Les week ends pluvieux donnent le temps de procéder à une revue des documents reçus au cours des semaines précédentes.
Mon attention a été attirée sur le 3ème colloque de l’Association du Notariat Francophone « Microéconomie et sécurité juridique, le rôle du notaire au service du développement dans une économie de marché » qui s’est tenu le 21 septembre 2007, sous le haut patronage de Monsieur Abdou Diouf, Secrétaire général de la Francophonie. Sous le mot « microéconomie », on entend un ensemble de situations et de pratiques relatives, notamment, à l’organisation de l’entreprise de la propriété et du crédit et généralement issues d’un métissage de fait entre les usages traditionnels des sociétés où elles prospèrent et les dispositifs générés en économie développée.
L’Association, présidée par Laurent Dejoie (je tiens à souligner, par ailleurs, qu’il tient un remarquable blog que je vous invite à visiter : www.laurentdejoie.com !), a, depuis de nombreuses années, observé les évolutions en cours dans ce domaine. A l’occasion de ce colloque il m’avait été demandé d’intervenir, donc, sur la microéconomie et la sécurité juridique du point de vue du parlementaire. A la relecture, je pense que le texte n’a pas pris une ride et se trouve plus encore au coeur de l’actualité à raison de la crise financière qui va frapper autant, sinon plus, les pays pauvres que les pays développés.
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