Le pouvoir d’achat est au coeur du débat politique. Les avis sont multiples, les propositions partent dans tous les sens. Au sein de notre Club « Courage et Convictions », nous avons posé, depuis février 2007, des principes qui n’ont, selon moi, pas pris une ride. C’est pourquoi, je les rappelle en vous proposant de relire le texte ci-dessous qui fut élaboré, avant l’élection présidentielle, par un groupe de personnes issues de sensibilités et d’horizons différents, pour la plupart non engagées en politique et qui se sont accordées sur ces recommandations.
Cliquez ici pour lire le texte !
Bien entendu, j’attends avec impatience vos commentaires.
J’en suis toujours à me demander comment on va pouvoir :
– payer davantage pour les retraites (d’autant que 25 % des Français cotisent trés peu en regard de ce qu’ils reçoivent) ;
– payer davantage pour la sécu ;
– payer davantage pour les impôts locaux
et voir grimper son pouvoir d’achat.
Ah ouais, Besancenot et Hollande ont "yakaferre payer les riches" c’est à dire ?????? saigner à blanc des entreprises pour être bien sur qu’elles cesseront d’investir ????
BEAUCOUP DE BONNES IDEES, mais elles ne suffiront pas à redonner du pouvoir d’achat car tout est trop figé ; mais qu’est-ce qui changerait véritablement ?
Rappelons que tant qu’il ne sera pas compris qu’il faut encourager le retour effectif aux revenus procurés par le travail , il sera difficile de parler du pouvoir d’achat.
Peut-on aussi parler de pouvoir d’achat dans un pays qui s’appauvrit, que fait-on pour encourager la relance…. les charges , la fiscalité , le casse-tête administratif sont des handicaps sérieux pour notre pays et c’est peut-être là aussi qu’il y aurait lieu de remettre les pendules à l’heure européenne si nous voulons exister.
En toute logique Le POUVOIR D’ACHAT ne peut pas être dissocié des REVENUS d’un TRAVAIL.
Monsieur le Ministre
je suis, bien sur (je suppose que vous me connaissez, dorenavant) 100% d’accord avec cette analyse et sa proposition.
Bien!
Reste la question du comment?
Je l’ai deja dit, il manque 3% a NS. Comment le combler?
C’est ou une question de force ou de pedagogie ou mieux les 2 8question de delai ).
Car ce n’est pas sur votre blog que naitra la contestation…mais dans la rue. Une vieille habitude qui demeure. La rue ou les barres de fer aux portes de l’universite.
En d’autres termes nous avancons de 10 pas mais (mais tres important) nous reculons de 7. Certes on avance mais pour le commun on recule donc les marchands de bonneteau en profitemt pour reclamer justement excactement ce qu’il ne faut plus!
Aussi ne puis-je que me repeter et donc ne l’ecris pas.
Il faut relire Clausewitz et avoir le courage de l’appliquer.
Nous disposons de quantites de moyens de communication pour occuper le terrain tout en refusant des interlocuteurs parfaitement archaiques et qui entendent par commodite le rester.
Pour l’instant je suis assez desole par le modus operandi choisi.
COURAGE ET CONVICTION ( et MORAL) , il y en a eu, mais en reste t’il encore ….
dans un pays où l’impôt est roi, les charges difficiles à supporter etc …
Comment peut-on redresser un pays qui a fait fuire ses riches QUI ONT SOUVENT EU DU COURAGE ET DE LA CONVICTION ( et le travail qui en découle) et où il est mal vu , à la limite de l’interdit, de bien vivre par son travail ? n’y aurait-il pas une légère contradiction .
TOUT ceci ne va certainement pas dans le sens de redonner du pouvoir d’achat ; POURQUOI NOS VOISINS FONT MIEUX ?
La France reste encore beaucoup trop influencée par une certaine idéologie contestataire qui n’a pour effet que la division des citoyens et la paralysie de notre économie? et sans une bonne économie, il ne peut pas y avoir un bon pouvoir d’achat.
Faisons confiance et laissons le soin à nos analystes confirmés de trouver rapidement les meilleures solutions pour sortir de cette ornière.
Tout bon. Je n’en reviens pas moi-même.
Pour un pouvoir d’achat induit et non un pouvoir d’achat à crédit
le France vit au dessus de ses moyens c’est indéniable et pourtant elle en veut encore de la consommation.
or si elle consomme cette France au sens courant elle enclanchera indéniablement le déficit extérieur par le biais de la propension à importer.
Importer voilà le problème et pourquoi importe t on ?
parce que la France est faible
sur les biens durables (produits industriels et technologiques)
sur les biens de consommations courantes
aujourd’hui insuffler du pouvoir d’achat est stupide voire coupable, il faut encourager l’épargne vers l’industrie et notamment sur nos PMI et après on aura des débouchés donc des profits donc des dividendes et des salaires.
