A l’occasion de son bicentenaire (1807-2007), La Cour des comptes organise un colloque, intitulé « La Cour, un passé, un destin », qui se déroulera le 24 et le 25 septembre 2007 au musée du Quai Branly.
Invité avec Didier Migaud à intervenir demain mardi 25 septembre sur la mission d’assistance du Parlement, nous reviendrons, notamment, sur l’ordonnance du 2 janvier 1959 et bien sûr sur l’esprit de la LOLF plus précisément sur le renforcement du rôle de contrôle du Parlement.
Vous faites combien de colloques par semaine ? Ce doit être indigeste à la fin.
à l’heure où quelques dizaines de milliers de suppressions de poste sont à trouver à service rendu constant, je crois difficile de ne pas remarquer que la LOLF a retiré à la Cour des Comptes ses missions historiques.
Dans ce contexte, il me semble que choisir de confier de nouvelles missions aux fonctionnaires de la Cour des Comptes est un choix politique explicite, lequel aura nécessairement pour conséquences des suppressions d’emplois moins indolores ailleurs.
Il restera difficile de vouloir toujours conserver les éléphants blancs et le service public, le vrai, celui qui est rendu tous les jours aux citoyens, devant les citoyens.
Le sens de l’avenir.
Jamais le Général de GAULLE ne nous a autant appartenu, sa voix se confond avec notre conscience d’Enfants de France, résolument fidèles – cette voix résonne et se lève toujours
« Enfants de France, je vous ai laissé l’espoir et vous ai tracé la route Le jour, où chacun de vous, selon ses propres forces, mais le cœur fier et le regard droit , à mon exemple dira : Non à l’imposture et à la vocation séculaire de la France , ce jour là vous vous sauverez vous-mêmes , sauvant la France et le monde »
Ce jour là est arrivé le 6 mai 2007 en la victoire de Nicolas SARKOZY.
Il est donc de notre devoir de le soutenir sans hésiter ainsi que son gouvernement.
Gaullistes nous fûmes,
Gaullistes, nous sommes,
Gaullistes nous resterons.
Pour l’association Patriotique Présence Fidélité Gaulliste
Olivier TREILLARD
Délégué Rhône-Alpes et membre du directoire.
Porte-drapeau du milieu associatif
100, rue Bossuet
69006 Lyon
gaullisterhonealpes@hotmail.fr
06.60.36.66.48
Le Travail crée le Travail !
Le travail est l’une de nos grandes valeurs qu’il est urgent de remettre à la place qu’il mérite.
C’est la croissance , travailler d’avantage c’est la prospérité, notre Président de la République prône le Travail, la Discipline, l’Ordre, l’Autorité, le Mérite.
Le travail crée de la valeur mais il faut que ceux qui travaillent sans limite, en récoltent tout de suite les fruits.
N’oublions pas que la République est un ensemble de valeurs.
La République c’est le Patriotisme, la Justice, des Devoirs qui sont la contrepartie des droits, une Certaines idées de la dignité de la personne humaine, la Primauté de l’Intérêt général, la Vertu dans la vie publique, la Généralité vis-à-vis des peuples en difficulté.
Pour l’Assocation Patriotique Présence Fidélité Gaulliste.
Olivier TREILLARD
Membre du directoire
Délégué Région Rhône-Alpes
Ancien Administrateur des Amis du Centre d’Histoire de la Résistance et Déportation de LYON
Porte-drapeau du milieu associatif.
100, rue Bossuet
69006 LYON
06.60.36.66.48
gaullisterhonealpes@hotmail.fr
Je me demande d’ailleurs comment une Cour des Comptes rénovée, chargée d’appuyer le parlement dans son analyse de la dépense publique, interprètera la nomination d’Emmanuelle Mignon, rédactrice des discours du Président Sarkozy à la tête d’un établissement public du Chateau de Chambord qu’elle ne fréquentera probablement jamais au dernier conseil des ministres.
Surtout si on considère les instructions de vigilance financière et de rénovation de l’action publique en matière de culture en direction des résultats reçues par les services de l’administration de tutelle de cet établissement, c’est à dire, les services de Mme Albanel. Nous verrons bien fin 2008 ce quel éventuel écart pourra exister entre les discours et les actes.
la cour des comptes n’a jamais dénoncé, à ma connaissance,
les rémunérations occultes versées en liquide aux collaborateurs des cabinets, à partir des fonds secrets, jusqu’à leur suppression par Jospin…
cela nuit beaucoup à sa crédibilité, d’autant qu’on pourrait s’imaginer que cet oubli est lié au fait que certains magistrats de la cour avaient participé, participaient, allaient participer à ce système….
De la même manière que la Cour des Comptes n’a jamais trouvé à redire aux innombrables mises à disposition de la Présidence de la République ou de Matignon de crédits, personnels, locaux, matériels par les ministères ou les établissements publics tant sous Giscard que Mitterrand ou Chirac. Et elle ne trouvait pas davantage à redire aux nominations évidemment discrétionnaires et manifestement de complaisance des proches du pouvoir de l’instant à la tête des "fromages" de la république, source de si utiles rentes pour les bien en cour de l’époque.
Profitons donc de la LOLF pour tirer un trait sur ce passé honteux ! Et s’il s’avère impossible de changer les mentalités, alors, changeons les hommes !
@ FRANCIS : Ce sont des usages qui étaient bien connus de tous les Cabinets bien entendu mais s’agissant de fonds secrets la CC ne peut , par définition , émettre d’avis…..Ce qui m’interroge c’est de savoir comment sont controlées les sorties des imprimeries et les destinataires car si l’on connait , aujourd’hui les enveloppes distribuées jusqu’à l’intervention de L.JOSPIN qui peut dire qu’il n’y a pas d’autres réseaux pour des sommes encore plus importantes et pour des usages incontrolés et donc inconnus des citoyens ?
@ yffic…..cet usage discrétionnaire des fonds publics était connu du "microcosme" parisien qui n’en faisait pas de publicité: rappelons qu’il s’agissait de fonds en liquide, soumis a zéron contrôle, sans cotisations sociales ni impôts (des HS new_look avant la lettre!…)
je reproche à la cour des comptes de ne l’avoir pas dénoncé oficiellement et publiquement, de laisser à penser que cette dscrétion s’explique par le fait que beaucoup "en croquaient", alors qu’on trouvait dans son rapport desanecdotes de "trois frans six sous" destinées à amuser le peuple, lapresse, les médias….
c’est vrai qu’elle n’a jamis non plus mis son nez dans les affaires de mises à disposition gratuites: entre ministères, voire entre état, syndicats, associations, parfois partis politiques: il y avait des tabous,
ce qui améne à se poser la question des tabous d’aujourdhui, et nuit à sa crédibilité…
@ FRANCIS : non seulement ils en croquaient mais obtenaient sans états d’ame ruban rouge ou autres distinctions en fin de carrière pour qu’ils la ferment….