J’ai été profondément attristée par certains commentaires insultants et infondés que le webmaster m’a transmis. J’ai 26 ans, et c’est par mon métier et les hasards de la vie que je me suis retrouvée à travailler aux côtés d’Alain Lambert, dont, pour être totalement franche, les idées politiques ne sont pas forcément les miennes. Simplement, au fil du temps et des expériences, j’ai découvert que la politique ce sont des femmes et des hommes qui mettent toute leur énergie, leur santé, leurs espoirs pour défendre des valeurs et des idées. Et lorsque je lis les commentaires populistes qui se sont accumulés sur ce blog ces derniers jours, je me suis sincèrement demandée si le jeu en valait la chandelle. Pour ceux qui n’aime pas notre blog qu’ils n’hésitent surtout pas à créer leur propre blog mais, s’il vous plaît, évitez de venir polluer le notre. Nous avons pour but de discuter tout en respectant les différences de chacun, même lorsque nos convictions divergent.
Nous ses assistantes, nous approuvons totalement le choix fait par Alain Lambert de faire entendre sa voix et d’imposer ses idées dans l’unique but de servir les intérêts des françaises et des français. Ceux qui prétendent qu’ils pouvaient mener le combat jusqu’en séance publique ne connaissent pas la vie réelle d’une assemblée. C’était totalement impossible. Il a gagné. Il a réussi à s’imposer dans le débat et à faire retenir ses principales idées, reprises d’ailleurs dans le discours de Monsieur Larcher. En voici la preuve en images :
- La majorité sénatoriale
- La maison des élus locaux et des collectivités locales
- Les propositions audacieuses pour sortir le pays de ses déséquilibres économiques
- Une part plus déterminante dans l’élaboration de la législation européenne.
Rappelez-vous les 6 engagements que vous trouverez en cliquant ici ! Il les avait adressés aux candidats à la Présidence du Sénat dans un précédent billet.
Faire de la politique c’est se battre pour faire entendre sa voix et si l’on est convaincu du bien fondé de ses valeurs, peu importe la fonction que l’on remplit pour y parvenir.
Félicitations, votre courage a été remarquable.
Corine
A Corinne…!
Je ne pense pas qu’Alain Lambert ait vu "36 chandelles" de tout ce qu’il a pû lire sur son,peut-être,blog blagueur non bogueur,c’est un homme d’expérience avec une vie pleine de richesse, qui sait faire la part des choses…!
Tout ce qui s’oppose,dans le respect,enrichit le débat,pour en devenir plus fort,c’est ce qui s’appelle la démocratie…!
Bien à vous,Reynaldo.
Je suis de votre avis SEDAT et je ne vois pas, au travers de ce que j’ai lu ici depuis 2 jours, ce qui mérite d’être qualifié de "populiste ", de " poluant " ou " d’insultant ".
Que de grands mots !
Par contre j’ai lu les propos d’un certain " Administrateur…" qui m’ont, selon l’expression consacrée et aimable, " interpellé ".
Je lui ai adressé 2 réponses polies, hier et aujourd’hui qui n’ont pas été publiées.
Dommage.
Alain Lambert, par son impertinence et l’énergie qu’il aura dépensé dans cette campagne, aura parfaitement réussi au moins sur un point.
De manière indirecte, il a obligé les médias à braquer leur regard massivement sur cette élection, alors qu’en principe c’est une élection qui reste bien calfeutrée, entre soi.
Le fait de braquer le regard des médias sur cette élection, lui à au moins permis de porter ses idées et son programme sur la place publique.
Avantage qui peut être aussi un couteau à double tranchant. Braquer le regard des médias sur le sénat, n’est peut être pas du goût de tout le monde.
L’inconvénient de sortir de leur torpeur ceux qui ont une tendance naturelle à somnoler peut les braquer et même les radicaliser, provoquant par-là un effet contraire à celui escompté, chacun réintégrant sa chapelle comme si elle était assiégée.
La partie était jouée.
Que par son action, il ai réussi à faire prendre en compte ses propositions dans le discours du nouveau président, à n’en pas douter. Celui-ci aurait eu du mal à faire autrement.
Mais il était le seul à les porter vraiment.
Pour qu’un autre les mette en œuvre à sa place, il ne faut pas trop rêver.