On se moqiuait naguère de l’allemagne avec ses gros biens industriels
aujourd’hui ce sont les allemands qui jubilent.
je suis assez déçu que M SARKOZY puise dans les malles du keynésianisme made in années 30 au jourd’hui le monde est ouvert
or le modèle keynésiien a eu du mal a s’adapter au monde ouvert .
si la France importe c’est aussi parce que le monde anglo saxon a fait du downsizing un mode de gestion et que nos classes soit disant éclairées on gobé la vilgate anglo saxonne.
la France est peut être schélosée mais la technique du bouc émissaire
en la personnec du focntionnaire est un peu usée m^me si je penses aussi qu’il faut tailler dans la mauvaise graisse publique.
au jourd’hui l’Etat n’est même pas en mesure du nous protéger tant àl ‘Intérieur que l’Extérieur.
la FAC refuse le dirigisme nécessaire pour éviter d’avoir des DEA et DESS RMI istes, je ne parle m^me pas de Sélection.
Réformons évacuons les idéoligies gauchistes et néo libérales et agissont en fonction deu contexte.
faisons une politique de l’Offre et tout viendra par indcuction. mais il faut de l’austérité pour 10 ans.
oui Sakozy s’il veut laisser son nom dans l’Histoire devra à sa manière dire "je n’ai que de la sueur, du sang et des larmes à vous promettre"
sinon il restera un homme d’Etat moyen .
courage M le président !!!!!
On oublie souvent les conséquences de l’endettement. Le pouvoir d’achat des 30 dernières années était en parti "artificiel" car alimenté par la dette.
Maintenant on veut augmenter encore notre pouvoir d’achat. Le problème est qu’il faut compenser ce qui était financé auparavant par de la dette ET rembourser cette même dette dont les intérêts pèsent de plus en plus. Comme cette dette a été utilisée principalement pour le fonctionnement et non pour l’investissement, elle n’a pas produit non plus d’important gain de productivité (sans parler des 35 h !!!).
Alors soit la France est capable d’un extraordinaire bond en avant économique (on peut toujours croire au miracle !) soit il va falloir se résoudre à une diminution significative du pouvoir d’achat en attendant de rembourser la dette. Il me parait peu probable que les gains naturel de productivité puissent absorber tout cela.
Après 30 années d’insouciance, de corporatisme vindicatif, de démagogie aigue, d’égoïsme profond, de manque de courage politique et d’aveuglement idéologique total des français, vient le temps de payer l’addition.
Et brailler dans la rue ne fera pas tomber l’argent du ciel.
Toutes ces propositions sont intéressantes et nécéssaires mais je souhaiterais insister sur la réduction des déficits publics qui doit être la priorité n°1 pour dégager des marges de manœuvre pour accroitre l’investissement public et privé.
Il est aussi nécessaire de mettre à plat les aides aux entreprises qui sont multiples, croisées et donc complexes pour les TPE et PME.
Pourquoi ne pas remplacer ces aides par une baisse des charges ?
Oui au bouclier fiscal pour rapatrier les "riches" mais aussi en les incitant à investir dans des business angels ou des start-up.
L’avenir de la France dépend de sa capacité à investir pour créer les produits et technologies exportables et donc les emplois de demain.
Les Français manquent de courage, mais leurs Dirigeants aussi. Ils croient ne pouvoir tout dire. C’est vrai que la vérité n’est pas toujours bonne à dire. Une démonstration : qui dira le coût des émeutes que nous connaissons actuellement ? qui dira le coût de celles de 2005 ? Qui, surtout, dira qui a payé ? Leurs auteurs ? certainement pas ? les assurances des responsables ? Peu probable. Alors qui, sinon la Société, nous tous. Donc un peu moins de réalisations ailleurs, ou un peu plus d’impôts. Sans doute les deux à la fois.
Qui dira la vérité sur des dépenses publiques qui auraient pu être évitées, telles celles occasionnées par un Conseil des Ministre en Corse ? Une goutte d’eau, une nécessité, diront certains. N’oublions pas que les petits ruisseaux font les grandes rivières. De tels faits sont nombreux.
Qui dira le coût de notre Administration publique, mais aussi celui de notre démocratie ? N’a t-on pas remplacé nos Ministres et Secrétaires d’Etat par autant de Conseillers, chargés de mission, etc … A quoi servent tous ces rapports dont on ne tient pas compte, ou si peu ?
Est-il nécessaire d’avoir autant de Députés, de Sénateurs, de secrétaires et autres assistants parlementaires ? Y en avait-il autant dans le passé, et le Pays était-il moins bien géré ?
Quel intérêt, pour le Pays, d’emmener dans des voyages à l’autre bout de la terre des " vedettes ", des " artistes " ou qui se croient tels ? des Amis ? des Parents ? Ce ne sont pas eux qui nous aideront à vendre nos productions.
