Philippe Marini m’a permis de réaliser cet après midi cette ITW relative à sa candidature à la Présidence du Sénat. Comme je ne suis pas journaliste, il va de soi que l’entretien manque encore d’interactivité, mais son expression est claire et il répond le plus franchement possible à mes questions. Il n’en a esquivé aucune et m’a donné le sentiment de ne fuir aucun débat. Je lui présente mes excuses, comme à vous, pour la mauvaise qualité technique de l’enregistrement mais je ne suis pas très bien équipé, et il est vrai qu’un bruit de fond désagréable accompagne inopportunément ses réponses. Bonnes vacances Philippe. A la rentrée prochaine au Sénat qui ne va pas manquer d’agitations dans les couloirs.C’était dans le cadre des interviews téléphoniques de l’été : Sous l’hémicycle : les tongs !
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Sympas j’ai l’impression d’entendre un chat parfois mdr enfin sinon c’est mieux que rien ! Mais quel implication pour les français d’avoir un président du sénat.. à part qu’il préside le sénat :)???
Cette seconde interview, par sa longueur et sa qualité, montre que ce blog est devenu un media incontournable pour qui s’intéresse à la vie politique du pays. Bravo, même s’il est vrai que la sono est perfectible (mais on comprend que tout cela est enregistré dans un cadre de vacances familiales).
Sur le fond, j’ai ressenti que la candidature de Philippe Marini est déterminée : c’est bien le "plateau" qu’il vise. Son ton m’est apparu particulièrement pondéré. J’ai perçu l’accent mis sur la "mécanique interne", notamment le rôle des administrateurs. Enfin, je serai curieux d’en savoir plus sur la mise en place des groupes thématiques qu’il évoque.
Pourriez vous à l’occasion nous rappeler dans un billet le poids relatif de chaque groupe parlementaire/collège électoral avant/après les elections sénatoriales + les différentes épreuves de sélection du président (primaire groupe parlementiare vs élection hémicycle / que prévoit le règlement) ?
merci
merci pour avoir diffusé ce document
très intéressant
P. Marini est excellent, on voit très bien comment le Sénat peut continuer sur le chemin des réformes nécessaires et prioritaires, c’est en s’impliquant davantage donc en définissant ses priorités, ses visions, en faisant davantage de politique…
pas facile de ne pas aller plus loin, de ne pas dire "en tant que législateur de pleine exercice" de faire un travail de législateur à part entière, de marquer le gouvernement devenu une sorte de cour de la Présidence dont l’horizon est à 3 ans
La V° est devenue Rome, l’empereur et le Sénat – SPQF
Role de précurseur, d’accord mais quand il dit – avec raison – que l’administration lui raconte n’importe quoi, cela implique de repenser les commissions permanentes avec des moyens, sur les vraies priorités, de créer une commission permanente du désendettement, une autre de la hiérarchie des pouvoirs, une autre de la politique énergétique, une du développement des entreprises, une des prélèvements obligatoire, bref tout ce que ne fait pas le gouvernement
ça ne va pas être facile de vendre ça
car c’est une vraie vision courageuse.
Un peu déçu, le ton est un peu trop monocorde, de plus on parle beaucoup de la mécanique interne, mais très peu de l’importance du poids que l’on souhaite donner au Sénat sur les décisions finales . Peut-être a t’on besoin d’être un peu mieux informés. C’est une institution qui, malgré très certainement son impact positif, a besoin d’un souffle nouveau.
Pour info. Dans la Libre Belgique :
http://www.lalibre.be/index.php?...
Il est vrai qu’ici, tous les politiques prennent des vacances avant une rentrée qui sera dramatiquement épique pour ce pays. Donc ils meublent avec des sujets sur la France qui intéresse de plus en plus les francophones…