Une anthologie du jazz pour Le Monde, une bibliothèque idéale, signée jean d’Ormesson pour le Figaro. Un régal culturel et de douces soirées en perspective ! Nos quotidiens débordent d’imagination et d’idées pour nous séduire, nous, les durs de la feuille, les intoxiqués de la souris et du web 2.0 ! Encore plus astucieux, ces suppléments d’âme, de mots et de notes sont proposés le jeudi et le vendredi ! Personnellement, j’adore les nouveautés et, me connaissant, ces petits bijoux vont accompagner mes fins de semaine studieuses, entre blog, repassage et brunch!
Je me réjouis, déjà, de déposer une précieuse galette dans mon lecteur de CD, puis de chausser mes lunettes pour découvrir la rafale, que dis-je la salve, l’ouragan de messages électroniques reçus quotidiennement.
Peut-être me laissera-t-on savourer les préfaces de l’excellent Jean d’Ormesson ? A mon avis, c’est un élément indispensable de ma formation continue, tout comme la lecture assidue de ces merveilles que sont les magazines gastronomiques! Une inépuisable source de poésie !
De quoi trousser un billet velouté et aérien…
Cuisiner, se promener, s’émerveiller de la lumière fauve, de ce parfum d’herbes coupées et de pommes qui annoncent l’espiègle printemps ornais, laisser vagabonder ses pensées, respirer! Des gestes simples, délicieux. Des actes fondateurs qui promettent, dans le travail, la plus belle efficacité![/fusion_builder_column][/fusion_builder_row][/fusion_builder_container]
De la culture , de la poésie , des saveurs gourmandes , de l’ humour et bien d’autres choses encore que je devine chez VERONIQUE…. mais qu’est ce que tu attends pour aller draguer dans l’Orne , le prochain W.E. ?
T’as vu ta tête ? regarde ton compteur …. Casse toi pauv’ c…..
Vous avez bien raison, cela fait du bien, beaucoup de bien, d’avoir un peu l’humeur badine.
Mais aujourd’hui, 10 mars 2009, j’ai quelques difficultés à laisser vagabonder sereinement mes pensées.
Il y a 50 ANS, jour pour jour le peuple tibétain entamait sa révolte contre l’oppression de nos chers, nos aimables, nos souriants, nos tendres amis chinois.
Mais cela intéresse qui ?