Je me suis appliqué, lors du Congrès, à interwiewer des élus de toute sensibilité. Je ne ne pouvais pas manquer François Bayrou dont les positions sont trop tranchées à mes yeux mais auquel je souhaitais absolument donner la parole. Nous avons de vieux souvenirs en commun. Et malgré nos divergences, il ne faut jamais insulter le passé, c’est la meilleure manière de préparer l’avenir.