Vous pouvez consulter le rapport intitulé : « La bataille des centres de décision : promouvoir la souveraineté économique de la France à l’heure de la mondialisation en cliquant ici, ». Ce travail, présidé par Philippe Marini, issu de la Mission commune d’information sur la notion de centre de décision économique et les conséquences qui s’attachent, en ce domaine, à l’attractivité du territoire national, est aussi disponible sous la forme d’une synthèse que vous trouverez en cliquant ici !
Faites nous part de vos impressions ! Mais aussi de votre expérience, car pour certains d’entre vous, vous connaissez bien le sujet !
L’Eurogroupe sera ravi d’entendre un des membres de la zone euro prétendre jouer cavalier seul, à n’en pas douter.
S’agit-il de préparer le retour du franc fort ? (un nom de saucisse, si ma mémoire est bonne)
Ne serait-il pas surtout souhaitable de batailler ferme, au sein des instances internationales, pour que l’on prenne enfin en compte la REALITE de la nationalité d’une entreprise -à savoir la composition de son actionnariat? C’est ce qui détermine la "nationalité" d’une entreprise, non?
Le "critère du contrôle" paraît bien plus pertinent que celui du siège social -qui ouvre la porte l’évasion fiscale, le "dumping social" et environnemental, etc.
Son application poserait-elle tant de difficultés pratiques ?
@Global
Quel est le rapport avec le sujet?
C’est une blague se rapport ou je rêve ?
carolus: Je voulais souligner le fait que le pacte de stabilité n’est pas juste un moyen commode pour l’Etat de s’endetter à fonds perdus ou un lot de règles ennuyeuses pour les élus démagogues : c’est aussi un engagement pris par douze nations souveraines de raisonner solidairement du point de vue économique.
Ce que ce rapport préconise, c’est tout simplement de revenir à la situation antérieure au pacte de stabilité et donc à l’Euro, c’est à dire, à l’époque où les économies nationales des différents pays de la zone euro étaient en compétition.
Ce qui aurait une conséquence majeure : la perte de crédibilité des états emprunteurs, car endettés, et donc, le renchérissement de la dette publique.
Je me penche dessus début août.