instant que vous ferez un magnifique boulot comme à votre habitude.
Je vous envie cette occasion de collaborer à nouveau avec votre vieux compère Didier Migaud avec lequel vous avez apporté la fameuse LOLF et je suis satisfait de constater que parfois le destin de certains hommes se croise quand ceux-ci savent s’apprécier mutuellement en sachant travailler en excellente harmonie.
La réputation de respect mutuel et d’amitié fidèle qui vous rapproche tout deux malgré vos appartenances à des partis politiques opposés méritent d’être soulignée car il est à la preuve s’il en était que des hommes et ténors politiques peuvent savoir s’apprécier, collaborer et peut-être même tisser de forts liens d’amitié quand leurs convictions profondes convergent, parce qu’elles tendent finalement vers l’intérêt supérieur de la Nation.
Je suis néanmoins conscient du devoir de réserve que cette nouvelle charge vous impose mais Monsieur le Ministre, je pense qu’il y’a un temps pour tout. Vous avez été Sénateur, vous avez eu la charge de la Présidence de la Commission des Finances du Sénat, Vous avez été Maire d’Alençon, Ministre du Gouvernement Raffarin, Vous êtes actuellement Président du Conseil Général de l’Orne et aujourd’hui, vous êtes nommé Conseiller-Maître à la Cour des Comptes. Hé bien, j’estime qu’il y’a un temps pour tout et que votre expérience des responsabilités et de la Vie politique de France font de vous un des nouveaux Conseillers-Maîtres de la Cour des Comptes d’envergure nationale et respecté unanimement pour vos états de services, votre impressionnante compétence et votre forte personnalité. Et même si chacune de vos charges et responsabilités vont ont imposés le même devoir de réserve que je respectais tout autant jadis… Cela ne vous a pourtant jamais empêché d’avoir votre propre liberté d’opinion. Et c’est fondamentalement ce que je respecte en vous. Simplement, vous la tairez désormais… Parce que votre charge vous l’impose à nouveau.
Enfin Monsieur le Ministre, je vous connais un peu car depuis des années, je vous écoute, je vous approuve souvent et je respecte infiniment vos compétences mais au-delà de ça, je pense avoir beaucoup appris de vos prises de position et même si votre devoir de réserve vous impose la discrétion politique aujourd’hui, je tenterai toujours de devinez vos opinions car la relation existante entre un politique et le citoyen qui se sent représenté par lui n’est-il pas justement de nature à pérenniser ce lien indicible de conviction commune d’avenir de notre société ?
Vous êtes mon politique préféré et cela, Monsieur le Ministre, personne ne me l’enlèvera.
Enfin, que dire… Prenez bien soin de vous et que Dieu vous garde.
Amitiés fidèles.
omar
Monsieur le Ministre,
Je vous présente toutes mes félicitations pour votre nomination de Conseiller-Maître à la Cour des Comptes.
Bonne chance et bon courage dans cette fonction.
Monsieur le Ministre,
Toutes mes félicitations pour cette nomination. Cela va vous permettre de continuer votre travail d’assainissement des finances publiques de la France.
Bon courage dans vos nouvelles fonctions
Cordialement
Vous ne répondrez pas bien évidemment à ma première question – posée ici à l’annonce de votre nomination – mais peut-être apporterez-vous une réponse, dans l’intérêt général, à cette deuxième question :
En quoi consiste précisément le rôle d’un Conseiller-Maître à la Cour des Comptes ?
Monsieur le Sénateur,
Bravo pour cette nomination.
Tous mes voeux sincères de pleines réussites dans votre nouvelle fonction de Magistrat à la Cour des Comptes.
Bien à vous,
John Moisant
Cher Confrère, Monsieur le Ministre et maintenant Monsieur le Conseiller,
Félicitations pour votre nomination.Je connais ce que vous avez fait pour le notariat, je connais vos interventions et vos déclarations courageuses vis à vis du gouvernement. Puisque tel est votre choix et telle est votre conviction d’oeuvrer pour notre pays à travers cette nouvelle fonction, je vous souhaite bon vent pour trouver les moyens d’imposer un redressement de nos finances publiques.
Sentiments les meilleurs.
Respectueusement,
Gilbert COUËDRO, notaire honoraire,CHATEAUGIRON (35)Trésorier de l’ANNOR.