Notre hôte est un fan immodéré de plage, de sport, d’activités multiples qui ensoleillent toujours nos vacances. Nous ne pouvons résister à la moquerie de vous dévoiler sa passion des vacances à la mer : l’ordinateur ! Avec évidemment téléphone portable, fax, imprimante, scanner et autres outils tropicaux à portée de mains. Ses petits enfants sont pourtant venus lui chatouiller le dessous des pieds pour le désincarcérer. Sans succès immédiat. Mais, même à 10.000 kilomètres, qui, selon vous, se situe au bout des mails ? …. Nous ! Nous sommes les victimes collatérales de ses vacances. Au moins, au Sénat, nous pouvons lui coller des rendez-vous ou l’envoyer en réunion ! Les élections, ce n’est pas mal non plus !
Non, Corine, vous n’êtes pas victime, ou alors vous êtes victime volontaires. Vous devez apprendre à dire non, même à votre patron bien aimé, sinon vous vous ferez manger.
Bon courage !
Lui dire non le fera évoluer et vous protégera des abus.
Bon courage. Tenez bon !
NDLR : OK, mais c’était dans la rubrique « humour » !
Je trouve en effet qu’il a les pattes pas très bronzées! Je crois en fait ,qu’il est vraiment victime d’une addiction sévère aux TIC ! Ma pauvre Corine je crois que cela va être dur de le désintoxiquer ! On va vérifier si les Singapourais (?) nous l’on renvoyé en bon état dans l’Orne pour affronter les prochaines étapes!
Jambes blanches certes , mais un mollet qui a quelques kms de campagnes… Les victoires se forgent à la force des mollets …. c’est bien connue … A bientôt … Il y a encore des campagnes en vue …
Corine, j’ai adoré votre humour! Bravo!!!
A mon avis, il n’est pas irrécupérable car il a très-très envie d’y retourner chez nos SingapourIENS (pour Marie-No), c’est un grand progrès. Il restera à lui faire lâcher ses joujoux électroniques et numériques … que j’envisage de remplacer par les derniers gadgets culinaires et ménagers du téléshopping.
Bien parlé, Catherine, félicitations!
s’il a trop de fonctions, qu’il en réduise le nombre…qui trop embrasse mal étreint!
CORINE : en nous montrant
l’autre jour les petits enfants chatouillant les pieds de leur illustre grand père à Saingapour cela m’a fait penser au poème écrit par une cousine ex animatrice de culture bretonne sur les ondes de Bretagne et que je viens de retrouver.Il s’agissait d’un hommage rendu à un paysan du Léon , son père et que j’ai un peu connu . Bien entendu les rimes sont en breton mais je vous propose la version francisée :
Les mains de mon père
Les larmes me viennent aux yeux
quand je pense aux mains de mon père
des mains de paysan
rousses et crevassées
comme la terre quand elle se fissure
sous l’âpre vent du nord
Elles étaient larges comme des battoirs
déformées par les rudes travaux
mais lorsqu’elles nous coupaient le pain
comme celles de prêtre à l’offertoire
les mains de mon père versaient des grâces.
( En hommage aux travailleurs manuels qui lisent ce blog.)
@ Yffic31 : merci pour la traduction de ce petit poème !