La Tribune.fr titre son papier ainsi « François Fillon exclut un plan de relance ». Le Premier ministre a affirmé hier que la France n’a « pas besoin d’un plan de relance, qui serait un plan de relance artificiel ». Il a plaidé en revanche pour des « réformes de structure ». Selon François Fillon, il « n’est pas raisonnable de parler de récession » et l’année 2008 sera celle d’une « croissance positive » en France. Le Premier ministre a affirmé que l’objectif de croissance pour 2008, entre 1,7% et 2%, serait ajusté lors de la présentation du budget 2009 à l’automne. Il a maintenu l’objectif de déficit public pour 2008, fixé à 2,5% du PIB. Pour l’année 2009, alors que l’objectif est actuellement de 2%, le gouvernement verra « comment évoluent les autres facteurs de la conjoncture », comme les prix des matières premières et la parité des monnaies, a-t-il expliqué. « On ne lâche pas l’effort » sur les dépenses publiques, a prévenu François Fillon. Il a aussi souhaité que les Européens adoptent une « réponse coordonnée » à la dégradation de la situation économique internationale.
« Il doit y avoir une réponse coordonnée des différents pays européens » à la crise, et la « responsabilité » de la France, en tant que présidente en exercice de l’Union européenne, est de « susciter le débat », a-t-il insisté. Le chef du gouvernement français a évoqué l’échéance du prochain sommet des ministres des Finances de l’UE, les 12 et 13 septembre à Nice, pour y aborder cette question. « Nous avons un espace économique commun, une monnaie commune » et cela rend une coordination « indispensable », a-t-il plaidé.
Me voici rassuré et j’approuve complètement le Premier Ministre sur son choix. Je préfère m’être inquiété inutilement que l’inverse. S’agissant d’une approche commune européenne, il a, là encore, totalement raison, même s’il nous faut honnêtement reconnaître que tous les pays de la zone euro ne sont pas au même niveau de dégradation de leurs comptes car certains ont fait leurs réformes de structures bien avant nous. J’y reviendrai. Pour l’heure, soutenons le Premier Ministre et ne ménageons pas notre ardeur car il a besoin de tout le monde.
Ou peut être que certains messages de bons sens commencent à parvenir aux oreilles de nos gouvernants.
En tout cas, c’est la première fois depuis bien longtemps que l’on entend un premier ministre exclure un plan de relance à la sauce keynésienne. Les gourous seraient-ils retournés méditer dans leur âshram ?
Oui très bien.
Pas de balladurettes, juppettes, ou que sais-je.
Au boulot !
Oui il faut le soutenir et l’aider car son action va dans le bon sens depuis un peu plus d’un an et heureusement que les réformes ont été engagées et qu’elles ne vont pas s’arrêter. Noter pays ne s’en sortira que comme cela. On entend des voix demander des plans de relance mais sans dire en quoi il consiste. Est-ce une hausse des dépenses ? est-ce une hausse des impôts? On aurait sûrement les deux avec la gauche et ses recettes éternelles, il faut continuer ainsi que l’a dit le premier ministre. Notre pays connait des difficultés comme les autres mais cette fois il s’est doté d’outils lui permettant très certainement de s’en sortir plus vite et mieux.
Une précision, quand en 1999/2000 la France connaissait une rechute de ce type, le ministre des finances, DSK, parlait de trou d’air et tout le monde, la presse et ses experts en tout la première, disait comme lui, en ce moment, la presse contredit et aggrave la vision des choses. Un peu d’hônnèteté ferait du bien dans les commentaires.
Au travail, plus de langue de bois, attendons des résultats.
la France connait un trou d’air, attention à ce qu’il ne lui soit pas fatal car redresser l’avion n’est pas chose facile, nous ne pouvons bien évidemment qu’encourager ceux qui ont la ferme intention de vouloir remettre la France sur des rails . Il serait temps, malgré tout, d’y voir un peu plus clair, trop de contradictions ,peut-être un peu trop médiatisées d’ailleurs ,brouillent encore le paysage .
En toute objectivité, il est quasiment certain que la gauche n’aurait pas fait mieux, mais qu’a osé faire la droite qui elle réclamait le pouvoir en promettant un véritable changement ??? A part, il faut le reconnaitre quelques bonnes réformes significatives (retraites, assouplissement des 35 h. etc..) qu’en est-il de la dette ? des dépenses ? de l’évasion de nos richesses de toutes sortes ? etc… ne serait-ce pas un travail inachevé ? qui , en partie, a pour conséquence l’aggravation de nos finances.
Monsieur le premier ministre,
En matière économique, vous ne semblez connaître que 2 vitesses : Point mort et marche arrière.
L’an dernier, votre plan de relance nous a brutalement ramené en arrière dans le domaine budgétaire avec 0 impact sur l’économie à moyen terme.
Cette semaine, vous ne proposez pas de plan de relance, vous préférez ne rien faire, vous avez trouvé le point mort. C’est bien.
