Elles sont actuellement dix dentellières, mais deux d’entre elles partent à la retraite en octobre, puis en novembre.
L’adjoint au Maire en charge de la Culture, Jean-Claude Guérin, s’en soucie : » (…) nous sommes inquiets des effectifs de l’Atelier national : nous voyons vieillir l’équipe des dentellières. Et il n’existe aucune trace écrite de leur savoir-faire. Ça ne s’apprend pas comme ça. Il faut pratiquer. »
Lorsque l’on sait qu’il faut huit à dix ans de formation pour pouvoir exercer cet art, nous pouvons dès à présent lancer un appel. N’avez-vous jamais pensé à vous installer à Alençon pour y pratiquer le précieux art de la dentelle ?
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