Alain Lambert a été interviewé aujourd’hui à 12h30 sur BFM Radio « La Radio de l’Eco »
Voici l’extrait que vous êtes invités à écouter et à commenter :
[mejsaudio src= »https://www.alain-lambert.org/wp-content/uploads/2008/09/2008092612h35bfm.mp3″]
Alain Lambert en direct sur BFM Radio à 12h30
Partagez cet article avec...
Aucun commentaire
Laisser un commentaire
Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.
Cher Alain,
Merci de réveiller une assemblée abattue qui cherche sa place au milieu des errances du chef de l’état .
Merci de te mettre en homme libre qui ne renie pas les siens , et qui par sa franchise les rappelle à la réalité .
Merci de porter l’espoir d’une assemblée indépendante qui devra tenir toute sa place dans la complexité des jeux d’influence .
Merci de proposer d’autres solutions que celles établies par le politiquement correct et par l’administration respectable .
Merci d’avoir eu le courage de ne pas rentrer dans le rang .
Merci d’être le poil à gratter d’un dispositif trop bien huilé pour apporter la fraîcheur dont on a tant besoin.
Merci d’être notre ambassadeur et notre ami.
Tous mes voeux t’accompagnent dans ce pari fou dont on espère secrètement qu’il réussira .
MARRE !
Les dépenses de l’Élysée ont progressé de 8,4% en 2007 par rapport à 2006, passant de 32,383 millions à 35,111 millions d’euros, selon un document budgétaire transmis à l’Assemblée nationale dans le cadre du règlement définitif du budget 2007. Pourquoi sacrifier la qualité du service public en supprimant des emplois dans la fonction public quand l’Élysée n’est pas à même de montrer le bonne exemple ?
Quelle crédibilité ont encore madame "tout va bien" Lagarde et Eric Woerth? Tout ce qu’ils annoncent, assurent, certifient, s’engagent à …, etc… est aussitôt démenti par les faits. Que doivent penser nos partenaires européens quand ils travaillent avec eux? Faut-il en rire ou en pleurer?
Les acteurs de la crise finançière à laquelle nous assistons ont fait exactement ce que nos gouvernants font en jouant avec le déficit budgétaire de l’état. La France est en faiilite. On compte sur nos enfants !!! Alors quand Sarkozy crie au scandale et fait la morale … qu’il balaie donc devant sa porte … avec son budget calamiteux !!!
Nicolas Sarkozy, lorsqu’il état ministre de l’économie, était un grand promoteur des prets hypothécaires dits rechargeables en France, les mêmes produits financiers qu’il montre aujourd’hui aujourd’hui du doigt. Quelle est la part d’incompétence et celle de malhonneteté la dedans ?
M. Sarkozy semble découvrir que le système est pourri, que les affaires ne se font qu’entre initiés, que la spéculation est sans morale et que l’enrichissement ne récompense pas la vertu ou le mérite. Mais au fait, quel est son métier d’origine ? N’était-il pas avocat d’affaires ? N’a-t-il pas lui-même collaboré à ce système, et depuis bien longtemps ? M. Sarkozy dit que c’est le rôle de l’État de protéger les Français. Il est prêt à soutenir financièrement le système bancaire, à mettre en oeuvre une batterie de mesures pour aider les entreprises à faire face à la débâcle qui s’annonce. Mais alors, pourquoi veut-il réduire le rôle de la solidarité nationale en matière de santé ou de retraite ? Que va-t-il rester des sommes placées par les fonds de pension et les assureurs privés, après cette crise ? Ont-ils été vraiment plus efficaces que les organismes publics ?
Encore une fois, M. Sarkozy nous vend un beau discours, dit tout et son contraire, parle à la première personne mais n’annonce rien de réellement nouveau. On continue dans la même direction, avec les mêmes valeurs, en refusant de reconnaître la responsabilité de l’idéologie libérale dans la survenance de cette crise. Continuons à mentir et à nous mentir, de toutes façons on ne peut pas faire autrement, c’est la loi du marché qui régit le monde…
"N’ayez pas peur" nous dit le Président. Serait ce que lui même aurait "peur"? A se demander. Cela m’étonne presque qu’on ait pas fait de Te Deum ou sonné le tocsin. Pour se…Rassurer?