Et quelle connerie pour notre Président de la République d’avoir fait augmenter sa rémunération, en cette période de vaches maigres. Dire qu’il percevra maintenant autant que J. CHIRAC compte tenu des retraites qui sont servies à ce dernier est hors du sujet. Nous savons bien qu’il est possible de cumuler (dans une certaine limite) retraite avec revenus d’activités. Alors, à quoi servent les Conseillers s’ils ne sont pas en mesure de lui dire qu’il n’est peut être pas judicieux actuellement d’agir ainsi ?
Pourquoi, dans une période de réforme des régimes de retraite, ne pas aussi aligner celle des parlementaires sur le régime général ? Pourquoi maintenir des systèmes de calculs différents (en fonction des salaires des 25 dernières années – sur 10 ans – salaires des 6 derniers mois – dernière rémunération, etc …) Faudra t-il y revenir encore et encore ?
Autant de choses (et il est possible d’en citer dix fois, cent fois, plus !) qu’une absence de conviction politique forte, d’autorité, n’ont pas permis de régler rapidement. Alors, il faut à notre Président, à son Gouvernement, à sa majorité, plus de volonté, plus d’autorité, convaincre encore plus, éviter les faux pas, dire la vérité, se montrer économe des deniers publics, être exemplaire. Tout un programme
D’accord avec ces propositions. Seul bémol les deux premiers postes de dépenses pour les ménages sont le logement et l’énergie (dont pétrole et ses dérivés) hors force est de constater que ces postes ont augmenté plus vite que les salaires et pensions ce qui pése fortement sur le pouvoir d’achat individuel.
Même si l’on assiste à une envie de réforme qu’il faut d’ailleurs encourager, toutes ces propositions ne suffiront pas à la relance tant attendue qui apporterait des emplois et donc du pouvoir d’achat.
Encourageons les créations effectives d’emplois (pas de subventions sans embauche) , baisser les charges et les impôts mais en parallèle redistribuer une part des bénéfices redonnerait aussi un peu plus de valeur au travail, remplacer l’I.S.F. par un prélèvement à la source sur les plus-values boursières, les bénéfices , l’impôt foncier(à partir d’un certain plancher) etc .. et pourquoi pas géré par une une entité spéciale qui aurait pour mission d’aider directement et effectivement le développement des P.M.E. – P.M.I. sans avoir ,selon le bouclier fiscal (un peu trop compliqué ), le choix entre telle ou telle solution , et l’avantage serait de rendre cettte participation plus juste et plus précise et certainement mieux perçue , sanctionner les entreprises ayant bénéficié de subventions et se dérobant en laissant la clé sous le paillasson; un peu plus de rigueur s’impose.
Il y a des solutions mais essayons de ne pas tomber dans des shémas trop compliqués et ainsi nous pourrons rejoindre le peloton de tête de l’Europe.
Voici le détail de nos propositions présentées par Alain Lambert dans son billet :
1. Augmenter la quantité de richesse marchande produite
· En permettant de travailler plus
-> Assouplir le régime des RTT en alignant l’ensemble des entreprises sur le dispositif propre aux PME de moins de 20 salariés (contingent et coût des heures supplémentaires ; règles relatives au repos compensateur).
-> Faciliter l’ouverture des commerces sept jours sur sept avec des horaires de plus en plus souples, alléger le régime des soldes et permettre une vraie liberté d’installation des nouveaux commerçants dans les principales zones de chalandise.
-> Développer le marché du travail des plus de 55 ans en lien avec la réforme des retraites par répartition.
· En favorisant le travail efficace
-> Simplifier les formalités des entreprises par la mise en place de guichets uniques, par le développement de la télétransmission avec les organismes sociaux et par la réforme de la fiscalité des entreprises.
-> Ramener à 50% le taux d’un bouclier fiscal élargi à la CSG, la CRDS, l’ISF voire aux impôts locaux.
-> Réduire les effets de seuil pesant sur l’activité des 2,3 millions de petites entreprises (37% des emplois) et créent des freins à l’embauche ou des coûts financiers.
· En accompagnant l’avènement d’une véritable économie de la connaissance
-> Lever les freins qui pèsent sur le développement des PME en adoptant un Small Business Act à la française, soutenir le développement des jeunes pousses et l’émergence des « business angels ».
-> Mieux protéger l’innovation, en particulier en instaurant la gratuité du brevet pour certaines PME.
2. Faire baisser la dépense publique pour diminuer les impôts sans creuser les déficits
· En mettant en œuvre la réforme budgétaire sans fléchir
-> Tirer profit de la réforme budgétaire (LOLF) pour redéfinir en profondeur les responsabilités de l’Etat et se retirer des activités qui ne servent pas vraiment l’intérêt public
-> Adopter la règle d’une stabilité des dépenses de l’Etat en volume.
-> Abandonner les négociations sur la valeur du « point Fonction Publique » au bénéfice de négociations mission par mission sur les salaires et le temps de travail.
· En faisant œuvre de pédagogie au sujet du poids très élevé des prélèvements obligatoires
-> Fusionner les cotisations employés et les cotisations employeurs sur la feuille de paie pour ne plus faire apparaître que le salaire super-brut et le salaire net.
