C’est le titre de l’ITW réalisée avec Jacques Plassart pour le Nouvel Economiste. Après lecture, merci de revenir sur ce post pour laisser vos commentaires. Je dois dire combien j’ai trouvé Jacques Plassart professionnel dans sa manière de poser les questions et le soin qu’il a pris pour ne pas déformer mes réponses. C’est la terreur des politiques que de retrouver dans le journal du lendemain ses propos déformés, et souvent en toute bonne foi. Là ce fût cool et hyper sécurisant. Bravo et merci. Compte tenu du nombre d’ITW données actuellement par jour, il y a beaucoup moins de stress à travailler ainsi.

J’imagine que l’on trouvera que ma parole est encore trop libre, mais je me sens vraiment libéré depuis que je dis franchement ce que je pense sans passer par des périphrases aussi interminables qu’incompréhensibles. Puis, dire sa propre vérité, c’est plus gratifiant d’ânonner toute la journée des « éléments de langage » aussi scintillants qu’insipides. Bien que préparés dans les officines spécialisées.