Lu dans Marianne aujourd’hui : » C’est la blague qui court au Palais Médicis : Qui ne sera pas candidat à la présidence du Sénat, le 1er octobre prochain ? » …
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A propos de la course à la Présidence du Sénat voici ce que qu’écrivait Alain Lambert dans un billet en date du 5 Octobre 2007 : » S’agissant de la course à la Présidence du Sénat, j’ai répondu que nous étions bien loin du rendez-vous pour en parler concrètement. Selon moi, il y a 2 manières de désirer la fonction. La voir comme un aboutissement, le nirvana de son prestige personnel. Ou en faire un vrai levier de modernisation du Pays. La course au prestige me semble offrir bien peu de valeur ajoutée aux Français. Moderniser la France et, au passage, le Sénat, serait, en revanche, un bien meilleur projet. Pour redonner du punch à la Présidence du Sénat, il faudrait, de toute manière, limiter la durée du mandat à 6 ans ! C’est à dire ne permettre qu’un seul renouvellement triennal. Ainsi les Sénateurs pourraient, sans risque de se les garder 20 ans, élire des présidents jeunes, déterminés, audacieux, modernisateurs. Le Sénat prendrait ainsi dans les institutions du Pays un rôle majeur, salutaire. Il pourrait notamment se poser en garant d’un contrôle approfondi de l’efficacité de l’action publique et aussi en garant de la protection si urgente des intérêts des générations futures mal traitées depuis trop longtemps. »
» J’ai retrouvé, pour ceux que cela peut amuser, un récit de la primaire à laquelle j’ai participé, en 2004, pour la Présidence du Sénat. Je n’en ai pas changé un mot, pour lui laisser toute sa fraîcheur du moment. Même si, depuis, les circonstances ont bien changé et que mes rapports avec Christian Poncelet sont restés les plus cordiaux et, je crois, de grande confiance mutuelle. »
Si vous l’avez oublié vous pouvez en effet relire le récit de la course de 2004 : cliquez là !
Très bon article. Pas vraiment subliminal, mais ce n’était pas le but.
Pourquoi les candidats à la Présidence ont autant d’embonpoint ? L’image du Sénat passe aussi par un ou une Présidente qui fasse classe, non ? Voilà une assemblée bien mystérieuse. Je me suis bien amusé à lire votre récit M. Lambert.
@ Gérald
Un peu d’humour : la plupart des candidats ont un peu d’embonpoint, ne serait-ce pas dû à des petits excès de table !!!! attention aux "frais de bouches" , ne pas dépasser le budget !!
Et si la blogosphère se mobilisait pour Alain Lambert ? Les Sénateurs nous prennent pour des marginaux. Nous les prenons pour des gâteux. Et si nous nous rapprochions pour trouver un candidat qui nous convienne à eux comme à nous ? Et dans ce cas, Alain Lambert est à l’évidence celui qui est raccord. On s’y met tous ?