· En limitant les effets nocifs des prélèvements obligatoires sur le marché du travail
-> Examiner sérieusement les conditions d’efficacité d’un basculement partiel de cotisations sociales sur la TVA (en particulier, ne pas répercuter l’éventuel effet inflationniste de cette mesure sur le montant des prestations et minimums sociaux versés par les administrations).
· En assurant de meilleurs services publics et pour moins cher
-> Développer la fourniture privée de services financés par le secteur public, qui permet de réaliser des économies et favorise les gains de productivité dans la fourniture des services publics.
· En maîtrisant les dépenses sociales
-> Financer les retraites par le travail et non par des hausses d’impôts qui pèsent directement sur le pouvoir d’achat des actifs.
-> Supprimer les dispositifs de pré-retraites.
-> Mettre en œuvre ex ante des mécanismes d’ajustement automatique en cas de poursuite de l’accélération des dépenses d’assurance-maladie, incluant notamment une réduction du remboursement du petit risque.
3. Créer une pression sur les prix par la concurrence notamment dans les services
· En levant tous les freins réglementaires pesant sur un certain nombre de professions réglementées
-> Donner un feu vert de principe à l’ouverture d’activités protégées du secteur tertiaire (coiffeurs, restaurateurs, cafetiers, vétérinaires, pharmaciens, taxis…) en s’assurant que les tarifs deviennent vraiment libres de manière à instaurer une vraie concurrence qui pèsera sur les prix payés par les consommateurs. Cf. rapport Cahuc-Kramarz.
4. S’interdire toute mesure qui augmente le coût déjà élevé du travail non qualifié et renforce le chômage de masse.
· En mettant un terme à la « smicardisation » de la société qui éloigne de l’emploi les plus démunis
-> en redonnant un véritable espace à la négociation salariale sur les bas salaires
-> en renonçant aux « coups de pouce » sur le SMIC
JE PERSISTE ET JE SIGNE !
@ personne ayant participé à etc
On t’a reconnu, Jacques Attali …
Je plaisante, mais c’est rien que du bon sens ; si je veux donner une plus grosse part de gateau à tous le monde, il faut déjà qu’il y ait un gateau et qu’on cesse d’emm … quiquinner le patissier voire aussi qu’on cesse de lui piquer sa farine
Je ne suis pas économiste, mais 25 ans de médecine, à écouter les mots de mes concitoyens m’ont donner une certaine intuition sur les réactions du peuple de France, chatouilleux, râleur, mais capable d’enthousiasme, pourvu que comme nécessaire dans la bonne pratique médicale, on lui explique simplement les choses, voire qu’on les lui rabâche à condition que cela lui paraisse audible, juste et équitable et avec des retombées concrètes sur son quotidien. Si je simplifie à outrance la situation actuelle et si j’ai bien compris, le dilemme actuel est le suivant : premièrement on ne peut pas augmenter davantage taxes et impôts pour les particuliers et les entreprises sous peine de réduire le pouvoir d’achat de ceux-là et la compétitivité de celles-ci ; deuxièmement, on ne peut réduire qu’avec beaucoup de difficultés les dépenses publiques et la dette, car il faudrait une baisse drastique du nombre des fonctionnaires, or ceci ne pourra se faire que difficilement et sur une période longue compte tenu des structures en place au niveau de l’état, de la région, du département, des cantons et des communes et de l’attachement des employés de la fonction publique à leur statut. Pour eux l’idée d’une situation analogue à celle de l’Argentine il y a 10 ans est une idée folle qui ne pourra jamais se produire en France et pourtant !…. Une telle réforme, dont le but final est surtout de réduire la dépense de l’état, ne peut cependant se faire que par une réduction assez drastique du nombre de fonctionnaires, surtout si l’on paie mieux ceux qui restent. Or cette réforme ne pourra être réalisée que sur une longue période, dépassant probablement ce quinquennat et ne pourra fort probablement pas se faire sans une période de chahut urbain dont on a le secret et de tangage propre à emporter tout gouvernement. Pour résister à la vague, il faut d’une part de l’exemplarité c’est-à-dire une classe politique intègre et attentive au quotidien du citoyen lambda, et d’autre part et c’est souvent la corollaire, une forte adhésion populaire c’est-à-dire surtout avoir avec soit ces piliers de la société, ces gens qui ont montré par leurs études ou leur évolution dans l’entreprise ou leur métier, de la réflexion et de la responsabilité (employés qualifiés, techniciens, techniciens supérieurs, artisans, ingénieurs… ) les autres sont trop souvent des suiveurs trop préoccupés à résoudre les problèmes de leur maigre quotidien pour prendre du recul. Il faut que ces citoyens aient une impression de justice, d’équité et une impression de mieux vivre. Cette sensation de mieux vivre passe essentiellement pour monsieur tout le monde, par ce qui lui reste dans son porte monnaie ou