En se régalant des photos (il y en a 230 !) et en parcourant le texte (sobre, sensible), on sent Jean-Marie Foubert profondément heureux dans cette forêt d’Écouves, épris au point d’y consacrer un ouvrage. Il est vrai qu’Écouves, « jolie femme et grand fauve à la fois » (selon les propres mots de Jean-Marie Foubert), méritait bien un hommage, un recueil évoquant son histoire (la petite et la grande), ses légendes et mystères, ses nombreux sites et curiosités (connus et méconnus)… Une carte générale du massif et sept suggestions de balades avec plans accompagnent idéalement ce poème d’une « forêt d’émotions ».
(« Écouves, la belle au bois normand », éditions OREP, 15 euros. Internet : www.orepeditions.com)
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