Alain Lambert était hier soir sur BFM TV à 22h15 !
Notre incorrigible hôte de ce blog n’a pas pu s’empêcher quelques secondes avant le direct d’interviewer lui même Karl Zéro avec sa petite camera. Celui-ci s’est prêté de très bonne grâce à l’exercice. Il y a aussi un petit passage pris subrepticement pendant l’émission en direct. Voici donc un podcast de Karl : comme vous ne l’avez jamais vu !!!<
Bonjour
Je suis tombé hier soir par hasard sur l’émission de Karl Zéro avec Alain Lambert .Etant Alençonnais d’origine , j’ai écouté avec interêt les réponses de Mr Lambert aux questions pertinentes et même dérangeantes de Karl .Pour être franc ,je ne suis pas un fervent admirateur de l’ancien maire d’Alençon bien que j’éprouve un profond respect pour l’homme politique et le travail qu’il a accompli pour notre ville .Cependant ,je dois avoué qu’il ne manque pas de punch et de répartie et qu’il a au moins le mérite de dire tout haut ce que les autres hommes politiques disent tout bas ou du moins ne s’autorisent pas à dire trop haut au "peuple " de France .Je vous dirai donc bravo Mr lambert et merci pour votre franchise et votre intégrité .La liberté de parole dans votre bouche n’est pas un vain mot et vous avez redoré ,l’espace d’une soirée, l’image que je peux avoir des hommes politiques …merci
Monsieur Lambert, pourriez-vous préciser par écrit dans un article, ou en mettant la vidéo de l’nterview sur votre blog ,les propos que vous avez tenus sur les comptes détenus par des sociétés publiques françaises dans les paradis fiscaux? Nous touchons au coeur du débat, et je vous remercie sincèrement pour votre franchise. Comment des dirigeants politiques impliqués, "qui ne dit mot consent", peuvent-ils faire preuve d’autant d’hypocrisie et prendre les mesures adéquates pour y remedier? Ne pourrait-on pas saisir cet argent pour renflouer les banques françaises et les dégâts de la crise? Le contribuable s’en porterait mieux…
Et la crise continue…Un ami actif dans les milieux financiers américains vient de me dire qu’on commence à craindre une deuxième vague d’effondrement en cascade: celle générée par les encours des cartes de crédits dont les Américains sont friands et qu’une part des consommateurs ne pourra plus refinancer " en cavalcade ". En effet, les Américains ont en moyenne six cartes et consomment essentiellement à crédit. L’enjeu serait à hauteur de 400 millions de dollars et les premiers signes devraient apparaître dans le 15 novembre .
Qu’en pensez-vous M. LAMBERT?
Je confirme. Un cousin, qui travaille dans la finance à Wall Street m’a fait la même observation que celle de Dominique M.