à la banque quand en fin de mois, il a tout payé. Avec cela, il peut envisager de faire autre chose de son quotidien il peut avoir entre autre l’espoir d’avoir un jour un toit à lui sur la tête. Lorsqu’on discute à bâton rompu avec nos concitoyens, on s’aperçoit qu’après l’emploi qui conditionne tout, deux postes arrivent en tête de leurs préoccupations, pour les jeunes ménages : la garde du jeune nourrisson et le coût du logement, et chez les plus vieux : le coût du logement et le coût des soins et la valeur de la retraite. Le gouvernement qui solutionnera cette équation à cinq paramètres aura définitivement l’adhésion populaire. Intéressons nous ici seulement au logement. Voilà un poste qui si l’on s’en occupe pourrait donner rapidement un coup de pousse au pouvoir d’achat des ménages sans faire intervenir le budget de l’état. Il existe deux types de propriétaires : ceux qui ont fait un placement récent et qui ont pour la plupart des emprunts complémentaires à rembourser, ceux–ci doivent pouvoir le faire sans problème et bénéficier de loyers adaptés à des logements neufs qu’ils mettent sur le marché locatif et qui méritent pendant le temps ou ils remboursent de couvrir le risque qu’ils ont pris ; les autres, ceux qui ont hérité ou qui sont propriétaire à part entière et depuis longtemps d’un ou de biens immobiliers, n’ont de ce fait plus de prêts à rembourser. Pour ceux-ci, les loyers sont quasiment tout bénéfice, qui plus est, ces placements anciens ont souvent été en compétition avec les placements boursiers, si nécessaire à l’industrie. On pourrait donc proposer de faire baisser de 10% la valeur mensuelle moyenne des locations des 12 derniers mois pour établir les nouveaux loyers de ce type d’appartement pour 2008. Cela redonnerait de la compétitivité aux placements boursiers par rapport à la pierre, ce la toucherait les familles les plus modestes ne pouvant s’offrir une location dans du neuf et c’est un effort que l’on peut demander à quiconque à déjà un toit qui lui appartient sur la tête. La solidarité c’est aussi cela A cette mesure, il faudrait ajouter : d’une part, un contrôle de la salubrité et des normes électriques et de chauffage de ces vieux appartements pour obtenir une autorisation de louer lors du changement de locataire, ceci afin d’entretenir un parc locatif correct et d’encourager l’amélioration de l’habitat ; d’autre part, il faudrait faire intervenir les communautés de communes et les régions pour la construction massive mais à visage humain d’immeubles locatifs à loyers modérés ; ceci en particulier près des nouveaux bassins d’emploi pour faciliter la mobilité des couples. Lorsque le coût des terrains est prohibitif pour la construction sur le territoire propre de l’une des communes, cette dernière participe alors à la construction sur le territoire d’une autre ou le foncier est plus accueillant. Vous demandez aux militants de militer et de vous écrire voici mon humble participation, j’ai 65 ans, je viens de prendre ma retraite, j’ai écouté dans ma vie professionnelle beaucoup de gens, si je peux donner un conseil basique à ceux qui sont en charge des responsabilités : soyez justes, soyez simples et logiques dans vos explications, beaucoup de nos concitoyens n’ont pas l’éloquence des avocats ou la connaissance des rouages de l’état des énarques mais ne manquent pas d’intelligence et de jugement : alors attention !
Toutes les idées sont à creuser, celles du Club "Courage et conviction" et aussi peut-être quelques autres soulevées par certains commentaires , tout faire pour rendre l’envie d’avancer en supprimant tout ce qui peut handicaper ou freiner et qui n’est plus compatible avec le paysage actuel .
@lassalles – Bravo. D’accord avec vous sur les aspects que vous traitez. Oui , il faut des mesures de courage, de bon sens, mais simples, compréhensibles par tous, qui n’aboutiront pas – volontairement ou non – au contraire de ce que l’on dit rechercher -, des mesures justes aussi, inscrites dans la durée (les contribuables doivent savoir à quelle sauce ils seront mangé à l’avenir), le contraire d’incitations fiscales que l’Etat s’évertue à remettre rapidement en cause. L’Etat et nos Dirigeants doivent aussi être exemplaires, et s’appliquer à eux-mêmes les mesures qui sont imposées à tous (conditions d’emploi, retraites, rémunérations, réglementations de toutes sortes, y compris la limitation de vitesse). C’est toute une remise en cause de l’état d’esprit, tant il est tentant de continuer dans le " Faites comme je dis, ne faites comme je fais !". Ce n’est qu’à ce prix que nos Dirigeants pourront regagner la confiance du Peuple. Ce regain de confiance est nécessaire, indispensable, pour faire des réformes en profondeur pour une société plus juste. Et ces réformes sont elles mêmes nécessaires et indispensables, sous peine pour la France de perdre son âme, d’aller à vau-l’eau.
MERCI "Lassalle" pour votre simplicité et votre lucidité .
