« 7,1% : c’est le taux de couverture des échanges extérieurs de la Guadeloupe ! »
Nous vous proposons de réagir à ce chiffre ainsi qu’au contenu de l’article. Quel est votre sentiment ? Quelles vont être les conséquences du plan Sarkozy lorsque l’on apprend qu’il « équivaut presque à quatre ans d’exportations » ?
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7,1% ou 71% ????
7,1% en effet : merci Michel.
a mon avis il faur leur donner leur independance !!! l’assitance permanente que les citoyens de metropole apportent ‘ coute tres cher !!!il est temps qu’eux aussi se remettent a travailler ce n’est pas en jouant les apres midi aux dominos qu’ ils pourront s’ en sortir!!certes tous sont pas comme ca !!! ils sont pris dans un engrenage syndicale !!cela va faire pourrir les bananes!!!! les acheteurs de ces bananes vont acheter ce produit ailleurs !on peut conclure encore que c est ‘une manoeuvre de la gauche!!! cette greve par derriere.j!!e pense avoir fait quelques erreurs de francais, pardonnez moi !je livre a chaud mon sentiment personnel!! michel
La situation en Guadeloupe résulte en grande partie de la position du MEDEF et de la CGPME, les entreprises représentées par ces organismes sont à l’origine de la crise en s’octroyant des marges inadmissibles.
La population des départements d’outre-mer est obligée de supporter des situations de position dominante, des ententes sur les tarifs des acteurs du fret, des prix exorbitants…
Pendant ce temps-là, une prime de 40 % est versée à tous les fonctionnaires travaillant en Guadeloupe et en Martinique, alors que nos dirigeants placent leurs amis à la tête de banques françaises. L’État n’applique même pas les lois sur le respect de la concurrence et verse même des aides qui alimentent les marges.
Aujourd’hui, l’État et ses dirigeants sont complices de ces pratiques douteuses, de plus, ils ne font guère preuve de volontarisme pour rétablir la situation.
Ce qui se passe dans ces départements d’outre-mer, pourrait bien se produire en France si la crise continue à s’accentuer et si nos dirigeants politiques n’ont pas plus le souci de l’intérêt collectif.
L’État doit impérativement rétablir la confiance pour que l’économie puisse redémarrer, pour que cette situation puisse se concrétiser il faut que nous dirigeants politiques soient en mesure de donner l’exemple.
La moralisation du capitalisme est effectivement une belle déclaration d’intention, mais sa mise en œuvre n’est possible qu’en appliquant une totale transparence sur toutes les transactions commerciales afin de rendre possible la décomposition des marges et des prix.
Sans la transparence, tous les abus sont possibles, nous en subissons aujourd’hui douloureusement les effets.
Gérard Doiteau
Adhérent UMP
etsinousaussi.typepad.fr/…
tout a fait d’accord avec gerard en ce qui concerne la prime de 40%allouee aux fonctionaires de la guadeloupe et de la martininique, c est vrai que c’est une injustice par rapport a certaines familles !!mais chez nous en metropole !! il y a pire!!!!
Vu hier sur la Cinq « C dans l’air » une émission très instructive sur l’histoire et les problèmes actuels des DOM:
– Quand l’esclavage a été aboli, les ex-esclaves sont devenus prolétaires alors que les békés possédaient tout, ces inégalités perdurent en grande partie.
– Des monopoles privés se sont constitués dans certains secteurs, l’Etat a fermé les yeux au lieu d’imposer un minimum de concurrence.
– Les DOM font partie de l’UE et à ce titre reçoivent des subventions de l’Europe mais sont soumis à ses normes contraignantes. L’intégration économique dans leur zone géographique s’en trouve compromise. Impossibilité par exemple d’importer certains matériels de pays voisins qui ne respectent pas ces normes.
– En conséquence, la plupart des échanges se font uniquement avec la métropole à grand frais.
– Les familles d’esclaves étaient organisées autour de la mère car les enfants lui étaient attachés sans que l’identité du père ne soit inscrite. Ce fait culturel est encore prégnant et poserait problème.
Quelques éléments de contexte qui expliquent le déséquilibre économique des DOM dans leur actuel statut. Qui peuvent aider à comprendre aussi que la métropole n’a pas su faire autrement que de procéder de diverses manières à des transferts importants au bénéfice de ces îles.