Maintenant, vous allez passer la première, avec un plan de 20 milliards d’économies pour 2009. Vous verrez, vous allez prendre de la vitesse, et puis vous allez passer la deuxième avec un nouveau plan d’économie de 20 milliards pour 2010, et ainsi de suite jusqu’en 2012, date à laquelle vous atteindrez une vitesse de croisière égale à celles de vos voisins européens.
C’est bien compris ? Pas d’exception culturelle pour la France dans ce domaine. Toutes les autres économies performantes ont suivi le même chemin.
Je crois M. Fillon sincère. Pour NS, je m’interroge, s’il ne décide pas d’un plan de relance, n’est-ce pas tout simplement qu’il n’en n’a plus les moyens financiers ?
En termes de déficit, la France est déjà au taquet. Un plan de relance nous sortirait des critères de Maastricht.
F.Fillion ne juge pas utile de décider un plan de relance, c’est son choix ; par contre il semble indispensable qu’un encouragement soit perceptible pour dissiper un certain climat d’interrogation et redonner de la confiance , tout change, l’europe, la mondialisation etc.. soit, mais ce qui nous rend impatients c’est de s’apercevoir que nos voisins parviennent apparemment à mieux gérer cette situation de crise , peut-être ont-ils tout simplement compris plus vite que nous qu’il fallait entr’autre attirer les capitaux des voisins plutôt que de les laisser filer etc… ? c’est aussi ça la relance ….
F.Fillion ne juge pas utile de décider un plan de relance, c’est son choix ; par contre il semble indispensable qu’un encouragement soit perceptible pour dissiper un certain climat d’interrogation et redonner de la confiance , tout change, l’europe, la mondialisation etc.. soit, mais ce qui nous rend impatients c’est de s’apercevoir que nos voisins parviennent apparemment à mieux gérer cette situation de crise , peut-être ont-ils tout simplement compris plus vite que nous qu’il fallait entr’autre attirer les capitaux des voisins plutôt que de les laisser filer etc… ? c’est aussi ça la relance ….
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F.Fillion ne juge pas utile de décider un plan de relance, c’est son choix ; par contre il semble indispensable qu’un encouragement soit perceptible pour dissiper un certain climat d’interrogation et redonner de la confiance , tout change, l’europe, la mondialisation etc.. soit, mais ce qui nous rend impatients c’est de s’apercevoir que nos voisins parviennent apparemment à mieux gérer cette situation de crise , peut-être ont-ils tout simplement compris plus vite que nous qu’il fallait entr’autre attirer les capitaux des voisins plutôt que de les laisser filer etc… ? c’est aussi ça la relance ….
F.Fillion ne juge pas utile de décider un plan de relance, c’est son choix ; par contre il semble indispensable qu’un encouragement soit perceptible pour dissiper un certain climat d’interrogation et redonner de la confiance , tout change, l’europe, la mondialisation etc.. soit, mais ce qui nous rend impatients c’est de s’apercevoir que nos voisins parviennent apparemment à mieux gérer cette situation de crise , peut-être ont-ils tout simplement compris plus vite que nous qu’il fallait entr’autre attirer les capitaux des voisins plutôt que de les laisser filer etc… ? c’est aussi ça la relance ….
F.Fillion ne juge pas utile de décider un plan de relance, c’est son choix ; par contre il semble indispensable qu’un encouragement soit perceptible pour dissiper un certain climat d’interrogation et redonner de la confiance , tout change, l’europe, la mondialisation etc.. soit, mais ce qui nous rend impatients c’est de s’apercevoir que nos voisins parviennent apparemment à mieux gérer cette situation de crise , peut-être ont-ils tout simplement compris plus vite que nous qu’il fallait entr’autre attirer les capitaux des voisins plutôt que de les laisser filer etc… ? c’est aussi ça la relance ….
M. Fillion a sans aucun doute la volonté de vouloir avancer, il faut d’ailleurs l’encourager, mais il semblerait malgré tout qu’il continue à naviguer en vitesse de croisière, la France a besoin d’un rebond rapide pour pouvoir rejoindre le peloton de tête de l’Europe et pour ce faire il y a encore bien des cadenas à faire sauter, notamment administratifs, fiscaux etc… une uniformisation semble à plus ou moins long terme inévitable afin de ne pas vider un pays de son contenu au profit d’un autre.
La France ne serait-elle pas en route pour devenir un pays pauvre, sommes-nous à ce point pieds et mains liés pour ne pas pouvoir nous libérer plus rapidement de toutes les entraves permettant une relance naturelle efficace . Malgré quelques réformes, pas assez significatives apparement sur le terrain , il semblerait que nous ne sommes pas encore tout à fait prêts pour entamer véritablement la traversée du désert .
J’ai voulu dire " de nous libérer de toutes les entraves ne permettant pas une relance naturelle et efficace."
Nous avons tout compris, pas de plan de relance, mais des taxes à tout va, il fallait le dire M. FILLION, la franchise est le socle de la confiance.