Une difficulté majeure vient que l’on veut concilier l’inconciliable :
– gagner plus et ne pas travailler (les 35 heures) ;
– des entreprises prospères et qui investissent, mais qui ne font pas de profits ;
– des retraites généreuses et pas de prélèvements.
A part cela, pas de difficultés particulières !
Concilier l’inconciliable serait certainement envisageable en cessant de financer avec des fonds publics (nos impôts : tout un pouvoir d’achat en moins) les activités économiques qui ne créent aucune richesse. Par exemple, quel intérêt peut-il y avoir à financer la recherche en littérature antique ?
Je me demande également par quelle folie nous nous touvons à vouloir maintenir l’ordre aux 4 coins du monde : l’argent que nous dépensons à cela, c’est aussi du pouvoir d’achat en moins.
La premièe source de pouvoir d’achat, c’est la réduction de la dépense publiuqe ! Puisque les dépenses publiques représentent la moitié de notre économie, 1% de dépenses publiques en moins, c’est 0.% de pouvoir d’achat en plus, immédiatement.
Alors au lieu d’annoncer chaque jour de nouvelles taxes (redevance TV étendue, taxe sur le poisson, contrôles techniques automobiles supplémentaires), si on commençait par laisser la France qui travaille jouir du fruit de son travail ?
@ AB Galiani
« A part cela, pas de difficultés particulières ! »
Cela vous donne un aperçu de l’effort gigantesque de vulgarisation qu’il vous reste à accomplir !
@ Alain Lambert : j’achète !
Sans vouloir minimiser la qualité de la réflexion de « courage et convictions » qui est très juste, le constat est le même depuis déjà pas mal de temps dans bien des sphères de réflexions.
Il est évident que tout vient de la production de richesse marchande ( encore faut-il être capable de la vendre aux autres, ce qui est un autre problème ).
Il y a cinq ans déjà, le même constat pouvait être fait avec les mêmes conclusions.
Le sachant, qu’a t’on fait depuis ? : à mon sens, pas grand chose.
Le problème français vient de là :
Nous, on s’interroge, on analyse, on évalue, on constate, on fait des rapports, et puis,……. plus rien,…. pendant ce temps, les autres, ils mettent en pratique.
Vu de l’extérieur, on doit passer pour des contemplatifs, qui se regardent le nombril.
Global fait quelques remarques intéressantes que je voudrais compléter, pour apporter ma pierre à l’édifice.
Concernant la réduction de la dépense publique :
Nous, (le contribuable français(métropolitain)) entretenons à grand frais nos DOM/TOM, comme les notables « entretiennent » des danseuses, alors qu’il y a peu, ils nous traitaient encore d’esclavagistes.
Rendons leur, leur liberté, comme nous aurions dû le faire depuis longtemps, et nous ferons des économies colossales qui se retrouveront dans l’assainissement de nos finances, contribuant largement à l’amélioration du pouvoir d’achat.
Monsieur le Ministre, à chaque fois que j’entends parler de la question du pouvoir d’achat et de la défense du pouvoir d’achat, cela me provoque un haut le cœur. Et je me dis en moi-même : "Mais qu’est-ce-que l’Etat va se mêler d’une chose qu’il ne contrôle absolument pas !"
En effet, Monsieur le Ministre, la "capacité de pouvoir d’achat" résulte de la rémunération biaisée par les impôts et les charges afférentes au loyer, eau, électricité, gaz et carburant, assurance, mutuelle, transport, abonnement Internet, téléphonie fixe, abonnement FT, téléphonie mobile, télévision (ou média d’une manière générale),.
Et quelque part Monsieur le Ministre, je me suis posé la question de savoir ce que l’Etat était capable d’influencer sans dégrader le principe de l’économie de marché, qui lui ne respecte que trois variables : l’attribution de part de marché, la taille de l’entreprise et la maximisation du profit.
Et cela fait un moment que je me rends compte qu’aucun Etat occidental n’est en mesure d’imposer son principe économique. Les Etats de l’UE, les Etats-Unis, les ¾ de l’Asie et le nord de l’Amérique ne peuvent plus imposer quoi que ce soit pour influer sur l’économie de leurs pays..
Alors effectivement, il existe des Etats qui disposent de richesses incroyables : Venezuela, Iran, Chine, Inde, qui profitent encore du loisir de juguler une économie en fonction des bons vouloirs de leurs chefs d’Etat mais ils restent les seuls et provoquent le reste du monde pour revendiquer haut et fort qu’eux, maîtrisent encore et toujours l’Economie de leur pays.
Ceux qui peuvent infléchir sur le pouvoir d’achat sont les Etats qui n’ont pas encore de places boursières conséquentes et ce sont aussi des Etats qui détiennent comme richesse unique, la possession de richesse hydrocarbures…
Monsieur le Ministre, la France ne peut plus garantir l’assurance de pouvoir d’achat en France si ce n’est de baisser de plusieurs points, la taxe sur la valeur ajoutée.
