En lisant sur le net l’ITW faite précipitamment ce soir au téléphone, je me dis que je vais sûrement me faire des amis. Pourtant, hors la forme qui pourrait être plus respectueuse, car je ne prononce jamais le nom du Président, sans le précéder de son prénom. Sur le fond, je ne vois rien à changer. La morale de l’histoire est qu’avec un financement aussi raté on va donner une mauvaise image à une bonne mesure qu’est le RSA. Le plus coupable de ce financement n’est pas d’appeler à contribution des redevables qui peuvent payer, mais de capituler face à la montagne de dépenses inutiles dont c’était l’occasion unique de faire le ménage. Puis, c’est de prélever à l’aveugle sur de l’épargne de gens modestes. Bref, on va encore souffrir pour rédiger le dispositif fiscal en évitant de faire trop de victimes innocentes.
A plus tard.