Michel Vauzelle a chaleureusement invité Alain lambert à participer à la Commission de décentralisation de l’ARF pour présenter son rapport sur les relations entre l’Etat et les collectivités locales, que vous pourrez consulter en cliquant ici.
Les échanges furent riches et parfois contradictoires mais le dialogue nécessaire, qu’Alain Lambert s’est appliqué à nourrir a finalement pris le dessus.
Il est vrai que la question redondante et persistante est revenue : Quelles sont les suites qui vont être données au rapport ?
Les gens sont lassés de voir que le constat des problèmes est rarement suivi d’actions concrètes pour y remédier.
Qu’en pensez-vous ?
La fin de la clause générale de compétence pourrait être demandée par certaines régions et pas par d’autres.
L’exemple de la Normandie est frappant : pourquoi ces deux petites régions ne pourraient-elles pas prendre l’initiative de proposer un destin pour elles qui respecte tant leurs spécificités que certaines préconisations du rapport ?
Il faudra bien un jour sortir de cette vision centralisatrice étriquée selon laquelle le même mode de gouvernance et la même organisation pour tous sont la meilleur solution pour bien utiliser l’argent public. Bien au contraire, le bon usage de l’argent, c’est l’adaptation de l’action publique à un contexte : donc, la variété plutôt que la norme.
@ L’agent : tout à fait d’accord avec votre 2 ème proposition mais à la condition qu’il y ait des évaluations et des comparaisons à vocation d’émulation entre organisations différentes. Est ce bien dans nos mentalités ?
@ CORINE : c’était certainement très animé ….Ayant été invité à la réception des voeux du Pt du Conseil Général de mon département je puis témoigner de l’accueil très critique fait aux rapport LAMBERT ( suppression des subventions aux communes ? ) et ATTALI ( suppression des départements ? ) Les rapports c’est très bien mais à quoi sert le Parlement ? Par ailleurs je me demande si la bonne méthode est de rendre publiques les propositions des rapporteurs qui ont pour effet d’enflammer inutilement et préventivement de solides corporatismes ( taxis par exemple…) Dur , dur la Démocratie…..
Effectivement le nombre de rapports, de commissions etc… peuvent faire un peu douter de leur bien-fondé ; nous ne sommes peut-être pas suffisamment informés des retombées positives !
Effectivement le nombre de rapports, de commissions etc… peuvent faire un peu douter de leur bien-fondé ; nous ne sommes peut-être pas suffisamment informés des retombées positives !
Effectivement le nombre de rapports, de commissions etc… peuvent faire un peu douter de leur bien-fondé ; nous ne sommes peut-être pas suffisamment informés des retombées positives !
Effectivement le nombre de rapports, de commissions etc… peuvent faire un peu douter de leur bien-fondé ; nous ne sommes peut-être pas suffisamment informés des retombées positives !
Effectivement le nombre de rapports, de commissions etc… peuvent faire un peu douter de leur bien-fondé ; nous ne sommes peut-être pas suffisamment informés des retombées positives !
Effectivement le nombre de rapports, de commissions etc… peuvent faire un peu douter de leur bien-fondé ; nous ne sommes peut-être pas suffisamment informés des retombées positives !
Effectivement le nombre de rapports, de commissions etc… peuvent faire un peu douter de leur bien-fondé ; nous ne sommes peut-être pas suffisamment informés des retombées positives !
yffic31: Il faudra alors se méfier des évaluations publiques, d’où qu’elles proviennent.
Rien, je crois, n’interdit à quelque collectivité que ce soit de lancer un appel d’offres pour faire réaliser un audit ou une évaluation de ses politiques par un cabinet privé à la compétence reconnue.
Donc, il n’est pas impensable de laisser à l’innovateur l’initiative de l’évaluation si les politiques publiques s’y refusent.
] L’agent : évaluation publique ou experts du secteur privé ? personnellement je n’ai pas de religion la-dessus sachant par expérience qu’un cabinet privé sait aussi écrire ce que veut entendre son client …. A mon avis la réponse est de savoir évaluer sur des critères et des ratios admis par tous comme étant vraiment significatifs .
Les pratiques internationales reconnues par l’Europe recommandent essentiellement en l’espèce la transparence, au motif que cela facilite tant les contre-expertises que le contrôle extérieur de la sincérité des audits.
Après, chaque aspirant-comparateur sera libre d’établir ses classements comme bon lui semblera, en pondérant les indices qui lui sembleront bons avec les multiplicateurs judicieusement choisis.
Intéressant le Point de cette semaine sur les effectifs de la fonction publique.
Mais il manque tous les emplois des associations para-municipales !
Citoyens, 2009, encore quelques augmentations de vos impôts locaux.
La gabegie va encore continuer.
Mais on ne touche pas à un fromage de plus en plus gros.
@ J-P Moratin : l’analyse du " Point " mélange toutes les collectivités et l’avis du banquier RICHARD ( le bien nommé …) est tout à fait significative de nos façons de " gérer " : pas d’évaluations en amont ni en aval…Dans la dernière " volée " du " Canard " un exemple de gabegie illustre l’irresponsabilité de certains élus et le mauvais partage de la taxe professionnelle : la piscine de Roissy ….
@ yffic : le tableau récapitulatif résume bien l’évolution du nombre de fonctionnaires sans intégrer le personnel associatif qui permet d’annoncer de bons ratios comme le nbr d’agents par habitant.
Comme il y aura beaucoup de départs à la retraite, beaucoup d’élus seront tentés de recruter beaucoup plus qu’ils n’ont besoin puisqu’avec de jeunes employés, la masse salariale restera constante.
Les gabegies sont recensées régulièrement par les Chambres Régionales, mais seules, celles qui sont spectaculaires, sont reprises par la presse.
L’Etat sera aussi tenté de se décharger d’un certain nombre de compétences pour espérer respecter, cette fois-ci, ses engagements sur l’équilibre budgétaire. Mais comme ce sera les Présidentielles, on en causera plus tard.
Je ne sais si François Fillon pourra continuer à servir de bouclier longtemps, mais je crains que la marmite explose au printemps.
Je serais partisan de la procédure d’impeachment comme aux USA et le remplacement du Président par le Premier Ministre au lieu du Président du Sénat jusqu’à la fin du quinquennat afin de se retrouver avec de nouvelles élections !