Le Gouvernement peut encore encourager les entreprises d’augmenter les salaires en échange d’un allégement de charge. Ce qui m’ennuie Monsieur le Ministre, c’est que les entreprises françaises sont aussi nulles en communication que leurs revendications pro-patronales.
C’est tellement simple pourtant de crier à la face de la France que les charges patronales représentent près de la moitié du revenu du salarié, il est tellement simple ensuite de revendiquer que la concurrence mondiale impose un Euro moins fort pour mieux vendre des produits français à l’étranger, il est tellement simple enfin d’expliquer aux français que tant que l’Euro sera fort, la France aura du mal à vendre ses produits trop chers pour l’international qui achète en devise Dollars.
Je pense sincèrement Monsieur le Ministre que les Français ne sont pas cons, il s’agit d’expliquer, pourquoi jamais le syndicat patronal, au lieu de se mettre des millions d’Euros dans la poche n’investit pas plutôt dans des publicités d’information.
Monsieur le Ministre, je me suis battu pour accéder à des informations d’entrepreneur alors que c’était pour revendiquer les difficultés de l’entreprenariat français et chercher un moyen de revendiquer la légitimité des difficultés de l’entreprise en France et de rechercher, pourquoi pas, une manière de favoriser le pouvoir d’achat des français.
Alors… Quand j’entends parler de la question du pouvoir d’achat par le gouvernement Fillon, je me dis, ma mère qui est malade d’une phlébite dont les médicaments ne sont pratiquement plus remboursés par la sécurité sociale et qui revient à ma charge, quand je sais que nos malades français vont être moins bien soigné depuis que la France a voté pour un gouvernement de droite, favorisant l’individualisme et le principe du paiement pour ceux qui bossent, mes soupçons se sont enfin confirmés.
Monsieur Lambert, je vous apprécie quoi qu’il en soit, mais dans tous les cas Monsieur le Ministre, je resterai toujours socialiste et je voterai Ségo ou Delanoë ou tout partisan politique qui privilégiera l’esprit socialiste. Monsieur Lambert, j’estime une foi pour toute que quoi qu’en vaille l’humanité ou la France, le sociale reste ma doctrine et je ne veux plus de sans abris en hiver et je ne veux plus de mendiant, ni de défavorisé qui meurt sur un trottoir pendant une nuit d’hiver. Je me refuse à ce qu’on privilégie mon confort de pouvoir d’achat quand ceux qui sont dans le besoin n’ont plus de quoi survivre…
Après ma démonstration de l’impuissance de l’Etat, je ne crois pas à la force du gouvernement Fillon pour sauvegarder le pouvoir d’achat des français quand ceux qui souffrent jalonnent nos rues.
C’est mon sentiment en tout cas.
A Gerfo,
En effet, il y a encore du travail … Il y a un proverbe qui dit qu’on ne peut avoir le beurre et l’argent du beurre. C’est une question de choix.
@ Global
Il y a une corrélation forte entre maintenir l’ordre au 4 coins du monde et signer des contrats, notamment d’armement, à ces mêmes 4 coins.
On peut donc, par delà tout jugement moral, considérer cela comme un investissement.
Plus globalement sur le sujet, il y a un problème de fond. Les français ont la passion de l’égalité et l’on tient pour acquit que le but de tout gouvernement est de réduire les inégalités et que ce but est entièrement confondu avec la réduction de la pauvreté. Encore un héritage inepte de la doctrine Marxiste.
Hors, nous sommes dans une situation économique où réduction des inégalités et réduction de la pauvreté sont en fait 2 objectifs en contradiction. Il nous faut produire plus de richesses et pour cela il faut que les entrepreneurs prennent des risques et in fine gagnent de l’argent.
Il faut donc clairement dire aux français que si ils veulent voire leur situation s’améliorer, il faut qu’il acceptent plus d’inégalités (ce qui ce produit de toute façon). Il faut alors débattre du degré d’inégalité acceptable.
La course sans fin à la réduction des inégalités finis par étouffer l’économie et engendre de la pauvreté. Il faut sortir de cercle vicieux idéologique.
Alors les réformes seront bien plus facile à faire, en connaissance de cause.
La quête du pouvoir d’achat n’est pas un raisonnement basé sur l’investissement.
L’Etat est d’ailleurs bien mal placé pour parler d’investissement, sa performance d’investisseur se révélant invériable très inférieure à celle du premier épargnant venu. Je propose donc à l’état de cesser de se prendre pour un affairiste : en son temps, Lénine basa toute sa stratégie gouvernementale sur une telle approche, ruina son pays, et créa les conditions sans lesquelles un personnage comme Staline n’aurait jamais pu exister. Alors, par pitié, cessons de raisonner avec des sommes colossales, représentant plusieurs milliers d’euros par contribuable, avec des sophismes de café du commerce.
J’entends par exemple que les deux réacteurs nucléaires vendus à la Chine l’aurot été à moitié prix du prix facturé en France !! Cessons cela par pitié ; si la puissance publique est incapable de se modérer, qu’on la lamine.