Il va bien falloir imaginer autre chose, pas facile !
oh ce sujet me parait bien tardif…
deux questions.
A La Réunion, autre confetti de 50km sur 70 env il y a 750.000 Habitants. Et Paul Vergés le trés capitalo_communiste Président de Région ne cesse de dire que ce dynamisme procréatif dont il flatte la population, donc en l’encourageant à faire mieux, permettra d’atteindre soius peu 1 million sans compter les réunionais en métropole…Je ne vous dis pas sur cette île volcanique toutes les couteuses infrastructures que ces centaines de milliers de pipèdes exigent notamment pour leur nombreuses voitures…Que pensez vous?
ALa Réunion voilà 160 ans que les esclaves affranchis ont été mis sur les mêmes starting blocks que les "engagés" indiens et chinois. A conditions égales et à l’arrivée…Que pensez vous qu’il est advenu? Pourquoi?
et puis accessoirement pourquoi le doublon Conseil départemental et conseil régional avec tous les fonctionnaires qui vont avec…
La Réunion est bien plus loin que les Antilles de la métropole. J’ai un budget assez serré. avant d’y arriver j’avais vécu 3 ans à Roscoff…Sans disposer des 30% de majoration de fonctionnaires (valables aussi pour tout fonctionnaire qui en France métropolitaine décide de passer sa retraite à La Réunion + une réduction identique de ses impôts), comment se fait-il que j’ai mieux vécu et pour moins cher qu’en Bretagne…?
Répondre nous renvoie à la France dont ces confettis ne sont que des caricatures où des catégories prébendées et protégées coulent la France en forant tranquillement plein de petits trous dans la coque. D etemps en temps ils vont se reposer en braillant edans les rues et en empêchant les autres de travailler
On appelle ça les termites ou les capricornes.
mais vous avez vu les sondages…Oui? Alors?
Une idée qui me trotte dans la tête de manière récurrente et que je trouve de plus en plus "à creuser" depuis que nous touchons chaque jour un nouvel état de crise économique : toutes les grandes sociétés privées font appel à des sous-traitants informatiques : Cap Gemini, Sopra, Accenture, etc. Ces sociétés partout en Europe ont le droit de vous proposer assez facilement des personnes en "Assistance Technique" qui constituent finalement des emplois locaux "flexibles" aux besoins du client demandeur. La législation française et le droit du travail voulant protéger l’employé et s’assurer que les grandes sociétés n’utilisent pas ce format de sous-traintance pour ne pas embaucher, multiplie contrôle sur contrôle et surtout impose un tel carcan de règles à respecter dans ce cas de figure que tout le monde cherche en permanence à réduire son nombre de sous-traitants en assistance technique. Cela se transforme alors en des emplois sous-traités aux fameuses SSII qui elles ont tendance à off-shoriser leurs ressources pour préserver leurs marges. Aussi je reste convaincue qu’assouplir la législation de l’assistance technique permettrait de maintenir ou relancer des emplois de cadres en France. Prenons peut-être exemple sur ce cas précis sur l’Angleterre ou l’Espagne.
Jacques Marseille met en lumière, avec des chiffres extrêmement parlants, ce que tout le monde sait ou se doit de savoir : la Guadeloupe, la Martinique, la Réunion, et d’autres, vivent depuis bien longtemps, comme des parasites sur le dos des contribuables français.
Il est intéressant de noter à ce sujet, que le responsable syndical qui fait parler de lui, à la tête des revendications, est un fonctionnaire. Il n’y a pas de hasard là-dedans, c’est à l’image de ce qui se passe dans ces contrées, où l’ambition de chacun, encore plus qu’ailleurs, est d’être fonctionnaire sur-rémunéré, à l’image de ceux que nous leurs envoyons.
Si la bonne question à se poser est : pourquoi ne leur a-t-on pas rendu leur liberté, en prenant soin auparavant, de récupérer tout ce qu’on leur a apporté. C’est peut être que chez nous, il y en a qui ont intérêt à cette situation.
En ces temps de crise, cela devrait inciter les contribuables (les vrais), à s’interroger sur la manière dont l’état utilise leur argent, et d’en tirer les conséquences.
@ Gerfo : Dans tout ce qu’on leur a " apporté " et que vous souhaitez récupérer l’esclavage est-il compris ?