Aujourd’hui, au Sénat, Pierre-Olivier Gourinchas, professeur à l’université de Berkeley (Etats-Unis) s’est vu remettre le Prix du meilleur jeune économiste par Augustin de Romanet, directeur général de la Caisse des dépôts. Ce Prix a été créé par le journal Le Monde en collaboration avec le Cercle des économistes en l’an 2000 dans le but de récompenser un économiste français de moins de 40 ans.
Pour en savoir plus sur l’historique du Prix qui est décerné chaque année, vous pouvez cliquer ici !
Ce n’est pourtant pas une science sûre!
Effectivement bien jeune pour un economiste
j’ai connu un centralien de 33 ans qui était le N°2 du département économie de Stanford!
Eh oui, jeune !
MAIZOZAMEBIEN NEZ !…
Un peu d’air frais dans l’économie, comme dans la politique me paraît des plus salutaires, pour sortir des vieux schémas, des vieilles recettes, des vieux discours, des vieilles antiennes… qui sont rabâchées depuis tant et tant d’années par les mêmes vieux économistes et les mêmes vieux ( et vieilles ) politiques dont les bonnes vieilles recettes nous ont conduit, de droite à gauche et de gauche à droite…dans le mur.
0 J-L SOULARUE : je ne sais comment vous pouvez parler des "vieux économistes " alors que le seul Prix Nobel d’Economie dont la France s’honore est pratiquement inconnu tandis qu’un vieux poète communiste assimilant le colonialisme ( français of course ) au nazisme a droit à tous les égards !!! Apparemment il y a " vieux " et " vieux " …..
A Yffic :
Mon unique et bien simple propos était de saluer, sans esprit polémique, les jeunes talents à qui, en économie comme en politique, j’estime que notre société serait bien inspirée de faire confiance.
Où dans mes propos avez-vous donc pu trouver un lien, le moindre rapport, la plus infime allusion de prés ou de loin, avec un " vieux poète communiste "… le " colonialisme "… le " nazisme "…
Ces digressions sont surréalistes.
Souhaitons lui tout simplement une brillante carrière, et pourquoi pas de participer à l’une de ces commissions réformatrices !
du sang neuf pourrait peut-être nous faire sortir un peu plus rapidement de l’ornière.
@J-L SOULARUE : d’accord mon propos s’écarte de la louange aux jeunes talents. J’ai seulement voulu souligner comment nos mémoires collectives sont sélectives par la force de l’oubli ; sans volonté de vaine polémique car je n’attaque personne en particulier.
A Yffic/bis :
J’avais lu rapidement cet après-midi vos digressions surréalistes et je vous ai déjà répondu.
Mais prenant un peu plus de temps ce soir pour essayer de comprendre le sens de vos propos tellement " hors propos " je me rends compte que votre allusion à un " vieux poète communiste " concerne de toute évidence Aimé Césaire, récemment décédé.
Je me trompe ?
Si je ne me trompe pas, vos propos plus que jamais " hors propos ", sont en outre particulièrement injurieux pour la mémoire d’un grand poète, auteur d’un texte fondamental de la génération de la Négritude.
Cet homme respectable a su également, pendant plus d’un demi siècle, gérer avec humanisme et efficacité la ville de Fort de France.
Mais quelle mouche vous a donc piqué ?
Lisez ici quelques lignes extraites de son " Cahier d’un retour au pays natal " et réfléchissez un peu pour mesurer l’incongruité et l’outrecuidance de vos propos :
…" La négraille aux senteurs d’oignon frit retrouve dans son sang répandu le goût amer de la liberté
Et elle est debout la négraille
la négraille assise
inattendument debout
debout dans la cale
debout dans les cabines
debout sur le pont
debout dans le vent
debout sous le soleil
debout dans le sang
debout
et
libre "…
….et vous auriez pu conclure , comme Aimé CESAIRE , " et le nègre vous emm…." Cordialement à vous.
Eh non, je n’aurais pas pu me permettre, comme Aimé CESAIRE, de conclure en ces termes.
Je ne suis pas nègre et ma famille comme moi-même n’avons jamais connu les souffrances et les humiliations que des générations de nègres ont dû subire.
Cordialement à vous également.
vous decernez ce prix pour encourager l’économie néolibérale qui tue malheureusement le tiers monde !!
c’est pas sérieux
à suivre …
Dire que ses compétences encouragent une "économie assassine" n’est pas très objectif. Nous avons besoin de talents et de têtes bien remplies.