Deux articles du figaro interessants sur le sujet:
http://www.lefigaro.fr/economie/...
http://www.lefigaro.fr/conso/200...
quel est le degré d’inégalité accptable?
poser cette question, c’est à mon sens entrer dans des débats interminables depuis la définition de l’inégalité, jusqu’à la fixation de l’acceptable…
je pense qu’il vaut mieux débattre du modéle social, des aspirations des français…
@ FaceB
Mais diable ? Serai je en train de me FaceBtiser ?????? C’est la 2eme fois en quelques jours que je partage l’avis de FaceB.
En effet, mesurer les inégalités par la simple diversité des patrimoines et des revenus est absurde !!! Pourquoi celui qui épargne devrait avoir le même patrimoine que celui qui consomme ? celui qui travaille 35 heures avec les "pompes funèbres" payées d’avance devrait avoir les mêmes revenus que celui qui travaille 70 heures et prend des risques ??? ? L’inégalité, elle réside dans l’accès aux choix !!!!
Le Président a dit hier soir qu’il fallait payer les RTT dans la fonction publique pour revaloriser le pouvoir d’achat des fonctionnaires.
Pourquoi pas mais avec quel budget ?
Il le dit lui même : «Les Français ne s’attendent pas à ce que je distribue des cadeaux de Noël, alors qu’il n’y a pas d’argent dans les caisses.»
En étant simpliste, suffira t-il de ne pas remplacer les départs de l’administration pour compenser cette masse salariale supplémentaire ?
Que représentent ces RTT ?
Dans le secteur hospitalier, cela doit être considérable !
Et la fonction publique territoriale ?
Vivement 2009 pour connaitre les impôts locaux que vont voter les nouveaux élus qui vont faire auditer les comptes de leurs prédécesseurs et mettre en cause la décentralisation et la faiblesse de la DGF et des compensations financières de l’Etat pour justifier ces hausses.
France qui roule, n’amasse que déficits et impôts !!!
2009 Année du Père Fouettard ?
Avec Mac Kinsey et Accenture à Bercy, la France est en bonne voie
@naouac
vous vous faceBtiser…
cela n’est pas une maladie contagieuse, ni durable j’en suis sûr..
et qu’importe naouac…
Je ne comprend pas qu’avec des impots (ou assimilés mais ils ne sont pas comptés dans les prélèvements obligatoires) de plus en plus élevés il y ait de moins en moins d’argent dans les caisses.
On veut augmenter le pouvoir d’achat, mais les franchises médicales promises contrbueront à le faire baisser les 1 % par ci ou par là sur tel ou tel achat (assurances controle technique automobile, écotaxe sur les appareils électriques, SACEM sur les disques durs d’ordinateurs et autres supports, pastilles vertes sur les voitures, diagnostics plomb amiante gaz surface isolation… dans l’immobilier avec travaux obliogatoires, contribution au service public de l’electricité, écoemballage (suis-je responsable si mon supermarché préféré me vend plus d’embalage que de produit ?) agence de l’eau sur ma facture d’eau, taxe CMU sur les mutuelles…. pour n’en citer que quelques unes qui me viennent à l’esprit pendant que je rédige ce billet) seront de loin supérieurs aux trois francs six sous que je recevrais (à condition de n’avoir pas la malchance de n’être pas éligible) pour mettre aux normes mon assainissement individuel ou même la ristourne sur les intérets d’achats immobiliers (1500 € pendant 5 ans sur un achat de 200 000 € payable en 20 ans)
Je pourrai encore faire rire longtemps dans les diner en disant "c’est comme les impots : on en diminue un pour mieux en augmenter deux"
c’est au hasard que je suis rentrée dans votre site, bien que la politique ne soit pas mon fort le pouvoir d’achat ca je connais. Juste une petite chose, que le president ce soit octroyé 172% d’augmentation je m’en fou a partir du moment qu’il me donne ce qu’il me faut pour vivre . en retraite depuis 3 ans je commence a avoir des difficultés a finir mes fin de mois avec toutes ces augmentations. pour ce qui me concerne et certainement d’autres personne , mr Le president vous ne savez pas ce que vivre avec un smic, faire vos courses pour vous nourrir, payer votre essence , devoir vous deplacer avec VOTRE VOITURE, payer un loyer, eau electricité, les impots, la taxes d’habitation sur une maison qui vous appartient et que vous avez du vous priver pendant des années pour la payer, et bien d’autres choses encore. Alors a tous ceux qui pretendre que le pouvoir d’achat c’est le paiement des RTT, pour les retraités le pouvoir d’achat 0% . NOUS ALLONS NOUS ENFONCER ENCORE UN PEU PLUS. Pour finir que ceux qui ont un salaire ou plusieurs salaires comme certaines personnes du gouvernement , chose qu’un retraité ne peut pas faire s’il depasse un certain montant il perd sa retraite, ne parlaient pas de ce que vous ne connaissez pas.
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